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 THE GUN CLUB. (T)

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HAZELWOOD, Benjamine Benjamine (dite BAMBI)
pas tout à fait deux ans : septième année.










Dernière édition par Benjamine B. Hazelwood le Ven 20 Mar - 18:30, édité 2 fois
 
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          PRENOMS ET NOM : Benjamine Benjamine Hazelwood.
          DATE DE NAISSANCE : quatre décembre.
          LIEU DE NAISSANCE : Brighton, UK.
          ORIGINE GEOGRAPHIQUE : Anglaise.
          ETAT CIVIL : (... décédée ? ha ha.) Célibataire.

          BAGUETTE MAGIQUE : bois de frêne, avec un ventricule de coeur de dragon, et, complètement au hasard, disons 22.8 centimètres.
          SANG : présumé pur.
          ORIGINES SOCIALES : plutôt bourgeoises.






Dernière édition par Benjamine B. Hazelwood le Jeu 19 Mar - 19:01, édité 3 fois
 
MessageSujet: Re: THE GUN CLUB. (T)   
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          THE GUN CLUB.    (T) Cory01THE GUN CLUB.    (T) Cory01THE GUN CLUB.    (T) Cory01


    Arrivée aux portes de sa propre mort, Clemence Hazelwood se mit à penser à l'envers. Avant la maladie, il y avait eu Benjamine, avant Benjamine, Maxine, et avant Maxine, il n'y avait rien - pour autant qu'elle se souvienne. Le problème, c'était que Clemence Hazelwood avait, depuis qu'elle attendait que les portes s'ouvrent, la mémoire plutôt défaillante. Avant Maxine, nous le savons, il y avait eu Daniel, et puis avant ça, une enfance somnolente comme un long sentier ombragé. Mais de cela, l'esprit de la mourante ne gardait aucune trace. Toutes les images qui se rapportaient à sa jeunesse, elle les associait immanquablement à ses filles, à leur jeunesse. Et, non content de créer cette jolie pagaille, son cerveau fatigué estomperait bientôt tous les éléments du schéma actanciel de sa vie, de sorte qu'au moment du décès, Clemence n'aurait même plus conscience qu'elle avait deux filles.
    En effet, lorsqu'elle expira, Miss Hazelwood eût pu jurer que Maxine et Benjamine étaient une seule et même personne. (D'ailleurs, n'en avait-il pas toujours été ainsi ?)


    de la naissance des noisettes (01) :
    Maxine Lee Hazelwood et Benjamine Benjamine Hazelwood étaient nées à moins d'un quart d'heure d'intervalle, un dimanche comme les autres. Dès leurs premiers instants, il devint évident que ces deux-là ne connaîtraient jamais l'ivresse rare d'une vie vécue avec son propre double. Elles avaient bien ce même air renfrogné, mais elles étaient somme toute si peu semblables, ou d'une manière si éloignée, qu'on avait de la peine à déceler un lien de parenté entre elles. La première ressemblait à sa mère, la seconde ne ressemblait à personne. Ce seraient "Maxine" et "Benjamine" - prénoms originaux s'il en est - qui auraient soi dit en passant mieux convenu à des blondes - mais n'en voulez pas à l'auteure, elle ne peut pas penser à tout.

    du choix de leurs prénoms (02) :
    Clemence Hazelwood aimait le prénom "Maxine" depuis sa plus tendre enfance, sans doute parce que c'était à la fois d'un goût exquis, délicieusement androgyne, et orgasmiquement français (elle-même possédait de vagues origines françaises, vagues origines desquelles elle tenait par ailleurs son propre prénom, mais sans accent sur le e, please) : parfait, donc, pour une jolie petite fille - ce que la sienne serait immanquablement. Bien entendu, Clemence sut assez tôt qu'elle attendait des jumelles, toutefois, alors qu'elle caressait son ventre rond, l'évidence qu'il lui faudrait trouver un prénom supplémentaire ne la traversa jamais vraiment. "Benjamine" lui vint donc à l'esprit alors même qu'elle sombrait dans une douloureuse somnolence très prénatale (pouuuusseeeez madame pousseeeez), bouche ouverte et yeux vitreux comme un poisson mort, et ce fut sans doute la meilleure idée de son existence en matière de retombées positives à long terme (car il apparaîtrait plus tard que Benjamine passerait des décennies entières à adorer son prénom) (autant dire que C. Hazelwood ne fit jamais grand chose de sa vie). En tant qu'admiratrice des Sinatra et de tout ce qui s'y raccrochait, la jeune maman ne put pas ne pas appeler au moins l'une de ses filles "Lee", ce qui devint le second prénom de Maxine, et, puisque Maxine avait deux prénoms, il semblait désormais nécessaire que Benjamine en portât deux aussi : alors Clemence ajouta un second "Benjamine" derrière le premier, principalement car elle n'avait pas franchement d'autre idée, et puis car il lui semblait que ces deux prénoms identiques collés l'un à la suite de l'autre avaient le même charme fou qu'une sérigraphie sur toile signée Andy W.

    de la fusion de bambi et mad max (03) :
    Les jumelles Hazelwood grandirent d'une manière très fusionnelle, ce qui signifie qu'elles ne se quittaient quasiment pas d'une semelle. Paradoxalement, elles se montraient d'une nature plutôt solitaire, mais leur assimilation l'une à l'autre était telle que la présence de la seconde ne représentait jamais plus de gêne pour la première que le poids de son propre corps. Seules donc, oui, mais ensemble, de préférence. On les trouvait régulièrement endormies toutes les deux à n'importe quel endroit de la maison, les cheveux de Benjamine mélangés à ceux de Maxine, dans un désordre de crinières châtain plus emmêlées que la ficelle de ton diabolo. Leur mère et elles vivaient dans un grand immeuble des banlieues riches-mais-hypes, très gauche caviar, de Brighton. Pour les vacances, elles allaient visiter Montréal, San Francisco, Brooklyn, Taïwan et les plages du Pacifique Sud, Liverpool et Paris, parce que Clemence trouvait ça trop cool de voyager, et encore plus quand c'était dans des endroits cool. A l'école, les jumelles n'allaient pas franchement vers les autres, se suffisant autant à elles-mêmes qu'un singe et son stock de bananes, faisaient des conneries mais apprenaient leurs leçons, écoutaient de la musique en douce la nuit, sous la couette, mais ne sautaient pas le brossage de dents. Elles attendaient tranquillement la vie, étaient ravies de pouvoir s'échanger leurs fringues, de hurler dans la rue le plus aigu possible, de fouiller dans les cartons de disques de maman, d'attraper des crickets au hasard d'une pelouse pour en faire les malhereux sujets de leurs expériences douteuses. Je mentirais en évoquant un intérêt purement scientifique pour les pauvres animaux (Max tu crois qu'il bouge le corps si on lui arrache les pattes ?), mais pas mal de gens prennent plaisir à la souffrance des autres sans qu'on les taxe d'être les pires des sadiques. D'autant plus quand ce sont des gosses.
    Depuis leurs neuf ans, elle étaient devenues MadMax et Bambi Hazelwood, à la suite d'une conversation profondément identitaire (dis "Max" c'est banal comme surnom non ?) et rien que l'idée de porter des noms aussi cools avait ancré en elles la certitude qu'elles comptaient parmi les meilleures gamines du monde et qu'elles voyaient la vie comme il fallait la voir. C'est-à-dire, avec juste assez d'intelligence, de nonchalance, de méchanceté et d'humour pour couler une existence parfaite.


    de leur rapport à la magie (04) :
    Bambi et MadMax connaissaient l'existence de la magie depuis toujours, bien qu'elles dussent évoluer dans un milieu presque purement moldu. Clemence était issue d'une longue lignée de sorciers, et Daniel avait toujours prétendu la même chose sur son propre compte. (Les jumelles n'avaient jamais rencontré leur père. Elles étaient en fait le produit d'une aventure très fugitive entre Clemence et un vague collègue ; ledit collègue n'avait jamais appris qu'il était père, Clemence n'ayant jamais eu l'intention de partager avec ce type quoi que ce soit d'autre qu'une nuit). Il était profondément ancré en chacune des filles l'idée que, un jour où l'autre, elles seraient elles aussi des sorcières avérées. Avaient-elles des raisons d'en douter ? Maman leur avait déjà longuement parlé de Poudlard (tours, tourelles, escaliers, portraits et ce qui s'ensuit ; on va pas vous faire la visite guidée), se vautrant mélancoliquement dans ses souvenirs (la crise de la quarantaine approchait). Et tout ça semblait franchement intense (oh, yeah). Elles s'impatientaient tellement, à l'approche de leurs onze ans, qu'elles interprétaient n'importe quelle bêtise comme la preuve irréfutable de leurs pouvoirs supérieurs (si une porte venait à claquer, elles s'inventaient des dons exceptionnels en télékinésie).
    Voilà pourquoi, quand l'une reçut la précieuse lettre cachetée et l'autre rien du tout, quand l'une relut des jours durant la précieuse lettre cachetée et que l'autre ne voyait toujours rien venir - pas le moindre hibou, même moche, même abîmé, même gris -, quand l'une jubilait dans les ruelles du Chemin de Traverse alors que l'autre s'était déjà résignée, voilà pourquoi, donc, chacun comprit que c'était le début de la fin.


    de la séparation des siamoises (05) :
    Bambi, dans son excitation, parvenait à éprouver, malgré tout, de la compassion. Mais il était hors de question de la montrer. Elle connaissait sa propre soeur mieux qu'elle ne se connaissait, comprenait ce qu'elle ressentait, comme si on lui vrillait les chairs, qu'on lui tatouait partout l'insulte suprême, cracmol, cracmol, cracmol, qu'on lui fermait les portes qu'elle avait crues ouvertes pour elle depuis sa naissance. Bambi savait que la compassion était, dans leur culture, considérée comme l'un des sentiments les moins glorieux et les moins nobles (elle avait lu L'insoutenable légèreté de l'être), se rendait compte que ce n'était rien que de la pitié et que la pitié est pire que le mépris. Elle imaginait d'autant mieux la détresse de MadMax que cette dernière était son aînée, de quelques minutes certes, mais son aînée malgré tout, et elle supposait qu'en étant l'aînée, on souffrait encore plus de l'incommensurable orgueil des Hazelwood. Apprendre tout à la fois qu'on n'aura jamais accès au monde délirant qu'on attendait et que sa soeur, issue du même ventre, alimentée par le même sang que soi, n'aura aucune difficulté à y pénétrer, elle, semblait à Bambi d'une ignominie absolue. Elle avait toujours considéré l'humiliation et la frustration comme les plus lourds fardeaux qu'un être humain pût avoir à porter.
    Puisqu'il le fallait, les jumelles Hazelwood se séparèrent donc. MadMax fit l'effort d'accompagner Bambi jusque sur le quai, par un premier septembre ensoleillé. Lorsque le train rouge quitta tranquillement King's Cross, dans un vacarme d'adieux, d'injonctions, de rails grinçants et de soleil fracassant, la jeune sorcière passa la tête par la vitre ouverte, et la dernière image qu'elle eut de sa soeur fut le fouillis ses longs cheveux bruns identiques aux siens, qui barraient son visage et ses larmes.


    de l'orgie perpétuelle de l'existence (06) :
    Bambi ne rentrait que l'été. Elle n'envisageait même pas la possibilité de passer à Brighton plus de deux mois par an, sans bien savoir si la cause en était un attachement trop fort à MadMax, ou bien un attachement trop faible. Et puis Poudlard c'était quand même chouette. Après six semaines à promener son long corps indolent dans les couloirs, elle avait déjà l'impression de faire partie des murs. Elle poussait parfois un hurlement suraigu sans raison. Elle se montrait parfois méchante. Parfois non. Elle ne savait pas bien qui elle était. Bambi, sans MadMax, se révélait trop peu intéressante à son goût. Elle se faisait des potes le mardi, s'amusait avec eux le mercredi, scellait leur amitié dans le sang le jeudi, les trahissait le vendredi et pouvait se promener librement à Pré-au-Lard le samedi (après quoi elle dormait jusqu'au lundi). Bambi était volatile. Elle travaillait de façon irrégulière mais s'en sortait toujours bien, regardait de haut ceux qui l'ennuyaient et écoutait Dave Dee, Dozy, Beaky, Mick & Titch à plein volume. Elle savait hausser le sourcil gauche sans le droit et retrousser sa lèvre inférieure jusque sur son menton.

    de la seconde vie de mad max (07) :
    Quand Bambi rentra pour son séjour annuel à Brighton, l'été suivant sa cinquième année, elle y trouva une nouvelle Maxine. Toute neuve : blonde platine. (Elle n'aurait pas eu l'air déplacé sur la jaquette de l'album Parallel lines.) La nouvelle MadMax se montrait plus distante (non pas avec Bambi - impossible - mais avec tous les autres). La nouvelle MadMax ne fumait plus un vague joint de temps en temps, mais de longues cigarettes vingt-quatre heures sur vingt-quatre. La nuit, elle rêvait encore qu'elle tirait sur ses clopes. La nouvelle MadMax cachait un flingue sous son matelas.
    Le flingue impressionna Bambi. Elle ne s'y connaissait pas en armes mais avait toujours rêvé d'être l'héritière d'un parrain sanguinaire. Elle comprit rapidement que sa soeur ne faisait rien d'autre que frimer avec son truc - on attendrait un peu pour embrasser la carrière de tueuse à gages. MadMax avait un pote dont le frère était le meilleur ami d'un petit dealeur du coin, et, les choses ayant suivi leur cours, MadMax traînait maintenant avec la bande de wannabe gangsters des quartiers bourges-mais-hypes de Brighton, lesquels wannabes lui avaient procuré un flingue, pour l'image. Bambi passa l'été à soulever le matelas pour reluquer le pistolet. C'était tellement cool. C'est ma baguette magique, disait Maxine. Elle est juste un peu moins artisanale que la tienne. Les jumelles Hazelwood prenaient leur scooter (c'était essentiellement l'aînée qui s'en servait, la cadette ayant déserté dans un monde parallèle), et traversaient la grande ville jusqu'à la plage avec rien d'autre sur leur peau collante qu'un grand tee shirt et des boots noires.

    L'été suivant, Clemence mourut. Le soleil filtrant par les fenêtres de l'hôpital la baignait d'un joli linceul blanc, lui mangeait le visage. MadMax et Bambi furent placées sous la responsabilité des parents de Clemence.


    de l'oubli aux portes du paradis (00/08 ) :
    Arrivée aux portes de sa propre mort, Clemence Hazelwood se mit à penser à l'envers. Avant la maladie, il y avait eu Benjamine, avant Benjamine, Maxine, et avant Maxine, il n'y avait rien - pour autant qu'elle se souvienne. Le problème, c'était que Clemence Hazelwood avait, depuis qu'elle attendait que les portes s'ouvrent, la mémoire plutôt défaillante. Avant Maxine, nous le savons, il y avait eu Daniel, et puis avant ça, une enfance somnolente comme un long sentier ombragé. Mais de cela, l'esprit de la mourante ne gardait aucune trace. Toutes les images qui se rapportaient à sa jeunesse, elle les associait immanquablement à ses filles, à leur jeunesse. Et, non content de créer cette jolie pagaille, son cerveau fatigué estomperait bientôt tous les éléments du schéma actanciel de sa vie, de sorte qu'au moment du décès, Clemence n'aurait même plus conscience qu'elle avait deux filles.
    En effet, lorsqu'elle expira, Miss Hazelwood eût pu jurer que Maxine et Benjamine étaient une seule et même personne.

    (D'ailleurs, il en avait toujours été ainsi.)
 
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THE GUN CLUB.    (T) EmptyVen 20 Mar - 18:30



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          THE GUN CLUB.    (T) Cory3THE GUN CLUB.    (T) Cory3THE GUN CLUB.    (T) Cory3


    CARACTERE : Bambi, c'est toute une histoire. Elle est gamine (mais pas irréfléchie), bagarreuse (mais pas acariâtre), et puis orgueilleuse (et mégalomane). Elle part du principe que la vie, plus c'est con, plus c'est bon. Tout ce qu'elle veut, c'est s'amuser - elle ne recherche pas le bonheur mais plutôt une sorte de jouissance perpétuelle : qualifions-la d'hédoniste - et l'esthétique des choses lui parle beaucoup. La plupart du temps, quand elle fait ou qu'elle voit quelque chose, elle cherche à en tirer un intérêt quelconque (cinématographique, poétique, graphique), elle se dédouble, s'observe, imagine une musique de fond pour accompagner la scène, ferme les yeux, s'y croit beaucoup. Si elle est cruelle, ou méchante, c'est uniquement quand c'est drôle, ou beau, ou seulement cool. Souvent, la violence s'enveloppe de classe, et dans le monde de Bambi, les balles fusent des colts au son paresseux des morceaux de Morricone. L'indolence, la nonchalance et la mesure sont pour elle aussi importantes que les couleurs fluo ou le goût salé de la mer. Sous prétexte que Hazelwood fait parfois des trucs complètement dingues, désobéit pas mal et tient tête aux emmerdeurs, on pourrait croire qu'elle possède une forte personnalité. Mais en réalité, Bambi n'a que dalle. Ni principes, ni foi, ni véritables amis. Elle n'est qu'un caméléon inconstant poursuivi par ses idées sur l'esthétisme, et ce, aussi bien dans les confins de la solitude qu'en compagnie des gosses les plus cool de Poudlard.

    DON, CAPACITE, MALADIE PARTICULIER(E) : rien de pire que ce qui a déjà été évoqué.

    PHYSIQUE : « Que j'aime voir, chère indolente / De ton corps si beau / Comme une étoffe vacillante / Miroiter la peau ! » (Baudelaire, Le serpent qui danse.)
    Baudelaire. En voilà un qui a tout compris. Prenez ces quatre vers, ajoutez une masse informe de cheveux châtain (suivant les saisons, châtain foncé à châtain clair - on s'en fout non ?), de gros yeux bruns, presque assez endormis pour avoir l'air doux, un petit nez rond, une grosse bouche à la Jagger, un corps de crevette, de grandes mains, et ça y est, vous pouvez dire bonjour à Bambi.

    FAMILLE :
    • Clemence Hazelwood, sorcière, heureuse maman de MadMax et Bambi (enfin, jusqu'à ce qu'elle meure des suites d'un foudroyant cancer du poumon). De son vivant, elle gagnait sa vie comme nègre, et notamment nègre d'un célèbre chef de file du monde sorcier (si je vous donnais son nom, je devrais vous tuer ensuite).

    • Maxine "MadMax" Hazelwood, cracmol, soeur jumelle de Bambi. Elles partagent non seulement leurs gènes mais aussi leur façon de penser. MadMax est impliquée dans quelques affaires louches autour de la ville de Brighton, affaires incluant au mieux quelques criminels moldus de petite envergure.




    Spoiler:
 
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THE GUN CLUB.    (T) EmptyVen 20 Mar - 19:22



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    Bienvenue sur Ad Nox ;

    Que dire à part que tu as un style d'écriture frais et très fluide, lire ta fiche a été un véritable plaisir, vraiment <3
    Je ne la vois pas ailleurs qu'à Gryffondor , j'espère que cela t'ira.

    Si tu as des problèmes, n'hésite pas à envoyer un mp à un admin;
    en espérant que tu te plaises parmi nous <3
    Bon jeu !
 
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ah ah. je ne m'attendais pas à gryff' de votre part, mais il se trouve que c'est parfait - merci. et merci pour le compliment (huhu <3).
 
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