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 Did you get what you deserve? The ending of your life[U C]

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MessageSujet: Did you get what you deserve? The ending of your life[U C]   
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Invité
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    }} Identité Générale >

    # Nom, Prénom : Donovan, Melawèn
    # Date de Naissance, Age : Onze mars 1978, 34 ans
    # Profession : Preparatrice de potions
    # Etat Civil : Epouse de Seth Donovan
    # Baguette Magique : Bois de cerisier, 26.5 cm, contenant une plume de phoenix. Cette baguette est ma deuxieme, une victime un peu trop virulante ayant brisé ma premiere, un soir de chasse...


    }} What else ? >

    # Actrice, Acteur : LaraJade
    # Pseudo IRL : June
    # Comment voyez vous le forum ? La fiche de Présentation ? J'aime, tout simplement !
    # Un Commentaire ? Aucun =D
 
MessageSujet: Re: Did you get what you deserve? The ending of your life[U C]   
Did you get what you deserve? The ending of your life[U C] EmptyDim 14 Sep - 21:15



Invité
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    }} Rôle Play Biographique >


    Je vais vous compter l’histoire de ma vie. Je promets de dire la vérité, seulement la vérité et toute la vérité...



    Il fait chaud, je suis bien ici, en boule, dans l’eau. Voilà près de neuf mois que je m’y sent bien. Maman me parle, souvent. Elle m’a déjà donné un prénom. Melawèn. Oui. Ca me plait ! Papa est gentil avec elle et me parle lui aussi, me disant qu’il est impatient que j’arrive. Patience, Papa, patience ! J’arrive bientôt !

    Le jour J est la. Le liquide qui m’entourait est parti. J’ai froid. Maman cri « j’ai perdu les eaux !!! ». Perdues les os ? La pauvre ! Dix minutes plus tard, Maman, Papa et donc moi-même, nous nous retrouvons à Ste Mangouste. D’ailleurs, j’ai oublié de mentionner que ma génitrice est une sorcière, mon père est cracmol. Voilà pourquoi ont se retrouve dans l’hôpital des sorciers.


    « Poussez ! » Et je me sens éjecté du corps et de la chaleur. Je ne veux pas ! Naaa ! Je suis bien iciiii !!!!

    Malgré mon refus, je fus sorti de « force », la lumière pure m’arrache mes magnifiques yeux bleus. Il fait froid, très, trop même. Veux pas ! Mais trop tard. Je suis naît.

    Et j’aurais mieux fait d’y rester, dans le ventre, car à peine fut-je posé dans les bras de Maman que des guerrisseurs m’y arrache, juste le temps qu’elle pose un faible baiser sur mon front, qu’elle murmure mon prénom. Et elle mourut, sous les yeux de Papa qui sanglotait sur son corps.

    Et ce fut à cet instant que le cauchemar commença pour moi. Papa était gentil mais il se remaria que trop vite à mon goût, j’ai six ans. Une moldue. Une sale moldue qui pensait arriver à la cheville de Maman. Quel abruti ! Elle me frappait. Impatiente. Elle avait peur de moi. Intolérante. Papa avait comprit, j’étais une sorcière, comme Maman. Fierté.

    Je faisais des choses étranges qui me semblait tout à fait normale et mon Géniteur voyait en moi, sa femme défunte qu’il aimera toute sa vie. Mais elle, cette chienne, me tapait à chaque événement bizarre, venant de moi, ou pas.

    PAF ! Un vase (moche, ceci dit en passant) tombe au sol et explose. Je suis devant un livre, pas bien loin du drame. Je relève les yeux et elle arriva en courant, m’en met une.


    « Sale Sorcière ! Tu l’as fait exprès pour me pourir la vie ! Tu est le diable ! Tu m’entends Melawèn ? LE DIABLE ! »

    Aller retour. Deuxième baffe. Jesus à dit : Si on te met une claque, tend l’autre joue. Je n’eut pas le temps de la tendre. J’ai huit ans.

    Je passais parfois une semaine sans manger, privé par ce Dictateur. De là naquit ma haine pour les immondes personnes qu’étaient les moldus. Je voulait les exterminer tous, du haut de mes huit ans.

    Je maigris alors. Anorexique à neuf ans. Je fit une crise, gave. Et je fini à l’hôpital. Papa insista auprès du Tyran pour que je sois envoyé à Ste Mangouste, après une grande prise de tête, mon père avait eut raison d’elle. Je me sentait bien, parmi les miens. Concentré de magie. J’y resta près d’une semaine, en pleine forme, le sourire aux lèvres, blindée d’une nouvelle force pour l’affronter. Je lui tiens alors tête, et les conséquences n’en fut que pire. Mais je restais souriante. Je l’enmerde, pour rester poli. Dans moins de deux ans, je pars, dans moins de deux ans, je vais à Poudlard. C’était, en plus de Papa, ce qui me faisait tenir dans ce bas monde.

    Les deux années passèrent, dans le même conflit enfant/belle mère, et un beau matin, un hibou se posa sur la table du salon, c’était début Août. Le Tyran hurla, et moi, j’en rit encore. Immense hibou pour une lettre signant ma nouvelle vie. Elle lu et relu, et s’opposa, tout simplement. Pour la première fois de ma courte vie, je vis Papa hurler que j’irais à Poudlard et que ce n’était pas une sale moldue qui allait m’en empêcher. Et je parti avec lui sur une grande Allée nommée Le Chemin de Traverse. Magnifique. Sublime. Merveilleux. Livres, chaudrons, plumes, encres. Un animal, un chat : Aaron. Et une baguette aussi blanche que mon chat et que ma peau. Bois de pommier, 26.5 cm et crin de licorne.

    Et me voilà à Poudlard, un mois après. Superbe. Me voilà à Gryffondor. Les plus hardis, loyaux et déterminés y sont réuni. A croire que ce bout de tissu qu’était le Choixpeau Magique avait vu ça dans ma tête. Ainsi soit-il, je suis une Rouge et Or.

    Quel bonheur d’être loin de chez moi, loin du Tyran, loin des moldus. Mais Papa me manque. Je lui ecris souvent. J’aimerais être une petite bête pour voir la tête de l’Autre quand elle voit arriver toute les deux semaines une chouette hulotte débarquer dans la cuisine.

    Je comprends tout mes cours. Je suis excellente partout. J’ai parfois l’impression d’être une.. Surdouée ? Comme dirait les moldus... Mais je me fais trop de film, j’ai juste une grande facilité à comprendre et à enregistrer ce qu’on me dit.

    La première année passa, les deux suivantes, tout aussi rapidement. Fin de la cinquième année, les B.U.S.E, facile, je les ai toutes eut. Dans la poche. Mais ce ne fut pas cela qui marqua ma vie. L’été, la Tyran me jette dehors, marre des hiboux, tels étaient ses arguments. Papa n’était pas là. Sale Garce. Je ne sais où aller. Je suis une belle adolescente, j’ai froid, il fait nuit, et je suis seule.

    La Folie de mon esprit, chercher le danger, venait de se déclencher. Partir. Habiter Londres était un avantage pour les sorciers : Le Chemin de Traverse. Mais à ma folie se mêla ma jeunesse et mon manque d’expérience, ajoutant aussi mon sens de l’orientation hors du commun, c'est-à-dire, d'une extrême mediocrité. Me voilà dans un lieu de tout les dangers : l’Allée des Embrumes. J’avais peur, oui, plus que jamais. Trop jeune pour transplaner, perdue et tremblante. Il vit ma détresse, Lui. L’homme qui je n’aurais jamais dû rencontrer. Je me souviendrais toujours de son visage, de ses mains glacées posées sur mes épaules, sa voix ténébreuse, ses canines et de ce soir ou il me fit vampire. J’agonisais. Durant la nuit, proche du matin, je fus enfin retrouvé, étendu sur le pavé froid, baignant dans mon sang.

    Emmené à Ste Mangouste d’urgence, je ne fus même pas soigné, car mes blessures avaient cicatrisées d’elles même.. Et le verdict tomba. Vampire, moi aussi. J’ai seize ans. Horreur, malheur et désespoir. Papa, choqué par le comportement du Tyran après mon récit –c'est-à-dire du je-m’en-foutisme aigu-, mit fin à sa relation. Un poids en moins. Mais il restait toujours ce problème quelque peu préoccupant pour ma personne, j’étais devenu une Bestiole. A cause d’elle. Vengeance il y aura. A partir de cet instant, ma vie ne fut plus jamais la même. Dur dur d’être une vampire. Mais on s’y habitue, à force.

    Je ne sais toujours pas si mes camarades de Poudlard c’était rendu compte de mon « petit » changement, mais je ne faisait rien d’inhabituel à par contourner les rayons de soleil heureux de passer à travers les vitres. Ne plus pouvoir sortir me fut bénéfique que sur un point : je bossais encore plus. Et mes résultats étaient parfaits. Il pleuvait des optimals, partout. Les prof’ étaient satisfaits, les autres élèves étaient jaloux. Quoi de mieux ?

    Puis j’ai achevé mes années, j’ai eut tous mes A.S.P.I.C. Et je me retrouve avec Papa, sans elle. Je vit plutôt bien mon coté Bebete, et même je trouve ça plutôt stylé. Cela ne le dérange pas non plus, alors tout va bien ! Bon.. Il faut que je me sustente avec de la viande bien saignante, mais bon, j’aime ça !

    Tell me I'm an angel.


    Voilà l’instant ou je passa du côté obscure de la force. Il était tard, j’avais décidé de prendre l’air. Non pas que je cherchais une quelconque victime, je ne pensais pas encore ainsi. Donc, je marchais dans la brume d’une rue moldue de Londres, pour rejoindre le célèbre Chemin de Traverse, lieu apaisant, havre de paix, la nuit. Je n’ai pas le temps de passer la porte du Chaudron Baveur, car je viens de reconnaître une silhouette au loin, une enfant accrochée à son bras, apeurée et sanglotante. Le Tyran. La leçon ne lui avait donc pas servie ? Et bien je compte bien le lui faire rentrer dans le crâne cette fois-ci. Je sens en moi une force inconnue, une douce folie qui m’emporte, et bientôt, je vis rouge. Mes canines s’allongèrent. Danger. Je me mit en face d’elle, un sourire sadique accroché sur mon visage ou s’était peint de la démence.


    « Ma pauvre. Voilà ce que tu es devenu. Une catin. Et ton père ? Ton proxénète ? »

    Mon sang se mit à bouillir. Et une gifle fusa. Cette fois-ci ce fut ma main qui rencontra tendrement sa joue, et non le contraire. Et ce n’était pas avec la force d’une sale moldu, mais une force de vampire.

    « Je vais te saigner. Cours petite araignée, avant que je ne t’attrape. Prie, cela t’aidera, peut être. Je vais prier avec toi ! »

    Rire démoniaque. Et le Tyran se mit à courir en laissant la petite enfant seule. Je regardais l’enfant avec une jolie sourire de vampire, pour laisser l’autre prendre un peu d’avance, puis je me mit à glisser sur le sol, tandis que ma voix satanique commençait à s’elever.

    « Notre père qui es aux cieux … »

    Elle pouvait courir. J’allais la retrouver. Un vampire retrouve toujours sa proie.

    « Que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne…Que ta volonté soit faite ! Sur la terre comme au ciel.»

    Hmm quand une victime court, c’est tellement plus enivrant… Qu’elle court, ça me fait rire !

    « Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour, pardonne-nous nos offenses. Comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous soumets pas à la tentation… »

    Poc ! Je disparu. Le Tyran se retourna et dû croire que j’avais abandonné car elle se remit à marcher normalement. Dans l’obscurité, ma voix se remit à résonner. J’entendais son cœur lui arracher la poitrine à chaque battement. Quel son merveilleux, la peur.

    « Mais délivre-nous du mal. »

    Et je réapparu, juste derrière elle, mes mains glacées posées sur ses épaules.

    « Amen »

    Et je plantais mes crocs pour la première fois dans le cou de quelqu’un. Je sentais sa chair se déchirer, son sang de sale moldu coulait le long de ma gorge. Excellent. Et je la vida, la laissant crever sur le pavé. Première victime, premier meurtre. Vengeance. Mon côté psychopathe se dévoile ici, j’ai dix-neuf ans.

    Le sang m'attire, les meurtres m'enivrent et la torture m'excite.
    Oui, je suis sadique. Tu en doutes ? Viens donc me rejoindre dans l’Allée des Embrumes, là ou j’ai retrouvé un homme et que j’ai tué. Oui, souviens toi, celui qui m’a fait devenir ce que je suis à présent. Bref, lui, il ne mordra plus jamais personne, je le jure. Je lui ai réglé son compte.

    Ah oui. J’ai oublié de mentionner, une chose est apparue, depuis le meurtre du Tyran. C’est Maman. Elle est dans ma tête, elle me parle et me résonne. Ma conscience, c’est elle, Maman qui est morte à ma naissance, j’aime parler avec elle, même si elle m’énerve, parfois.

    J’ai vingt quatre ans.
    .


Dernière édition par Melawèn Donovan le Lun 29 Sep - 1:07, édité 1 fois
 
MessageSujet: Re: Did you get what you deserve? The ending of your life[U C]   
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Invité
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    Ma vie se résume à peu de chose : Balades nocturnes, victimes, sang & Papa.
    Malgré cette cruauté bien plus que présente, jamais je ne lui ferais de mal. Je n'ai rien contre lui, il m'aime, il m'a élevé, il m'a protégé quand il le pouvait. J'ai besoin de Papa, et il a besoin de moi. Qui aurait cru qu'une femme haïssant autant les Moldus pouvaient aimer son père Cracmol à ce point? C'était ainsi, mon coeur ne battait que pour mon géniteur. Mais il a peur, peur de ce que je deviens. J'ai beau lui répéter qu'il ne risque rien, que je suis toujours la même petite fille, avec un défaut, celui d'être Vampire. Mais sa frayeur est compréhensible, le soir je rentre tard, le visage et les vêtements maculés d'une couleur pourpre. Qui ne serait pas terrorisé?
    Pour l'éloigner du danger, de moi même, car parfois, je perd la raison, je m'en vais. J'ai vingt cinq ans. Il est triste, mais c'est mieux pour lui, promis je reviendrais te voir, Papa.

    Ce que je fis, au début. Mais voir son regard apeuré et plus ces yeux baignant d'amour me fait mal. Peu à peu, mon coeur se glace, je n'aime plus personne.. Mais ai-je déjà aimé quelqu'un? Non. Jamais. Je commence à prendre conscience que ma vie n'est qu'un fiasco. Vie inutile que voilà, mais je suis forcé à passer l'éternité comme ça. Je ne prend plus aucun plaisir à faire les choses, sauf chasser. La torture reste la seule chose qui m'excite, qui m'enivre les sens. Une passion, en quelques sorte. Avant, rares étaient les fois ou mes victimes crevaient. Maintenant, rares sont les fois ou elles survivent. Je me délecte de leurs liquides vitales autant pour eux que pour moi. Quelle délice de sentir leurs vies glisser dans ma gorge lentement, ils s'éteignent, alors que moi, je deviens de plus en plus forte.

    Ma force s'est décuplé. Je peux battre un homme à mains nues, sans aucun problème. Ma vitesse est de même, ma rapidité est mon point fort. Si tu est ma cible, tu n'aura pas le temps de me voir, quand ce sera le cas, ce sera trop tard. Adieu. Sadique, je le suis, et j'aime l'être encore plus à chaque fois. Défi pour moi que l'être J'arrive à faire preuve d'ingéniosité dans mes attaques, je joue avec mes proies comme un chat joue avec une souris. La faire courir pour mieux la rattraper. De toute façon, ma cible ne m'échappe que très rarement. Et ces dernières sont certainement des personnes exceptionnellement fortes, ou alors, Maman me stoppait. Et une de mes proies ratées resta gravé dans mon coeur à jamais.


Suite au prochain episode.
 
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