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 Do you want a piece of me?

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STANISLAS ALEKSANDER BRYNJOLF


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« Ce Dieu bon surpasse en cruauté bestiale
tout ce qui peut se passer de plus canaille sur la terre.
Sa maison de détention s'appelle enfer,
son bourreau est le diable,
ses punitions durent éternellement.
»



    }} Identité Générale >

  • Nom, Prénom : Brynjolf Stanislas Aleksander
  • Date de Naissance, Age : Stanislas est né un 25 Août en Bulgarie. Aujourd'hui, ou plutôt dans quelques jours, il sera âgé de 25 ans.
  • Profession : L'aîné Brynjolf est un joueur Professionnel de Quidditch. Ancien gardien dans l'Equipe de Bulgarie, il semblerait qu'il ait signé un contrat ailleurs. De ce fait, il est célèbre et joue parfois de sa notoriété. C'est un gardien très doué et qui ne laisse pas toujours passer les meilleurs tirs.
  • Etat Civil : Stanislas est célibataire, bien qu'enchaînant les relations d'un soir. La seule fois où il décida d'unir sa vie avec celle d'une autre, cette dernière refusa catégoriquement, ce que le jeune homme ne semble toujours pas digérer.
  • Baguette Magique : La baguette de Stanislas est faite de bois d'Aulne {Arbre des Morts} et contient un ventricule de l'Hydre de Lerne {Ce qui est plus que rare} ainsi qu'une écaille de Campé {Nymphe grecque}. Un mélange dur et nocif, mais se montrant terriblement efficace dans des cours tels que la Magie Noire et les Sorts et Enchantements.
    Mesurant environ 30,3 centimètres, elle fait un diamètre de 3 cm au départ {vers le manche} et 1 cm à son extrémité.
    Le manche est fait d'argent, le matériau favori du jeune homme, et sur ce dernier est gravé l'armoirie de la famille de ce dernier: Une Hydre; ainsi que ses Initiales : S.A.B
    Personne, à part lui, ne peut se servir de cette baguette, même pour un sort des plus basique, le résultat serait désastreux : la baguette est protégée voilà tout. Efficace, mais comportant aussi quelques risques...


    }} Rôle Play Biographique >



    Extrait du journal de Stanislas ...

    Mon histoire. Elle est identique à la votre, sauf que les chapitres sont différents.
    Je suis né un 25 Août, en plein été. En réalité, j’aurai dû naître le 30 Octobre. Etrange n’est-ce-pas ? Ceci semble être une caractéristique de notre famille, bien des enfants Brynjolf et dérivés de notre famille naissent avec un ou deux mois d’avances malgré les prévisions des Médicomages. A croire que nous aimons donner tort à ces derniers. J’aurai dû naître en Norvège, comme le désirait mon paternel, mais comme beaucoup, il n’avait pas prévu le fait que je vienne au monde avec de l’avance, aussi naquis-je dans le pays natal de ma génitrice, à Varna plus exactement, capitale de la Bulgarie. De ce fait, ma nationalité n’est pas norvégienne mais bel et bien Bulgare, ce qui, en conséquent, ne pouvait me mener que dans une école : Durmstrang. Mais c’est un point sur lequel nous reviendrons plus tard, il me déplairait de passer des années sur un claquement de doigts. Après tout, comme tout enfant, j’eus une enfance et pas seulement une adolescence. Ma naissance eut donc lieu le 25 Août. J'ignore encore s'il fit soleil ou s'il plut. Je me plais à penser qu'il fit un affreux orage et que je sortis du ventre de ma mère sous les pleurs des violons, sous la tempête de l'océan, épouvanté de devoir subir la venue au monde du monstre que je suis. Qu'importe pour la mer. Pourquoi ce détail ? Car Varna et la demeure de ma mère se trouvent bien proches de la mer Noire.
    Je dus rester durant deux mois dans l’hopital sorcier de Varna, la cause étant évidente, j’étais bien trop chétif et faible pour pouvoir supporter un voyage jusqu’en Norvège ou même simplement sortir dehors, malgré le lait nourrissant de ma mère. Durant deux mois donc, je ne connus que les cris des autres nourrissons qui me tenaient compagnie, la voix des infirmières et de mes parents. Parfois, ma mère me prenait dans ses bras, dans ce geste protecteur et aimant. Mais les deux mois passèrent bien vite, et c’est sans regret que je quittais les autres poupons pour connaître la contrée natale de mon paternel. Le voyage dura plusieurs semaines, le transplanage étant interdit en raison de mon jeune âge, mais finalement, nous arrivâmes dans cette famille qu’il me tardait de connaître. On dit que je fus un très beau bambin, que je suis toujours beau d'ailleurs. Je suppose que ce sont là les paroles de bonnes femmes toujours attendries devant un nourrisson. Qu’ont-elles toutes à proclamer que telle ou telle chose est belle ? Les femmes... Mon père ne fut pas aussi attendrie que toutes ses mégères, je devais naître homme, et ne pas rester trop longtemps enfant. Ce ne fut pas ma génitrice qui s’occupa de moi, mais ce furent un précepteur et une nourrice qui s’en chargèrent à sa place. Ma nourrice avait une petite fille, Ann. Née bien après moi, et qui me prêtait le sein de sa mère pour me nourrir. Mon père eut, raconte ma nourrice que je rencontrais il y a peu, l'idée de mêler au lait que je buvais du sang de Dragon pour me rendre plus fort et plus résistant. Superstition. Et Ann. Douce Ann, petite fillette aux cheveux blonds qui partageait ma douce enfance. Tandis que j'apprenais les bases de l'éducation d'un gentleman, ma douce Ann faisait l'école avec d'autres enfants que je ne connus jamais. Elle aussi était vouée à être une sorcière, mais hélas, nous n'étions pas de la même catégorie, ni du même monde. J'étais immensément riche, noble et du sang le plus pur, alors qu'elle était, je ne dirai pas pauvre, mais presque, qu'elle n'était même pas une petite bourgeoise, et que son sang autrefois pur avait été souillé par son arrière grand-père. Nous n'étions pas destinés à vivre autre chose qu'une légère amitié ensembles. J'étais blond à l'époque, tout comme la douce enfant qui vivait sous le même toit que moi. Ensembles nous grandissions, mais nos éducations n'étaient pas les mêmes. Elle était Française aussi, et sa mère lui apprenait cette langue amusante avec dextérité. Il m'arrivait parfois d'assister à ces cours, mais à l'époque, je ne savais guère parler ce baragouin, à peine plus que « Bonjour », « Comment allez vous? », « Je m'appelle Stanislas» et quelques autres formules de politesse. Aujourd'hui, je connais bien plus de vocabulaire et suis capable de converser avec un Français. Il m'arrive d'ailleurs de dialoguer dans cette langue avec un ami qui étudie cette langue, qui lui même fit un séjour dans ce pays que j'ai hâte de visiter. Donc, la donzelle était une française, et je compris très vite alors qu'elle apprenait sa langue natale qu'elle irait sans aucun doute à Beauxbâtons, mais le destin s’évertuait à nous séparer alors qu'à à peine 7 ans, je sentais naître en moi ce sentiment que je m'évertues aujourd'hui à rejetter du plus profond de mon être. Oui, j'étais amoureux.
    J'apprenais donc l'équitation, les lettres, les mathématiques et l'art de l'épée, et bien d'autres choses encore, tout ce que je devais apprendre en tant que noble riche, en tant qu’Aristocrate. Et je le faisais à merveille, obéissant au doigt et à l'oeil de mon père. Je devenais le vrai petit garçon modèle qu'il avait toujours désiré. Et l'année de mes 8 ans, je montrais à tout le monde que j'étais bien un petit sorcier en envoyant valser sur un domestique qui m'avait manqué de respect une flopée de livres. Ma réaction était naturelle selon mon père, mais ce n'était pas l'avis de ma douce qui me fit la tête une bonne semaine avant de revenir vers moi, lasse d'attendre que je revienne m'excuser. Je n'avais pas à le faire, j'étais déjà bien capricieux et fier de mon rang, mais j'avais souffert le martyre sept jours.
    Et elle me couvrait de roses et de baisers sur la joue que nous échangions à la sauvette lorsque personne ne nous surveillais, tandis que je lui offrais seulement de longues lettres, ne pouvant me permettre que cela afin que nul n'accuse ma nourrice de vol au cas où un domestique rapportait qu'il avait vu un bijou ou autre sur la fille de celle qui prenait soin de moi.

    Puis deux années ainsi passèrent. Durmstrang et sa rivale Française arrivèrent à grand pas. Nous reçumes tous deux les fameuses lettres. Son père habitait encore le pays natal, elle le rejoint peu avant la rentrée, ne me souhaitant que bonne chance et déposant un léger baiser sur la joue, mais bien différent de ceux que nous échangions. Et dès lors, je sus que je ne la reverrais plus. Nous n'étions pas du même monde. Douce égérie de la France. Et je rejoins Durmstrang, fus répartie. Mais je n'achève pas encore mon histoire. Il me faut vous conter 7 ans de ma vie, sept années que je passerai très rapidement.

    Ma première année se passa merveilleusement bien, je n'avais qu'une hâte à cette époque: retrouver l'été et ma douce Ann. Je ne parlais jamais d'elle, de peur sans doute qu'un autre ose rêver de celle qui partagea mon début de vie. Et j'achevais mon année brillamment. Malheureusement, Ann n'était pas revenue, Et ma deuxième année fut identique à la première.
    Au début de la troisième, je n'espérais plus la revoir, je savais d'avance qu'elle ne serait pas là, qu'elle ne serait pas au château où nous vivions. Ma nourrice, quant à elle, était toujours là. Mon père lui accordait des congés pour voir sa fille, pendant l'année, où je n'étais pas là, mais elle se devait d'être présente lorsque je rentrais du Collège. Je ne comprenais pas trop pourquoi, je n'en avais plus grandement besoin. Funestes paroles. A la fin de ma quatrième année, ma nourrice fut enfin congédiée, on lui permettait de retrouver la douce France qui m'était inaccessible. Et dès cet instant, ce moment où l'on me coupait totalement de ma douce Ann, je devenais plus mesquin et plus horrible que je ne l'étais déjà. Je n'avais jamais été fidèle à mon égérie, punition pour m'avoir ignoré, j'avais connu bien d'autres demoiselles, toutes aussi connes les unes que les autres, toutes espérant le coeur que je me refusais de leur céder. J'avais fait une croix sur l'amour.
    Et enfin, la cinquième année. Année où je me décidais à reprendre contact avec celle qui avait emprisonné mon coeur d'enfant. Une lettre, en plein hiver, que je lui fit parvenir de chez moi, grâce à mon Hibou. Je ne voulais pas lui envoyer mon Corbeau noir, que j'avais nommé Helulchaga, pensant peut être qu'elle en serait effrayée. Et à mon retour à Poudlard, une missive m'attendait, d'une écriture fine et italique que je ne connaissais pas encore, mais que mon coeur gelé apprit par coeur. Elle m'avait répondu. Nous entretenîmes et entretenons encore une correspondance. Mais je découvris qu'elle était comme toutes les autres, me parlant d'un Gaspard que je ne connaissais pas, mais dont elle semblait éprise. J'ai déchiré la lettre, et fermait mon coeur à double tour, l'enfermant dans un coffre que je fermais à double tour et enchaînait, puis que je cachais au fond de l'arctique. Durant les deux autres années, je me refusais à lui écrire, refusant d’entendre parler de cet homme que je jalousais plus que la vie elle-même.

    Je constate que j’ai passé bien des faits et évènements… Notamment durant mon enfance. Moi qui ait une sainte horreur de passer les faits importants… Il faut croire qu’Ann m’avait bien retourné la tête. Revenons sur le côté familial. Ma tante, Sjena Brynjolf épouse Mephistos, mit au monde, un an après moi, un garçon, Merrick, qui devint très vite mon cousin le plus proche, un confident, un ami très proche. Nous faisions très souvent les 400 coups ensembles, au grand désarroi d’une certaine personne, durant quatre années, mes cousines naquirent, filles de mes autres oncles et tantes, puis arriva la sœur de Merrick, une jeune fille qui n’était pas comme nous, qui ne nous ressemblait pas. Petite déjà, elle était bien loin de ressembler aux autres bébés, surtout par son regard qui brillait déjà d’une intelligence hors du commun. J’étais déjà persuadé que je pourrai m’entendre avec elle, autant qu’avec son frère.
    Les années passèrent, nombreuses, jusqu’à ce que nous devenions des hommes et que les fillettes que je connus ne deviennent des jeunes femmes. Même si mes cousines étaient ravissantes, charmantes et bien d’autres adjectifs élogieux, mon regard s’était toujours porté sur la cadette de mon plus proche cousin. Elle avait ce quelque chose qui me plaisait indéniablement, et c’est l’année de ses 15 ans que je décidais de l’approcher de plus près, en passant un été entier chez ma tante, en compagnie de quelques unes de mes cousines et certains de mes cousins. Les réunions de famille sont très importantes chez nous… Deux mois où la cadette fut moins distante avec nous, participant parfois à nos activités, bien que demeurant pensive et rêveuse. Je fus assez proche d’elle, mais jamais je ne pus porter les lèvres ailleurs que sur sa main, innaccessible elle était, même pour moi, quand d’autres eussent voulues passer entre mes draps. Mon cœur avait depuis longtemps oublié Ann et s’était tourné vers elle. Ressentais-je la même chose que lorsque j’étais enfant ? J’en doute, c’était bien plus fort, elle me poussait à la désirer et pourtant, elle me rejetait en même temps, attisant mon désir de la posséder de gré ou de force. Finalement, j’eus un entretien avec son père, lui exposant mes sentiments à l’égard de sa cadette. Je la voulais, et s’il me fallait passer par le mariage pour l’avoir, alors soit. Mais si lui fut ravi de cette demande, il n’en était rien de la concernée. A peine lui exposais-je mon sentiment qu’elle me refusait sa main. A moi ! Moi le grand Stanislas. Essuyer un refus n’étais pas dans ma nature, et pourtant, cette fois je n’eus pas le choix… Pourtant, je n’en démords pas. Je la veux et je l’aurai… Mais ce geste me coûta tout de même l’amitié de Merrick… je le savais proche de sa sœur mais au point de ne pas la voir partir ? Mais le temps passe…

    Je me dois d'arrêter mon récit ici. Il contient l'essentiel de ma vie, et je ne voudrais pas que ces demoiselles se mettent en tête l'idée que je puisse les aimer ou de créer Ann venant en Angleterre.
    J'espère que le peu que je vous ais offert vous satisfait et vous invite maintenant à faire partie vous aussi de mon histoire et de jouer avec moi dans le théatre de ma vie, sans que vous ne vous doutiez que vous pourriez être la prochaine cible de mon jeu de destruction.




Dernière édition par Stanislas A. Brynjolf le Dim 24 Aoû - 19:11, édité 9 fois
 
MessageSujet: Re: Do you want a piece of me?   
Do you want a piece of me? EmptyDim 24 Aoû - 17:23



Invité
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    Début d'un écrit finit ou non...

    Je suis l'entière antithèse de l'Ange. Le total contraire, et j'en suis personnellement fier. Les démons et les diables sont vils autant d'apparence que de morale, il faut bien changer n'est ce pas? Oh, vous allez sans doute me dire: « Des anges qui ont le diable au corps, on en voit tous les jours », et dans ce cas ci, je vous réponds : ils/elles n'ont que le diable au corps, ils/elles se prennent pour des petits devils qui au final ne montre aucune répartie de l'ange rouge à la queue fourchue. Moi, je suis le diable en personne. Je ne suis pas gentil, ce serait même tout le contraire. Que ce soit avec mes semblables ou non. Nul ne peut se vanter d'avoir entendue sortir de ma bouche une parole gentille ou amicale. Ou alors, ils n'ont pas compris que c'était de lapure ironie. Je hais l'être humain, c'est indéniable, avec ses valeurs à deux noises, ses principes bons à jeter au feu. C'en devient pathétique. Je ne respecte rien ni personne. Pourquoi? Parce que je ne suis pas un Ange, je vous l'ai dit plus haut, je suis le Diable en personne, et jamais Satan ne fit preuve de compassion ou de quelques égards agréables envers quelque chose ou quelqu'un, du moins, à ma connaissance. Et pourtant, à chaque conneries que je fais, à chaque sale coup, on me pardonne immédiatement et on me donne le bon Dieu sans confession, et je repars souriant, mains dans les poches, sifflotant un petit air à faire pleurer une none, tandis que mon esprit calculateur et mesquin part à la recherche d'une nouvelle foutaise à executer. Et vous savez le pire? C'est que je reste serein, comme si avoir commit l'irréparable ne me touche nullement, ne m'atteind même pas, à en croire que je n'ai pas fait cela. Irréprochable petit connard.
    Je suis aussi direct que possible, je ne mâche pas mes mots, je les débite à une vitesse fulgurante, de telle manière que vous n'avez pas le temps de digérer la première insulte que je vous balance que déjà je vous enfourne une quantité d'autres dans le cerveau, jusqu'à vous briser, jusqu'à croître votre haine envers ma petite personne. Certains d'entre vous me haïssent déjà pour ce que je dis, je n'en ai que faire, vous n'avez qu'à dégager, vous lancer un sort d'amnésie et m'éviter tout au long de votre vie, pauvres petits enfants incapables de croire qu'il existe des petits cons sur terre. Vous vous êtes forgés un petit monde merveilleux où les lapins gambadent dans la prairie,où tout est rose et sans emmerdes. Et vous mesdemoiselles, vous me faîtes bien rire, toutes aussi belles les unes que les autres, ce n'est pas le détail qui me gêne le plus, je suis beau, et pourtant, je me trouve terriblement laid, nan, votre jalousie maladive, votre manie de tout vous approprier m'amuse, tout autant que ce délire de bouder pour un rien. Et la majorité de vous, conquêtes que vous êtes pensez déjà que je vais tomber amoureux de vous, que je pourrai vous aimer. Ôtez vous cette idée de la tête, je n'aime personne, je ne le peux pas, c'est un grand mystère de ma vie. Attachement, pourquoi pas, et encore... Oh non, je n'aime pas les hommes, je ne vois pas l'interêt d'aimer voilà tout. Mais ne ne vais pas partir dans ma philosophie à 2 gallions. Il est aussi inutile de chercher à me comprendre, vous perdriez votre temps voire même la vie. Je suis un beau salaud, c'est tout ce qu'il y a à savoir. Je me fiche de vous à longueur de journée, je ris de vos façons. Comme diraient les moldus qui eux aussi me font rire et qui sont devenus mon nouveau centre d'intêret, d'observation. Oh non n'allez pas croire que je suis traitre a mon sang comme on dit si bien, pas le moins du monde, mais ce n'est pas ce que j'étais en train de dire. Je reprends donc: comme le disent si bien les personnes dépourvues de pouvoirs magiques, je suis un petit péteux riche. Oui je suis riche. Plus que les Malefoy. Ma famille l'a toujours été. Et comme ces enfants moldus riches, je m'ennuie, la seule différence, c'est que je ne prends pas ce qu'ils appellent Coke, et je ne sors pas tous les soirs en fumant, buvant, en me camant ni en baisant mal. Bien au contraire, je suis bien loin de toutes ces futilités, je chasse mon ennuie en détruisant la vie des autres, en tuant leur existence. Ca m'amuse, ça me fait un bien fou. Et je me moque des conséquences. Je n'ai pas peur de la suite... -phrase interrompue -



    Point de vue de la Banshie de la Famille Brynjolf

    Bien des personnes auraient voulu décrire mon protégé, sans grand succès...A mon tour. Stanislas est un enfer à lui tout seul. Le côtoyer, ça veut dire affronter les flammes, affronter son horrible quotidien. Il est cynique et fataliste. Pour lui, sa vie est une immense pièce de théatre, où il est le personnage central, le script hélas n'est pas écrit à l'avance, tout est impovrisé, et il ne doute pas de ses capacité. Il s'acharne sur les autres sans se soucier des conséquences, bien trop lancé dans son jeu, et il le fait avec une telle arrogance que vous vous demandez sans doute de quelle espèce il appartient. Et il travaille avec assiduité sur le nouveau script de sa vie, cherchant par tous les moyens comment briser son nouveau jouet. Il faut croire qu'il est très déterminé. Après quoi, il est très direct, comme vous avez pu le voir, et dur. Il a été élevé ainsi. Il est égocentrique, mais certainement pas égoïste. Il peut au contraire surprendre par son bon fond trop bien caché. Mais ne cherchez pas à le faire ressortir, la chose est naturellement bien enfouie, discret. C'est un érudit exigeant et intelligent. Et il n' a pas peur d'en faire trop dans ses devoirs, quitte à devier de temps en temps sur un autre sujet en relation avec celui traité. Il est très logique. D'un brin mesquin, il le cache bien, vous envoie paître lorsqu'il ne désire pas être dérangé. Hautain, idem. Minutieux et méticuleux, tout doit être parfait, chaque détail est calculé et soigné. Moqueur, vous l'avez constaté. Mystérieux. Toute sa vie est un mystère, même pour moi. Il est surprenant. On ne sait jamais comment il peut réagir. Obstiné, orgueilleux et patient. Il ne lâche pas l'affaire. Réfléchit, rusé comme le renard sadique et sage. Malin comme le Diable, que dis-je, il est le diable. Sensé et insensible. Sérieux et très sincère. Il ne triche pas sur sa vie, et ce qu'il vous dit est sincère bien qu'il vous le balance comme s'il s'agissait d'une paire de chaussette sale. Soigneux et solitaire. Sur de lui et vigilant.
    Il se montre aussi un amant passioné, et il est préférable de ne pas lui ravir ses conquêtes, se montrant ainsi d'une grande jalousie.

    Vous le détestez déjà, mais vous l'aimez aussi.

    Stanislas vu par...Une créature mythique

    Comment pourrait on décrire Stanislas? Aux premiers abords, lorsqu'on l'aperçoit, on ressent instantanément l'irrésisitible envie de se blottir dans ses bras, du moins, si l'on est une jeune demoiselle. Et lorsqu'on est un jeune homme, on ne peut que le jalouser, et cependant, son attitude pousse à aller lui parler. Beau? C'est tout à fait ça. Le mot exact serait superbe. Et croyez moi, la magie n'y est pour rien la dedans, une mère Bulgare, un père norvégien et le tour est joué. Aux deuxièmes abords, le deuxième adjectif qui vous cligne devant les yeux est inmanquablement Serein; rien ne semble troubler ce jeune homme aux allure d'Angelot, il paraît tout bonnement calme, et ce dans toutes les épreuves. Pourtant, si on observe bien, lorsqu'il rédige un devoir, une petite plissure apparaît sur son front, signe qu'il est en train de réfléchir. Ce doit être le seul signe. Peut être que lorsqu'il est véritablement furieux, vous apercevrez un rictus naître au coin de ses lèvres blêmes. Si rien n'apparaît sur son visage carré et aux joues creusées, ses yeux expriment tout. D'une couleur azur, il y passe bien des sentiments, de l'étonnement, une malice effrayante et terriblement attirante. Bien des personnes ont tenté de regarder Stanislas droit dans les yeux, sans grand succès, il est donc tout à fait normal que nul ne devine ses sentiments, ce qui ne peut le rendre qu'encore plus mystérieux aux yeux d'autruie. Sa mère elle même ne peut plus noyer son regard dans le sien depuis ses 6 ans, comme s'il s'agissait là du pêché originel. Elles furent bien nombreuses à tenter l'expérience, et lorsqu'elles y parvenaient plus de deux secondes, elles se détournaient, dégoutées, comme si elles avaient vu la pire des choses dans ce simple regard azurin. Certaines lui révèlèrent, juste avant l'acte luxurien, que lorsqu'elles le regardaient, elles avaient l'impression de s'aventurer dans une histoire incestueuse, comme si cette simple oeillade leur avait montré une scène de couple avec leur propre frère, qu'elles en possèdent ou non. Mais croyez vous que cela le gênait lui? Pas le moins du monde, cela l'amusait et il sortait de sa voix posée et ensorcelante, impregnée d'une malice non dissimulée qu'il serait très amusant de jouer cette scène dans la couche. Puis il menait alors sa proie vers monts et merveilles, et la belle s'endormait dès que c'était terminé. Tandis que lui regardait le plafond, remontait en même temps le drap blanc sur son corps apollonesque, sur ses jambes d'athlète, son abdomen trop bien taillé. Puis il croisait ses bras musclés derrière sa tête, passant en même temps une main dans ses cheveux châtains foncés, mi longs mi courts et les décoiffait. Et au final, il se laissait lui aussi aller dans les bras de Morphé environ deux heures.
    Et lorsqu'il s'éveillait, il jetait un rapide coup d'oeil à la créature endormie à ses côtés, puis se levait, révélant une hauteur d'1,88 m et cachait son corps dénudé à la peau blanche avec son uniforme aux couleurs de sa maison ou un costume noir. Sa couleur préférée. Puis il repartait, sourire d'ange aux lèvres, avec l'irrésistible envie de fumer une Black Jealousy, ses cigarettes favorites. Hélas, dans une école, on ne fume pas. Alors il sifflotait un petit air avant de sourire de toutes ses dents impeccablement droites et blanches. Oui, il avait l'allure et la stature d'un Ange, mais n'était il pas justement l'antithèse de ces créatures auréolées et ailées?



    }} What else ? >

  • Actrice, Acteur : Mathias Lauridsen
  • Pseudo IRL : //
  • Comment voyez vous le forum ? La fiche de Présentation ? mimi
  • Un Commentaire ? Nope
 
MessageSujet: Re: Do you want a piece of me?   
Do you want a piece of me? EmptyDim 24 Aoû - 20:27



Invité
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C'est qu'il a l'air très sympathique ce p'tit gars mrgreen

Très belle fiche, mais ça m'étonne pas de toi <3

Validée of course !
 
MessageSujet: Re: Do you want a piece of me?   
Do you want a piece of me? EmptyDim 24 Aoû - 20:28



Invité
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Bien sûr qu'il l'est XD

Mercii =D
J'ai hâte de le faire jouer =D
 
MessageSujet: Re: Do you want a piece of me?   
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