- Mais j'en ai besoin MAINTENANT !
- Et moi je vous dit que je ne l'ai PAS. Alors calmer vous et aller en choisir un autre.

William soupira, cela faisait cinq minute qu'il s'acharner sur la pauvre bibliothécaire mais qui s'efforçait quand même de garder toujours son calme. Il semblait vraiment obstiné et déterminer a obtenir LE livre qu'il avait demander. C'est que voyer vous dans une semaine les cours seraient pleinement commencé et il voulait s'être suffisamment préparé a l'avance afin de se faire remarquer en cour. Il ne pouvait absolument pas se permettre d'être médiocre. Cette année il devait être le meilleur. Il fallait a tout prix qu'il réussissent à obtenir son objectif. C'était quasiment vital. Voyant l'insistance du garçon et qu'il ne bougeait pas, la bibliothècaire finit par ajouter.

- En fait il nous reste peut-être encore un exemplaire.
- C'est vrai ?

Le visage de William s'était éclairé d'un seul coup comme si on lui avait annoncé la chose la plus merveilleuse du monde. C'est qu'il faut dire que depuis son retour d'Amérique le jeune homme avait l'air bien changer et on l'avait à peine vu tellement il rester cloitré dans sa chambre à étudier. Boudant les fêtes et les filles, William semblait fixé sur cette nouvelle lubie : réussir ses examens haut la main pour obtenir le pardon de son père.

- Et où est-il ? Vous pouvez aller me le cherchez ?
- Non. En fait c'est la jeune fille là-bas qui en train de le lire.

La dame lui montrait une jeune fille blonde du doigt que William suivit des yeux. Sans plus attendre il se dirigea vers elle. Bien sûr ça aurait put être une jeune inconnus mais ce ne fût pas le cas. Il s'agissait de Judith Simoni, la meilleur de Rose et qui devait sûrement être au courant de son horrible comportement envers la rouge et or.

- J'ai besoin de ce livre.

Sa voix était net et résolue. Pas besoin de lui adresser un bonjours quelque chose de la sorte étant donné qu'elle devait pensé qu'il n'était qu'un con puisqu'elle l'avait snobé a la fête de Misha. Il ne voulait pas discuter. Il ne voulait qu'une chose : le livre .

- J'ai besoin de ce livre.

Et c'est à ce moment là, que Judith leva enfin le regard, après avoir entendu les bruits de pas se rapprochaient fortement de son bureau. L'ombre de la personne ne l'avait même pas fait sortir de ses songes alors qu'elle finissait d'écrire sa ligne de sa longue rédaction sur les différentes façons de comprendre les différents états d'esprits de chaque sorcier ou moldu en fonction de son statut social. Levant son regard vairon vers l'auteur de cette voix, elle ne put s'empêcher de le fusiller du regard, et de lui dire :

- Ça me fait une belle jambe, tu sais... Je travaille dessus, alors t'attends. Merci.

Lui balança t elle comme si elle l'avait fouetté de sa voix. Son regard avait été polaire, mais elle ne l'avait pas ciblé suffisamment longtemps pour qu'il s'en rende réellement compte. Néanmoins, son attitude était cinglante, et elle ne faisait pas dans la dentelle. Non, elle ne ferait pas dans la dentelle, surtout après ce qui c'était passé dans le baraquement de Rose. Non, mais pour qui il se prenait celui là ? Il arrivait avec ses conquêtes sous le bras, le regard certes mignon, et impressionnant, mais putain, quel arrogance ! Oser faire ça, après tout ce qui c'était passé, et surtout, après avoir briser le coeur de Rose, c'était gonflé... Non, ce n'était pas gonflé. C'était capotant, et il fallait dire que ce spectacle avait particulièrement chamboulé Rose. Et entant que meilleure amie, elle ne pouvait que la soutenir.

- Tu peux t'asseoir, tu sais... Tu risquerais de te fatiguer, en attendant que je te passe le bouquin. J'ai... Une rédaction à faire pour le professeur d'Eco/droit...

Et elle se replongea dans sa rédaction, la plume grattant rapidement le parchemin.

- Ça me fait une belle jambe, tu sais... Je travaille dessus, alors t'attends. Merci.

Soufflant un coup exaspéré, levant en même temps les yeux au ciel, il ne fit aucun commentaire réalisant que la réflection de son interlocutrice était tout à fait justifier. Il s'était pointer sans même bonjours, donc pas étonnant qu'elle soit aussi froide. Mais au moins cette fois ci elle lui avait adresser la parole, un bon point, bien que à présent il s'en ficher un peu. Toujours il tapota le talon de son pied contre le sol nerveusement, les mains dans ses poches de jean arrière.

- Tu peux t'asseoir, tu sais... Tu risquerais de te fatiguer, en attendant que je te passe le bouquin. J'ai... Une rédaction à faire pour le professeur d'Eco/droit...

Il accepta l'invitation, tirant bruyamment une chaise qui en dérageant plus d'un, comprenant vite qu'il allait attendre longtemps. D'ordinaire il n'aurait même pas attendu qu'on l'invite pour s'asseoir et il aurait était plus que ravie qu'une jolie jeune fille l'invite à le faire. Mais tout était différent à présent et il était presser.Puis il s'agissait pas de n'importe qu'elle fille. Il s'agissait de Judith, la jolie blonde avec lequel il avait danse à l'eclipse et dont il avait espéré un minimum d'attention. Vexer ? Probablement mais il l'avouerai sûrement jamais.

Tapotant nerveusement ses doigt sur la table pour essayer de faire passer le temps plus vite, il arrêta vite constatant que ça n'aiderai pas la jeune fille à finir son devoir et par conséquent à lui rendre le bouquin. Il l'observa alors travailler, scrutant le moindre des ses gestes, retenant dans sa tête sans le vouloir le moindre détail de son visage. La forme des ses yeux, la couleur de ses cheveux, l'éclats de ses yeux, tout ce qui capter le regard de William. Se décontractant quelque peu il essaya de se souvenir de se qu'elle avait sur le sujet du devoir et qu'il n'avait bien sûr pas écouter. « droit et éco ». Ce n'est pas vraiment son domaine mais.....

William - Je peut t'aider ? A la mine surprise qu'elle lui adressa il rajouta. T'en qu'â être condamné à attendre, autant me rendre utile. Puis c'est toujours mieux de travailler à deux non ?

Son tons était moins agressif que tout à l'heure et beaucoup plus posé. On voyait dans son regard qu'il faisait des efforts pour se montré gentil et compréhensif malgré son sale caractère et ses nerfs qui était à vif en prévision des futurs examen.

William - C'est quoi exactement le sujet de ta rédaction ?

____
KISS MY EYES AND LAY ME TO SLEEP.
___________________________AFI's song

Sa présence la gênait. Il était là, il ne faisait rien, à part la regarde, ne prenant même pas la mouche après ce qu'elle venait de lui envoyer dans la gueule. C'était dommage, elle aurait bien aimé lui en mettre plein la gueule comme il avait avec Dean. M'enfin, bon... Judith en avait tiré la conclusion que ce dernier était un coureur jaloux. Alors à quoi bon s'y arrêter, hein ? C'était donc, dans cette optique, qu'elle ne répondit pas à ses pulsions meurtrières et donc, à le chasser à coup de livres, puisque c'est ce qu'il était venu chercher. Néanmoins, il y avait réellement quelques choses de blasant, et Judith n'arrivait pas tellement à y mettre le doigt dessus. Réfléchissant tout en commençant la dernière partie de son développement qui se déroulait sur le verso du deuxième parchemin, elle soupira d'énervement lorsqu'elle l'entendit parler de nouveau.

- Je peut t'aider ? A la mine surprise qu'elle lui adressa il rajouta. T'en qu'a être condamné à attendre, autant me rendre utile. Puis c'est toujours mieux de travailler à deux non ?

Judith leva le regard vers William, l'air particulièrement blasé, avant de secouer la tête comme si sa question était particulièrement idiote. Comment diable avait il pu penser qu'elle avait besoin d'aide ? Elle, elle n'avait jamais eut de retenue parce qu'elle ne glandait rien contrairement à lui, William, qui se trouvait cool et amusant après son super palmarès scolaire en tant que glandouilleur professionnel... C'était du même niveau que Kelso et Brett... Sauf que eux, ils n'étaient pas bête... Rectification. OK. Ils étaient bêtes. Voir même très con. Elle posa son regard à travers la vitre de la bibliothèque pour voir Kelso, vêtu de sa robe de quidditch, et demandait à tout le monde :

- Vous savez où est le professeur de Sport ?

Il n'avait rien compris. Qu'est ce qu'il était con... Y avait pas de Fac de Sport à Londres... Comme il n'y en avait pas à El Paso, au Mexique, ni même à L.A, aux États Unis, ou encore à St Petersbourg, en Russie... Elle secoua la tête avant de se reconcentrer sur sa feuille. Le monde était bien triste parfois... La connerie humaine était telle qu'à des moments, ça dépassait presque l'envie d'en rire. Enfin, bon. Elle trempa sa plume dans l'encrier avant de se remettre à écrire sur son deuxième argument concernant son sujet lorsque William se remit à parler.

- C'est quoi exactement le sujet de ta rédaction ?

Non, là, c'était trop...

- Sur les différentes aides qu'ont les femmes pour se débarasser de looser dans ton genre lorsqu'elles se sont trompés sur le compte de leur mari pour pouvoir divorcer.

Elle avait dit cela d'un ton cinglant, et d'un air voulant dire : Lâche moi la grappe. Judith le fusilla du regard avant d'ajouter :

- T'auras ton bouquin... Après.

Puis elle se repencha sur sa feuille.

- Sur les différentes aides qu'ont les femmes pour se débarasser de looser dans ton genre lorsqu'elles se sont trompés sur le compte de leur mari pour pouvoir divorcer.

Looser ???? Looser ???? Rhoo non mais sa va oui . Là sur le coup elle commençait sérieusement à l'agacer. Mais franchement c'est pas vrai ! Il essayer de faire des éffort, d'être gentil et le résultat était qu'il s'en prenait plein la tronche. Ok ok il avait merder avec Rose mais elle pouvait lui dire simplement ce qu'elle lui reprocher au lieu de lui pourrir la vie ? Non ???? Apparemment non :-__-: Ce bouquin il en avait A-B-S-O-L-U-M-E-N-T besoin . Et pas APRES mais MAINTENANT . Purée elle l'énerve . Zen Slayers Zen. Essayant de ne pas se laisser décontenance par l'attitude Je-Fais-S'Ke-J'Veus-D'Abord , il décida de faire ce qu'il avait toujours fait, ce servir de l'humour pour cacher son triturage de cerveau interne. Se mettant face à face de Judith il prit alors une fois efféminé et s'exagérant sur chaque mots, tout prenant un air de fille stupide.

« - M'aider ? Oooooh William ! Comme c'est adorable de te proposer si gentiment. » dit-il en posant ses deux mains sur son cœur faussement émue, imitant la vision qu'il avait de Judith. Puis il bomba le torse d'un air très viril, et fier et d'une fausse voix très forte et masculine il rajouta « Oh mais je t'en prie c'est un plaisir. ».Puis il reprenant le ton féminin « Tu es merveilleux. Pour te remercier, tiens voilà le livre . ».

Sa petite comédie stoppa alors et reprennent son tons de voix normal il finit par lui dire « C'est comme ça qu'ça aurait dût se passer » en lui lançant un regard blazer avant de se lever pour se dirigeait vers la porte, agaçait.

Mais au bout de quelque pas il stoppa net, se rappelant pourquoi il était aller la voir : le bouquin. Il soupira et leva les yeux au ciel ! Qu'avait-il fait au bon dieu pour mériter ça ? Pourquoi autant de haine ? Hein ? Pourquoi lui ? Si cette Judith croyait qu'elle avait affaire au premier mec venu, voir au premier crétin venu, elle se tromper. Il voulait se bouquin et il l'aurait. Il allait lui montré qui était l'homme. Non mais c'est vrai quoi, un homme un vrai ne se laisse pas marcher sur les pieds. Faisant demi tour, il se redirigea vers la table de la blondinette qui n'avait pas bouger et s'approcha d'elle .

-J'ai besoin de ce livre.

Comme une expression de déjà vu non ? Espérons que cette fois ci ça se passe mieux..... Mais rien ne semble moins sûr.....

- Mademoiselle Simoni, Vous seriez E-X-T-R-E-M-E-M-E-N-T adorable si vous aviez gentillesse de me le passer tout de suite dit-il avec un large sourire .

Vu que s'énerver réellement contre elle ne cherchez il opta pour une autre méthode, qu'il avait depuis longtemps roder : l'humour ! Espérons juste qu'elle en est....