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Sujet: Embrumes d'un Prologue **LIBRE** Mar 29 Juil - 1:19
| | Invité
Cling Ding!C'est ce qu'une porte d'un magasin normal aurait normalement fait. Mais au lieu de cela, suite à la poussée du sorcier, ce vieux magasin, dont plusieurs ne connaissaient même pas l'existence, avait une porte digne d'un film d'horreur. Le dernier huilage des gonds de cette dernière devait remonté à il y a quelques décennies, voir sûrement un siècle, ca n'en serait pas surprenant. Donc, dans un crissement métallique assez atroce, la porte tourna sur ses gonds, laissant dans la cadrage se découper la silhouette d'un homme, en complet, d'un noir et d'une propreté implacable, contrastant durement avec le décor...et l'atmosphère de la bâtisse qu'il venait de pénétré. Suivi de deux hommes lui ressemblant franchement, eux aussi habillé d'une façon assez riche. Mais les trois était franchement différent. Celui du centre, un peu débraillé, celui de gauche, complètement strict, malgré sa forte carrure. Celui de droit, quant à lui, semblait porter une sorte d'armure sous ses beaux atours. Bien que cela ne paraisse que très peu, il était toutefois le plus soigné d'entre eux, bien que chacun à leur manière soient de grande classe. Inspectant les lieux du regards, baguette à la main, ils se dirigèrent vers le comptoir, derrière lequel sommeillait encore, la tête entre les bras, une masse hirsute de cheveux gris. Silencieusement, les deux frères à chaque extrémités commencèrent à faire le tour du propriétaire pour voir s'il n'y avait pas personne, ou toute chose absurdement dangereuse. Tandis que ses deux frères s'occupaient de regarder minutieusement, Dominic, lui, s'avança vers le vieil homme, assez subtilement pour ne pas le réveiller, vérifiant que rien ne se cachait derrière le comptoir. Attrapant la baguette du vieil homme, reposant à côté de l'épave qu'il était, Dominic se retourna, attendant que ses frères eurent terminé leur petite ronde. Voyant qu'aucun des deux n'avaient rien trouvé, commniquant d'un haussement d'épaule, il se retourna, suivit de ses frères, en simili position triangle, puis se posta devant le sorcier-dormeur. Râclant sa gorge suffisamment fort, oubliant toute trace de subtilité. Ce faisant, ce dernier sursauta, bondissant hors de sa chaise, laissant sa grosse barbe grise retombé sur son torse, cherchant sa baguette des yeux, il colla un sourire niais lorsqu'il vit qu'il s'était littéralement fait désarmer...
*-Dominic-* Grosse soirée hier, Norman?
*-Norman-* Les Vaughans, hein? J'vous attendais, justement, d'une journée à l'autre. Plus long que prévu...eh!
Désemparé, mais le visage impassible, il continua de fixer le vieil homme, tandis que ses deux frères se regardaient derrière lui, furtivement. Comment ça, il les attendait? Ça voulait dire quoi? Déjà là, il se sentait suivre une route déjà écrite, comme un scénario de film, mais sans en savoir le script. Depuis qu'ils avaient mis la main sur le Codex Draconique, seule piste vers leur père moldu...Et déjà là, une histoire sans queue ni tête. Pourquoi un livre appartenant clairement au monde de la magie s'était glissé comme seule piste vers leur père disparu. Il était moldu, pas sorcier. Et tellement de question, parce que le livre n'était pas écrit en anglais, ou une autre langue connue comme le français ou le latin, facilement décryptable, mais bien dans une langue qui leur était franchement inconnue. Ce qui retardait franchement la progression. Mais le vieux Ben Connor, duquel ils avaient obtenu l'ouvrage au Chaudron Baveur, après quelques méthodes, leur avait révélé que Norman Lester Inc était l'endroit où il avait trouvé le Codex, les avaient emmené ici, en quête de trouver une information, quelque chose qui les permettrait d'avancer dans leur enquête...déjà retardée par la vie des trois frères, entre boulot et pratique de Quidditch de Christopher, il était difficile d'aller aussi rapidement que s'ils n'avaient eu que ça à faire...Et papa Vaughan était peut-être en danger, qui pouvait savoir?
*-Dominic-* Explique toi, Norman. Tu sais que tu s'rais mieux d'le faire. C'pour toi, tu sais...
*-Norman-* Pas besoin de presser les choses, mon garçon. J'suis pas ici en mal, eheh, mais ici pour vous aidez...Du moins...J'crois. J'suis sensé vous donner ça...J'ai été payer assez cher pour ca...Et vous étiez sensé donner l'reste aussi...Donc...euhm...3000 gallions, si vous l'voulez..! *-Christopher-* Non mais t'es malade, fuckin' p'tit vieux?!?
*-Mickael-* Y'aurait pas moyen d'savoir c'que c'est, avant
*-Norman-* Non. Catégorique.
*-Dominic-* Ha ouais? C'est où, ton truc, de toute façon?
*-Norman-* Yup, jeune homme. Et c'est dans l'coffre qui est là, mais t'inquiète, y'a que moi qui peut l'ouvrir, j'ai l'sort tatoué sur l'âme alors...
AVADA KEDAVRA
Et le corps du vieil homme tomba sur le sol, dans un fracassement assez lourd, laissant derrière lui un léger déclic, puis un coffre s'ouvrir derrière le comptoir, que Dominic s'empressa de sauter, sa baguette venant tout juste de lancer un sort aussi puissant rangée dans sa poche, laissant derrière lui ses frères, désemparer, le regardant les yeux ronds. Au moins, c'était pas la première fois. Souriant, ils passèrent à leur tour derrière le comptoir, allant rejoindre le meurtrier. Ouvrant le coffre, ils virent un gros objet ovale, de couleur platine. Mickael, le plus vieux, poussa alors Dominic pour prendre l'objet dans ses mains.
*-Christopher-* C'est quoi?
*-Mickael-* C'est un oeuf de Platinum Nex Necis, un des dragon les plus rare du monde. J'peux l'dire grâce aux runes autour de l'oeuf qui le garde en vie. Et grâce à la couleur platine. Vous comprenez pas, c'est un dragon des anciens temps, l'une des seules races les mieux dressable du monde...et j'ai un oeuf entre les mains!!!!
*-Dominic-* Cool. Tirez-vous, ils arrivent, j'm'en occupe...
Double bruit sonore, ses deux frères se sont sauvés dans leurs appartements respectifs. La mission semble bel et bien être un succès. Sauf qu'il devra se tirer d'ici. La puissance du sortilège a certainement allumé le Ministère, et quoi de mieux qu'une langue-de-plomb pour s'en sortir. Regardant le cadavre, il brise sa baguette en deux, de laquelle provenait le sortilège interdit, et la lance sur son ancien maître. Puis, il passe de l'autre côté du comptoir, et sort par la porte, la fermant d'un coup sec, pour se retrouver dans l'Allée des Embrumes, avec seulement que quelques gens autour de lui. Haussant les épaules, il jette un coup d'oeil pour voir si personne ne le regarde. |
| | | Sujet: Re: Embrumes d'un Prologue **LIBRE** Mar 29 Juil - 17:00
| | Invité
Dans la péninsule anglaise, l'on entendit doucement un petit bruit se faire entendre. Deux silhouettes se dessinèrent non sans mal dans la pièce qui venait tout juste de s'éclairer. C'était un cottage particulier. Il n'était pas bien grand, mais pas non plus petit. Il était pas particulièrement attirant, guère original, quoi, mais il y avait comme quelque chose qui vous marquez l'esprit, tout de même. Serait ce l'étrangeté du lieu ? Sûrement. Il fallait dire que les environs n'étaient pas franchement accueillant, et l'on se serait attendu à quelques choses de cent fois mieux pour un petit cottage situé en plein milieu de la campagne avec pour seul environnement, la mer en face. Non, tout était comme... Abandonné. Cependant, l'électricité semblait encore fonctionné puisqu'ils étaient parvenu à l'éclairer. Anton eut un léger sourire, tandis que Derreck sortit délicatement, sa baguette de sa poche de sa longue et magnifique cape noir. Deux sorciers. Seulement, c'était le seul qui osait l'afficher à tout va. De toute façon, il ne pouvait qu'attirer l'attention lorsque l'on voyait sa tête toute droit sorti d'un de ses mouvements vestimentaires bien particulier. La tête hérissée de piques, le regard accentué de noir, un sourire particulièrement enfantin, mais d'un sadisme étonnant, il s'avançait délicatement dans le couloir, laissant son collègue dans la pièce principale, la baguette au poing, également. Anton était beaucoup plus soft que son ami, Derreck. Lui, il avait cette classe aristocrate. La même que celle de son frère, Aleksandr, que beaucoup de monde connaissait. Elle était juste plus sombre... Son accoutrement particulièrement haute couture, mais qui semblait tiré son inspiration d'un clochard, lui donnait un certain genre puisqu'il était propre, et particulièrement bien habillé, malgré cette accoutrement pour le moins le plus étonnant. Anton effleurait chacun des meubles du bout de ses doigts, mais rien. Rien de ce que son frère lui avait demandé ne semblait se trouver. Il eut un léger soupir avant de s'arrêter doucement sur ce tableau pour le moins bizarre. Dessus l'on y voyait un homme, dans une pièce et qui semblait fouillé la pièce. L'espace de quelques instants, il écarquilla doucement les yeux, comme si cette peinture avait déjà été vu par ce dernier. C'est seulement après qu'il eut l'idée de jeter un regard autours de lui, qu'il comprit. Le tableau le montrait lui. Qu'est ce que cela signifiait ? C'était donc ça... Ce pourquoi Aleksandr l'avait fait venir ? Où... ZZiiiiwff ! Un sortilège de lancé. Derreck se plaqua contre la porte d'une pièce qui s'ouvrit à la volée alors qu'il évitait un sort. Il eut un bruit de verre brisé, et ce dernier sortit en trombe de la pièce où il était entré pour esquiver le fuseau vert sale. La fenêtre avait été brisé, et visiblement quelqu'un en était sortie au vue du pan de cape qui s'était déchiré, et laissé en lambeaux sur le verre brisé. Derreck gueula, mais Anton s'était déjà translocalisé dehors, tendant sa main avec force devant lui. Cette dernière toucha, non, frappa sa cible qui se sentit propulsé en arrière, tombant de tout son long dans le peu d'herbe qu'il y avait. Enfin, herbe… C’était beaucoup de terres pour très peu de terre. Comme si la nature même avait décidé d’abandonné cette endroit comme l’était cette maison où tout était par terre avec des tonnes de poussières et autres pourritures et immondices qui recouvraient le sol. Anton le désarma rapidement, d’un geste de sa baguette. Le sortilège avait jaillit avec rapidité pour taper la main de l’homme qui avait sortit sa baguette. Cette dernière venait d’atterrir aux pieds de Derreck, qui eut un sourire. Il venait de sortir de la maison par la fenêtre cassée, voyez vous ? - Heath Bass ?- Qu’Est-ce vous me voulez ?- Juste savoir si c’est bien toi.- Incarcerem !Les cordes avaient jaillit de la baguette de Derreck alors qu’Heath venait de tenter de se relever pour s’enfuir. Les cordes le saisirent violemment, le plaquant au sol pour s’attacher solidement autours de son corps. Anton s’avança doucement vers l’homme avec un sourire sur ses lèvres fines. Il appuya son pieds sur la tête d’Heath l’obligeant à la foutre contre terre. Anton pointa sa baguette sous l’oreille d’Heath, et il l’endormit doucement. […] - Où on doit les rejoindre, Alik’ ?- Dans une chambre perdue d’une taverne sur l’allée des embrumes... Le Véritaserum...- Ok.- Il est quel heure ?Thomas mit sa main dans sa poche pour en sortir sa montre qu’il n’avait pas attaché à son poignet. A part sa gourmette d’argent, il n’aimait pas du tout avoir les poignets pris. Il regarda le cadran d’argent, avec une petite curiosité polie, pour relever son regard sombre et noisette sur son ami d’enfance. - Il est 19h.- On bouge.Zelig, qui était assis dans un coin de la pièce, releva son regard de son bouquin qu’il était entrain de lire. Aleksandr eut un léger sourire, en posant son regard sur le sorcier légèrement attardé, même si le mot qui convenait le mieux, était : Autiste. - Non, Zelig. Attends, Alicante. Il va revenir d’une minute à l’autre. Il a accompagné sa famille pour leur retour au Mexique. Il arrive dans une heure, et il va sûrement demander où on est.- Tu lui diras qu’on est partit cuisiner Heath. Ajouta Thomas. - Oui, Thomas. Oui, Mr Aleksandr.Il eut un sourire avant de se replonger dans son bouquin, tournant une page de son livre jaunis avec une certaine curiosité enfantine. Aleksandr soupira doucement, tandis qu’il transplana de l’impasse du tisseur. Thomas était sur ses talons. […] - Qu’Est-ce que vous me voulez ?- Tiens, il est réveillé !- Ouaw.. Génial…- Je connais du monde, faites attention ! Et haut…Anton lui assaini un coup de poing particulièrement bien placé dans le coin de la bouche. Heath poussa un gémissement de douleur, tandis qu’Anton se caressait délicatement son poing avec son autre main. Derreck éclata de rire. - Espèce d’aristocrate !- Ta gueule, Shreck.- Nooon ! Tu sais très bien que j’aime pas particulièrement ce personnage ! Je préfère l’âne !- En tout cas, t’es aussi casse couille que lui.- Je prends ça comme un compliment !Derreck eut un sourire qui dévoila toutes ses dents. Anton secoua la tête en esquissant un léger sourire, avant de saisir Heath par les cheveux et de lui dire, tout en rapprochant son visage du sien. Derreck était contre la fenêtre, guettant à l’extérieur l’arrivée d’Alik’ et Thomas. - Pour ta gouverne, c’est pas avec nous que tu vas nous faire ce petit coup là… Quoi tu connais des mangemorts ? Fit Anton, avec une arrogance notable. - C’était trop marrant, Bass… Tu te sens pas de nous refaire le coups de la pauvre victime ?Pour toute réponse, Heath cracha au sol. Anton esquissa un léger sourire avant de lui mettre une gifle. A ce moment là, on entendit deux transplanages dans la ruelle, suivi au même moment, d’un bruit sourd à l’étage en dessous. Anton releva la tête, soumettant Heath au silencio. Derreck fit un geste silencieux à l’attention d’Anton pour l’empêcher d’aller voir ce qui se passait. Thomas et Alik’ venaient d’apparaître dans la ruelle. […] Thomas commençait à monter les marches du perron, de l’auberge ( qui était une taverne, en vrai ), tandis qu’Aleksandr était resté plus en retrait dans la ruelle, entrain de terminer sa cigarette qu’il jeta un peu plus loin. - Avada Kedavra !Thomas sortit sa baguette magique. Aleksandr suivit le même rythme, aussitôt, des bruits sourds se firent entendre. Un corps qui tombait. Par de là, le troue de la serrure, l’on avait vu la lueur verte. Le chasseur de Loup garou poussa la porte de la taverne, mais à l’intérieur, il n’y avait plus rien. Automatiquement, sa première idée fut de trouver la sortie de secours qui donnait dans la ruelle. Aleksandr avait sortit sa baguette qu’il laissait traîner à la hauteur de sa cuisse posant son autre main sur le mur, comme guettant l’arrivée de l’auteur du maléfice interdit. Quelques sorciers étaient sorties de la boutique d’à côté comme pour regarder dans la rue la source du bruit. Une autre porte s’ouvrit. Une de la taverne. Aleksandr eut un léger sourire - Vaughan ! Qu’Est-ce qu’une lange de plomb vient faire dans le coin ?Aleksandr souriait. Pourtant, il n’en était pas moins méfiant. Cela faisait bien trois ans qu’il avait quitté son poste de directeur du département des mystères pour le poste de directeur de Poudlard. Fonction qu’il n’avait désormais plus. Derrière Vaughan, silencieusement, la silhouette de Thomas Slayers se faisait apercevoir. Ce dernier esquissa un petit geste latéral de son pouce sur son cou, lui faisant comprendre qu’il y avait bien un mort. Alik’ gardait son regard plantait sur la silhouette de Dominic. |
| | | Sujet: Re: Embrumes d'un Prologue **LIBRE** Mar 29 Juil - 18:05
| | Invité
Pulsation cardiaque montant en flèche, transpiration se faisant sentir, tout symbole d'une nervosité à son apogée, aurait pu apparaître sur un paquet d'individu, mais pas sur quelqu'un comme Dominic Vaughan. Froid et impassible, entendant des bruits qu'il aurait préféré ne pas entendre, il resta stoique. Il pouvait sentir l'agitation ici et là, qui s'en venait vers lui. Déjà, il ne s'attendait pas à ce que personne entende, mais il avait dû s'emporter en lançant le sort ultime. Malgré que c'était un peu normal. Un sort de cette puissance demandait beaucoup d'énergie...qu'il n'était pas habitué à utiliser. Ce n'était pas son premier, bien entendu, mais il reste que c'est une habitude que peu de personne prenne, de faire un meurtre ici et là. Quelque fois, pour la cause, cela devait être fait, en autant que l'on en abuse pas. Donc, nouvelle théorie qu'il ramenerait au labo, un sort comme un avada kedavra, tout dépendamment de la puissance du lanceur, ne peut être formulé autrement qu'en criant, si la puissance du sorcier est moyenne. Parce qu'il est connu qu'un sorcier faible ne pourra jamais lancé un tel sortilège. Et ainsi donc, dans son statut de sorcier compétent, mais sans envergures comme Merlin, il avait dû crier l'incantation. Merde. Ca devait être pour ca qu'il entendait les gens circuler beaucoup plus stressé. Mais il était un expert dans son travail, et le fait de retourner la baguette contre son maître avant de le tuer allait sûrement pouvoir lui éviter beaucoup d'embarras...et qui sait, Azkaban...Bien qu'elle ne soit beaucoup moins effroyable que précédemment. Reste-t-il qu'il a une certaine réputation, un bon emploi, bien rémunéré, mais qu'il ne tient pas particulièrement à pourrir un certain temps en prison et de perdre tout ce qu'il détient? Matérialiste? Pas absolument. Humain, oui. Mais bon, l'action s'passait....derrière lui.
- Vaughan ! Qu’est-ce qu’une lange de plomb vient faire dans le coin ?
Sursautant légèrement, il se retourna toutefois lentement, ayant reconnu la voix qui l'engueulait il y a de ça quelques années. Les mains dans les poches, il vit que comme il l'avait cru, nul autre qu'Aleksandr Souvorov, son ancien patron, maintenant membre encore plus imminent de la société magique. Le dernier souvenir qu'il avait avec lui, c'était la rencontre qu'il avait eu dans son bureau quand Dominic avait battu...un peu trop...un important membre du magenmagot, mais qui s'était avéré utile, à l'époque. Bien que toujours à St-Mangouste, on peut dire qu'il était l'élément clé de l'enquête.
Au moins, il était souriant. Ca lui sauvait quand même un peu de difficulté, du moins, un peu de pression. Il reste qu'entre toutes les personnes qui aurait pu se trouver devant lui dans le moment, il n'aurait jamais pensé à son ancien employeur. Ca aurait pu être tellement de personne différente. Pourquoi pas la Ministre de la Magie, tant qu'à avoir le Directeur de Poudlard sur les talons. Mais bon, en fin d'compte, il aimait mieux avoir Souvorov que Shakespeare dans les pattes. Un peu moins dangereux, quand même, étant donné que Shakespeare a accès à son job, son patron...et toute sa famille, si elle y tient vraiment. Haussant les épaules, d'une voix ferme, sans tressaillement, répondit du tact au tact à son interlocuteur.
*-Dominic-* Ha! Monsieur Souvorov, ça fait longtemps. Voyez-vous, je cherchais quelque chose dont je n'peux parler, comme vous devez bien vous en douter, quand j'ai entendu un sortilège impardonnable. Courant vers ici, du plus subtil que je pouvais, baguette à la main, j'suis arrivé trop tard. Sûrement un mangemort qui venait de transplaner. Y'a eu gros des victimes?
Dit-il avec un sourire lui-aussi. Ignorant la présence de Slayers derrière, qu'il n'avait pas vu, il osa ajouter la suivante:
*-Dominic-* Et vous, monsieur le Directeur, puis-je vous aider à quoi que ce soit, le Ministère serait ravi de vous aider.
Petit sourire, il s'incline, et du coin de l'oeil, remarque pour la première fois Thomas Slayer, mais ne fait comme si rien n'était. Fallait s'y attendre, le Directeur ne s'promènerait pas seul dans un tel endroit... |
| | | Sujet: Re: Embrumes d'un Prologue **LIBRE** Sam 2 Aoû - 1:22
| | Invité
- Tu me dis ce qu'ils foutent, là ?Anton avait parlé, lâchant les cheveux d'Heath avec dégoût. Ce dernier s'essuya les mains sur son pantalon, frottant la paume de ses mains sur ses cuisses recouvertes de son pantalon noir. Derreck leva légèrement le rideau. A peine, c'était quelque chose d'extrêmement léger et difficilement perceptible. Comme si Derreck avait cette habitude particulière de surveiller ou de guetter. Comment différencier les deux, puisqu'ils veulent dire à peu près la mêm chose, sinon, cette légère nuance bien perceptible ? Quoi dire ? Que faire ? Derreck était serein, souriant, et sûr de lui. Son regard noisette se balaya dans la ruelle avant qu'il ne pose son regard sur Aleksandr, avant de reposer son regard sur Anton. - Il discute.- Doit y avoir un rapport avec ce qui s'est fait entendre en dessous.- Sûrement.Anton s'approcha doucement de la fenêtre, puis, il posa son regard sur Aleksandr de façon insistante. Comme si il voulait l'appeler du regard. Derreck secoua doucement pour poser son regard sur Heath qui gémissait doucement. - Qu'est ce que t'as ?- J'ai soif, et j'ai mal !- Tu n'avais pas à être aussi arrogant.- En gros, tu lui as cassé les couilles, et t'as mérité ce qu'il te fallait pour que tu la fermes.- Oui, mais j'ai mal...- Tu avais soif, je crois, non ? Demanda Anton, légèrement soucieux, d'un coup. - Euh... Oui... répondit Heath, comme si il se doutait de quelque chose de pas net dans la question d'Anton. - Ok. Derreck ? Sers lui à boire.- Tout de suite ! s'éxécuta Derreck, avec un sourire sadique. Il sortit doucement sa baguette, presque avec délice. Heath eut un moment de pur panique. Ce dernier tenta de se débattre des cordes et sur sa chaise. Derreck brandit sa baguette vers le visage d'Heath. - Arrêtez ! Non, par pii-AARRGH ! Bloubloublou !C'est qu'il venait de se prendre un aguamenti dans la gueule, voyez vous ? [...] - Ha! Monsieur Souvorov, ça fait longtemps. Voyez-vous, je cherchais quelque chose dont je n'peux parler, comme vous devez bien vous en douter, quand j'ai entendu un sortilège impardonnable. Courant vers ici, du plus subtil que je pouvais, baguette à la main, j'suis arrivé trop tard. Sûrement un mangemort qui venait de transplaner. Y'a eu gros des victimes ?- A vous de nous le dire, Vaughan...C'est ainsi que Thomas parla, se montrant ainsi, ou du moins, se faisant entendre, comme il le fallait. Aleksandr eut un léger sourire. Futé, le Dominic... Bien sûr qu'il ne pouvait rien dire, c'était normal, il était langue de plomb. Thomas tapota sa tempe de son index, comme pour faire comprendre à Alik' de se plonger à l'intérieur de l'esprit de Vaughan avec la legilimencie pour en retirer les informations nécéssaires. Cependant, Alik' posa son regard sur Thomas, puis sur Dominic, faisant bien comprendre à son meilleur ami, que ce n'était pas le moment pour qu'Alik se plonge dans la tête de quelqu'un. Surtout que c'était une langue de plomb, et qu'il avait, même si il ne l'était, ou du moins, supposé ne pas être occlumen, un esprit suffisamment biscornu et compliqué pour qu'il le fasse sur un coup de tête... Puis, Aleksandr était quelqu'un de bien élevé. Pénétrer dans la tête d'une personne, c'était comme... La violé, vous comprenez ? - Je ne sais pas... Sûrement qu'une seule, puisque c'est une seule incantation que nous avons entendu... Bien sûr, il y a d'autres façons pour tuer...- ... Mais à première vue, il n'y a rien d'autres que ce pauvre ( à noter qu'à ce moment là, Thomas avait prononcé ce mot avec une certaine médisance ) barman...Il n'était pas froid dans son ton de voix, mais il était dur. C'était étrange... Comme si Thomas ne savait pas réellement où se placer. Devait il pisser à droite ? à gauche ? Ou tout simplement devait il rester impartial ? Aleksandr semblait décontract. Il semblait très détaché de cette situation... Comme si elle lui importait peu... Cependant, il réfléchissait. Toujours, il réfléchissait. D'autant plus, que même si une langue de plomb a le don de se trouver dans les endroits les plus inopportuns, il fallait savoir que cette taverne... C'était comme si cette dernière avait, soudainement, un attachement particulier, dans le sens où il y avait quelque chose d'étrange, de mystérieux... Une Langue de Plomb ne fait que ça... Elle n'irait pas là où il n'y a rien à faire... Du moins, pour le commun des mortels. - Et vous, monsieur le Directeur, puis-je vous aider à quoi que ce soit, le Ministère serait ravi de vous aider.- Ça, j'en suis moins, sûr, Dominic... Et cessez de m'appeler ainsi. Ca fait bien quelques années que l'on se connaît, non ?Un léger sourire flotta sur les lèvres du russe. Thomas réfléchissait, également. Il tentait de glaner des informations dans le comportement d'Aleksandr et de Domininc, pour en savoir le plus possible sur ce dernier. Un lien était établi entre les deux, chose qui ne le surprit même pas car il savait qu'Alik' avait travaillé dans le département des mystères, et que, d'après Miguel, et ce que certains sorciers et sorcières de sa connaisance lui avait dit, il avait même eut la direction de ce ministère. Alik' leva un sourcil, levant ses iris de façon imperceptible, pour voir son frère, du moins, la fenêtre où ces derniers étaient cachés. Il posa son regard de l'autre côté de la rue de façon naturel, puis, il reposa son regard sur Dominic, comme si de rien n'était. - Seriez vous enclin à pénétrer dans cette taverne pour que l'on discute un peu ? Le ministère ne se déplacerait pas ici, surtout durant les temps qui courent...- Ah, la corruption...Thomas eut un léger petit rire, avant de se retourner pour pénétrer de nouveau à l'intérieur de la taverne. Aleksandr posait son regard dans les yeux de Dominic, comme attendant sa réponse, avant de faire le moindre mouvement. [...] - Il a compris le message. J'ai compris le sien. Fit Anton, après sur son frère ait posé ses iris sur les siennes. Anton posa son regard sur Heath, puis sur Derreck qui venait de cesser son aguamenti. - Tant mieux ! Ca nous évitera de lui envoyer un hibou où de descendre le rejoindre...- Garde ton ironie pour Heath, vieux.- T'as vu, Heath ? Il est familier avec moi... Il a dit vieux... Fit Derreck, l'air stupéfait. Anton secoua la tête, tandis qu'Heath murmurait doucement des paroles incompréhensible. |
| | | Sujet: Re: Embrumes d'un Prologue **LIBRE** Lun 4 Aoû - 21:23
| | Invité
- A vous de nous le dire, Vaughan...
Bon, il n'était pas seul. Pas surprenant, étant donné qu'il était quand même un haut placé au sein du monde magique. Mais bon, déjà, il se sentait plus à l'aise. Si le bodyguard du directeur osait se montrer, c'est que les soupçons à son égard avaient diminuer. Mais bon, Dominic n'était pas idiot au point de croire qu'il avait effacé tous les soupçons, mais au moins, il avait une légère protection. Et en plus, c'est pas comme si c'était vraiment un évènement majeur, avec tous les meurtres qui se perpétuent à cette époque sombre et sale, bien qu'actuelle...Puis contact visuel. L'homme était vraiment derrière lui, et il semblait vouloir communiqué par signe avec Aleksandr. Pourquoi n'avait-il pas des yeux derrière la tête? Il pourrait au moins savoir qui c'était.
- Je ne sais pas... Sûrement qu'une seule, puisque c'est une seule incantation que nous avons entendu... Bien sûr, il y a d'autres façons pour tuer... - ... Mais à première vue, il n'y a rien d'autres que ce pauvre barman...
Bon, s'en était trop. Dominic se décala d'un pas vers l'arrière, de sorte qu'il puisse voir les deux hommes avec lesquels il conversait. Reconnaissant Thomas Slayer, qu'il ne connaissait que de vue, sans savoir qui c'était vraiment. Et les deux semblaient complètement différent. Aleksandr avaot l'aisance des grand...tandis que du peu qu'il connaissait Slayer, ce dernier n'était pas trop dans son élément. Mickael ne lui avait-il pas déjà parler de lui comme étant un de ses co-employés? Vague, trop vague. Reste-t-il qu'ils s'inquiétaient du meurtre d'un barman inutile. Peut-être un élément-clé, et peut-être que l'un des deux hommes avaient à faire avec toute cette histoire.
- Et vous, monsieur le Directeur, puis-je vous aider à quoi que ce soit, le Ministère serait ravi de vous aider. - Ça, j'en suis moins, sûr, Dominic... Et cessez de m'appeler ainsi. Ca fait bien quelques années que l'on se connaît, non ?
*-Dominic-* C'est vrai, c'est vrai. Comment tout l'monde vous appelle, déjà...heum, Alik'??
Bon déjà là, il tentait de détendre Dominic. Mais ça ne marcherait pas, il n'ouvrirait pas les portes de son esprits aussi facilement. Il n'était pas le meilleur occlumens, mais il avait déjà travailler dans ce domaine, comme toute Langue-de-Plomb. Ça fait partie du métier, de se fermer aux autres, et Alik' le savait que trop bien. Il avait passé par le même chemin tortueux que Dominic marchait actuellement, donc qu'est-ce que cela pourrait réellement changer? Donc, ne s'occupant pas trop de Slayer, fixant plutôt son ancien patron, beaucoup plus imprévisible qu'un...Slayer...il le vit, regarder l'autre côté de la rue. Donc, il attendait quelque chose, ou bien quelqu'un. Parce que si Dominic était ici pour une raison, véritablement, celle d'Aleksandr devait être aussi bonne que la sienne. Parce qu'on ne vient pas dans l'Allée des Embrumes pour errer et ne rien foutre. Du moins, si l'on est sain d'esprit, on ne le fait pas. Mais c'est pas tout le monde, dans le monde magique, qui est sain d'esprit. Au contraire, juste à voir aller les Orlovs et cie, il serait même pas surprenant que l'ancien Directeur des Mystères soit devenu fou. Fallait l'être pour aller s'asseoir à Poudlard dans les temps qui court.
- Seriez vous enclin à pénétrer dans cette taverne pour que l'on discute un peu ? Le ministère ne se déplacerait pas ici, surtout durant les temps qui courent... - Ah, la corruption...
*-Dominic-* Y'en a partout. Dommage, l'monde n'est plus c'qu'il a été...
Puis, après sa petite phase philosophe, juste un stratagème pour faire croire qu'il s'était détendu, il prit la direction de la porte, sortant sa baguette. Marchant à petit pas, il s'approcha de la porte entrebaillé, faisant comme s'il ne savait pas ce qu'il avait à l'intérieur. Regardant par l'entrouverture qu'il avait laissé auparavant poussant un peu plus, il vit...Rien, à l'intérieur. Il ouvrit la porte, lentement, prudemment, même si prudence n'avait pas lieu d'être. Puis, d'un coup de pied, il poussa la porte qui s'ouvrit complètement, laissant qu'un cadavre comme décor, alors qu'un stupéfix informulé parcourait la salle pour venir mourrir sur le mur, provenant directement de la baguette de Dominic. Un autre moyen de s'en sauver, comme le dernier sort maintenant utilisé par la baguette de Dominic venait d'être remplacé par un sortilège de stupéfaction, alors qu'il effaçait sans que personne ne s'en rende compte les traces de son passage...et meurtre, par la même occasion. Il entra donc à l'intérieur de ce même édifice pourri, s'en alla vers le cadavre. Pointant le cadavre...
*-Dominic-* Yup, l'est bien mort. -Puis pointant la case qu'il avait vidé auparavant- Et quelqu'un semble avoir trouvé ce qu'il cherchait au détriment de ce pauvre vieil homme. Mais c'est pas important, ce qui est prioritaire, c'est pourquoi vous êtes ici, Aleksandr...!
Puis, Dominic mit ses mains dans ses poches, avant de se diriger vers le casier qu'il venait de pointer, faisant mine de tenter trouver un quelconque indice, car évidemment, il n'y en avait pas. C'est pas Dominic Vaughan, Langue-de-Plomb aguerri, qui se planterait dans ce qu'il fait de mieux! |
| | | | | | | Embrumes d'un Prologue **LIBRE** | |
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