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 Stand My Ground [PV]

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Stand My Ground [PV] EmptyJeu 10 Juil - 0:55


http://psycotgirl17.skyblog.fr

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Le 2 Novembre, au matin.

William n'avait pas bien dormit cette nuit là. Étant arrivé la veille c'était la première fois qu'il avait l'occasion de faire un nuit complète à l'impasse. Mais il n'était pas arrivé à fermer l'œil. Lorsqu'il avait les yeux clos il ne cesser de voir Asphodèle baignant dans son sang et la gorge trancher. Il essayait de chasser cette image de son esprit mais sa mort était trop récente pour qu'il y arrive. Il sentait constamment cette rage en lui et cette envie de tout dévaster. S'il avait était seul il aurait sûrement lancer du feu à tord et à travers, mais il ne pouvait pas car ça aurait attiré l'attention sur lui. Puis de toute façon il ne maitrisait pas son pouvoir. Ce qui était bien embêtant d'ailleurs car à la moindre colère il risquait de brûler ce qui se trouvait à proximité de lui. Fort heureusement lorsqu'il était à proximité de Rose il se sentait plus apaisé. Mais malheureusement elle n'était pas là. Ils ne dormaient pas ensemble à son plus grand regret.

Sans un mot et sans réveiller les personnes aux alentour il se leva et se mit à marcher après avoir pris le soin de s'habiller. Il n'avait aucune idée de l'endroit où il allait mais peu importe, il avait besoin de marcher. Marcher et se vider la tête. William était tellement enflammer et énerver depuis l'attaque de Poudlard qu'il avait du mal à rester en place. Il voulait les retrouver. Retrouver les Mangemort qui avait gâcher sa vie et les tuer tous un par un. Si les Mangemort n'avait pas existé peut-être qu'il aurait eut une vie paisible et heureuse. Il voulait venger Asphodèle au plus vite mais après la discussion avec son père la veille il en était venu à la conclusion qu'il devrait attendre un peu, pour éviter que Thomas ne se fasse s'il quitter l'impasse sans rien dire. Puis malgré la haine et la rancœur qui habiter son cœur son amour pour Thomas et Rose réunit était peut-être plus fort. Voilà pourquoi il était toujours là. Mais comme un Lion en cage, il pester en silence contre tous et rien. Incapable d'exprimer sa peine autrement que par la colère. A force de marcher il se retrouva dans un lieu à l'écart.

Regardant aux alentours pour s'apercevoir qu'il n'y avait personne. Se mettant face au mur, il lança d'un seul ses mains en avant, paume vers le ciel et des boule de feu s'élevèrent de ses mains pour attérit sur le bloc de béton. Une sourire jouissif naquit alors sur les lèvres de William, tandis qu'il observa les flammes dansaient. Le regard brillait il regardait le feu tout consumer et observait le moindre détail. La couleur. La forme. Et encore l'odeur de brûler. Sa lui faisait un bien fou. C'était jubilatoire et ça l'aurait était sûrement deux fois plus si ça avait était sur quelque chose de vivant comme la colombe, la veille. Il observa ainsi son œuvre avec fierté pendant quelque minute avant de sortir à regret sa baguette et de lancer un Aguamenti. C'est à instant qu'il entendit un bruit de pas. Surpris, sur la défensive et ses garde il se retourna baguette en main et l'air plus menaçant que jamais.
 
MessageSujet: Re: Stand My Ground [PV]   
Stand My Ground [PV] EmptyJeu 10 Juil - 23:45



Invité
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You know that place between sleep and awake,
the place where you can still remember dreaming ?
That’s where I’ll always love you.
That’s where I’ll be waiting.


    La jeune fille s’éveilla brusquement, se relevant d’un seul coup de son lit. Le souffle saccadé, la mine paniquée, Rose posa ses yeux bleus autour d’ elle, ne se souvenant plus dans les secondes qui suivirent son réveil brusque où elle se trouvait. Peu à peu, elle reprit son souffle, soupirant avec soulagement et abaissant sa garde lorsqu’elle comprit qu’elle était à l’Impasse. Les multiples cauchemars qui avaient hanté ses nuits, parcourus de morts-vivants, de cadavres, ou pire encore de James et Dean baignant dans leur sang, avaient arraché quelques larmes à la jeune Mandrake qui les essuya d’un revers de main. Elle passa doucement ses doigts frêles dans ses longs cheveux blonds, les rejetant en arrière tandis qu’elle toisait la chambre vide. Le lit pas encore défait de sa mère témoignait que cette dernière n’était pas venue se reposer, trop affairée à s’occuper des blessés, sans nul doute. Son cœur ralentit enfin, soulagée d’être loin de ces cadavres et de ces cris stridents donnant froid dans le dos, cependant une vague de malêtre mêlé d’une peine immense s’empara d’elle. Durant de longues minutes, le regard de Rose s’attarda au loin, telle une coquille vide elle ne pensait plus à rien, tentant d’exorciser ses craintes. Enfin, la jeune fille sauta de son lit et alla se doucher afin de se laver de tous ces cauchemars et ces visages en détresse qui semblaient la souiller corps et âme, comme une vague de culpabilité.

    Rose sortit de la maisonnette, donnant sur des passages déserts et calme. Ce silence de mort lui donna froid dans le dos, le visage blême de la jeune fille ne montrait que trop qu’elle n’était pas à son aise. Encore et toujours, ses pensées se tournèrent vers le rêve qui était venu hanter sa nuit. Elle l’avait vu, étendu au sol, inerte, froid et livide. Un corps sans vie gisant au sol sous la panique générale et dans l’indifférence totale des assaillants. Dean, étendu sur le sol, ne respirait plus. Recroquevillé sur lui-même il avait perdu toute cette vie qui d’habitude l’habitait tant, pétillant et joyeux. La gorge de Rose se noua soudainement, lorsqu’elle ressentit de nouveau un frisson lui parcourant l’échine. Elle se frotta les bras, espérant trouver un peu de chaleur. La jeune fille n’avait que peu dormi, et sentait ainsi le froid s’immiscer dans chacun de ses membres avec force. Il lui manquait bien trop, pourtant ils ne s’étaient quittés que la veille. Néanmoins la Gryffondor n’avait jamais vraiment vécu sans lui, sans son meilleur ami, et en ce jour elle ressentait un manque impossible à combler. Rose se mit alors à chercher Stephen du regard, qui bien évidemment n’était pas dans les environs, espérant alors le convaincre de faire revenir Dean, et James par la même occasion. La jeune Mandrake commença alors à marcher sans aplomb vraiment, ses yeux bleus pensifs posés au sol, calme et fatiguée. Lorsqu’elle daigna lever la tête, Rose entraperçut une silhouette familière qui disparut tout aussitôt. Thomas Slayer n’était pas vraiment un homme plein de tact, mais au moins il s’investissait dans ce qu’il faisait. Sans doute partait-il pour aider quelques élèves qui se sentaient mal. La jeune fille continua son chemin, jusqu’à apercevoir une nouvelle silhouette au détour d’une rue, jouant étrangement avec sa baguette. Rose esquissa un sourire rassuré, et s’avança un peu plus vers William dans un pas plus déterminé. Soudain, le jeune homme se retourna sans qu’elle ne s’y attende, sur ses gardes, le regard vif et glacial, pointant sa baguette sur la Gryffondor. La jeune fille sursauta d’abord légèrement sous la surprise, avant d’esquisser un très léger sourire.

    Rose - Je vois que toi aussi tu as mal dormi. Je ne pense pas que les mangemorts viendront ici, dit-elle en raison de l’attitude de William qui était véritablement sur la défensive. Au fait, j’ai croisé ton père.

    Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle se lançait sur ce sujet délicat. Néanmoins Rose avait repensé à la veille, le comportement du père de William lui avait paru étrange et déplacé. Si Satine était revenue auprès de sa fille en lui jouant ce numéro, il était certain que Rose n’aurait pas accepté de lui faire de nouveau une place dans sa vie, même si elle en avait besoin. Néanmoins cela devait sans doute résulter d’une histoire d’éducation, Rose et William n’avaient véritablement pas le même point de vue sur le monde. Pour elle, une femme pouvait tout aussi bien se battre aux côté d’un homme. Sa mère ayant combattu auprès de son père, Rose ne pouvait voir les choses autrement. Plus encore, très à l’aise avec ses sentiments, la jeune fille n’avait pas saisi cette persistance entre le père et le fils à ne pas avoir l’un pour l’autre des gestes tendres, alors que c’était légitime. La jeune Mandrake plaça distraitement une mèche de cheveux blonds derrière son oreille avant de poursuivre.

    Rose - Si j’avais encore mon père, je crois que je lui sauterai dans les bras, dit-elle dans un sourire, sans jamais lui faire des reproches mais souhaitant seulement parler un peu d’elle, fait rare. Même si mon grand-père continue à dire des horreurs sur lui, je m’en fiche. J’aurai donné beaucoup pour ne pas vivre avec Angus. rétorqua alors Rose dans un soupir. Tu as beaucoup de chances de l’avoir retrouvé. Enfin... ça t’intéresse peut-être pas, ce que je te dis.

    Rose haussa légèrement les épaules. Depuis que William affichait cet air froid, elle se sentait un peu moins rassurée, comme si elle s’attendait à ce qu’il lui tourne le dos d’une seconde à l’autre et qu’il la repousse. Elle hésitait alors à esquisser des gestes tendres, de peur de le voir partir, le regard noir et froid.
 
MessageSujet: Re: Stand My Ground [PV]   
Stand My Ground [PV] EmptyMar 15 Juil - 0:32


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C'était Rose. Décidément c'était toujours elle. Si ça continuait il allait vraiment finir par croire qu'elle était un ange de dieu envoyer pour veiller sur lui. Ça ou alors elle était espionne et enquêter pour le compte qu'Enrique. Quoi qu'il en soit elle était toujours quand il avait besoin de quelqu'un . Mais ce n'est pas pour autant que cela lui tira un sourire. Il était comme devenu imperméable au chose et a part de la colère il avait du mal à ressentir autre chose.

Rose - Je vois que toi aussi tu as mal dormi. Je ne pense pas que les Mangemorts viendront ici,
William - On ne sait jamais. Ils faut être prêt à tout. Puis tu as entendu Thomas, il y en as quatre ici.


Toujours cet air froids, glacé et renfrogné. Parler des Mangemort n'arrangeait pas son humeur. Il valait mieux qu'il ne croise pas un d'ici tôt. Sinon il ne donnait pas cher de sa peau.

Rose - Au fait, j’ai croisé ton père.
William - Ah ! C'est bien !


Il ne semblait pas plus ravie que ça d'entendre parler de son père. Il n'en lui en voulez pas mais il ne savait pas trop comment se comporter avec lui, sans qu'il ne pense que c'était pour lui plaire. Puis leurs conversation de la veille lui rester encore beaucoup trop en mémoire. William n'avait pas eut le temps de tout assimiler, et tout analyser. Il avait une vision tout à fait différente de son père à présent et il devait se resituer par rapport à ça. D'autant plus que si on rajoute à cela les événements du bal il avait toute les raison du monde d'être froid et distant malgré lui.

Rose - Si j’avais encore mon père, je crois que je lui sauterai dans les bras,
William - Encore ? Ton père est.... mort ? .... Je l'ignorais...


Il s'était retournait vers elle surpris, et cette fois-ci il l'a regarda dans les yeux. Il ne s'entendait pas à ce qu'elle lui dise cela. Elle avait éveiller sa curiosité et l'avait pris au cœur. Il l'écouter avec attention. Il ne lui avait fait aucune condoléances car il savait se qu'il ressentait lorsqu'on lui en faisait . Il se sentait encore plus triste et ensuite honteux de se sentir si faible. Et il ne voulait pas que sa fleur se sente comme ça. Un « je suis désolé » ne ramènerai pas son père.

Rose - Même si mon grand-père continue à dire des horreurs sur lui, je m’en fiche. J’aurai donné beaucoup pour ne pas vivre avec Angus. Tu as beaucoup de chances de l’avoir retrouvé.
William - Peut-être.... Enfin sûrement.....
Rose - Enfin... ça t’intéresse peut-être pas, ce que je te dis.
William - Si ! Si ça m'intéresse. Tu dois vraiment nous trouver ridicule à agir ainsi tout les deux non ?


Il semblait un peu moins renfermé. Peut-être parce que c'était elle. Peut-être parce qu'il savait que ce n'était son genre de parler de sa famille. Peut-être parce qu'il se sentait con de sa réaction. Aller savoir. Quoi qu'il en soie s'était le moment où jamais si elle voulait parler. Un peu . Il rangeait sa baguette et se rapprocha d'elle, la serrant dans ses bras. Avec ce geste tendre il s'excuser un peu de sa maladresse depuis le bal. Il savait qu'il ne faisait pas vraiment ce qu'il fallait mais ça ne voulait pas dire que ses sentiments envers elle avait changer. Il lui faudrait juste du temps pour devenir comme avant. Enfin si toutefois ça arrivait.....

William - Raconte moi. Il est mort comment ?


Il la lâcha pour s'asseoir sur le sol. Il lui fit signe de venir s'asseoir devant lui. A l'abri. Dans ses bras.
 
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Stand My Ground [PV] EmptyMer 16 Juil - 2:47



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    Il demeurait froid et inexpressif, faisant douter la jeune fille de ses propres propos. Rose ignorait si à ce moment même, William se souvenait encore des mots qu’il lui avait prononcé la veille. Je t’aime. Lorsqu’il lui avait fait ce si doux aveu, dans la cabane hurlante, elle avait préféré ne pas répondre, laissant alors la magie du moment demeurer encore quelque peu, entrecoupée de leurs larmes. Mais au jour d’aujourd’hui, alors même que Rose ne s’était posée aucune question la veille, elle commençait à douter des paroles du jeune Slayers. Les paroles étaient sans doute sorties sur un coup de tête, lorsque l’on sortait de quelque chose de traumatisant, l’on avait tendance à faire ou dire n’importe quoi. Elle lui parlait sans savoir pourquoi, s’attendant étrangement avec certitude qu’il l’enverrait balader à la première occasion. Depuis l’attaque, William n’avait cessé de se montrer froid et lunatique, Rose n’avait d’ailleurs toujours pas digéré la réplique du Gryffondor lorsqu’elle avait dit tout ce qu’elle avait sur le cœur à son père. Certes, ce n’était pas ses affaires, mais en un sens la jeune fille était persuadée avoir raison. Pour une rare fois où elle avait tenu tête, on l’abaissait plus bas que terre, taisant son droit à la liberté d’expression, elle qui s’était toujours tue. Injustice. S’ils voulaient quelle se taise, soit, elle le ferait, mais qu’on ne vienne pas lui reprocher d’être trop taciturne par la suite. Dès lors, Rose avait officiellement pour responsable de son étouffement, les adultes qui trop imbus de leurs soit disant pouvoir ordonnaient de se taire à la moindre occasion. Cette pensée n’éveilla cependant aucune colère en la jeune fille, qui demeurait étrangement sereine quoique quelque peu distante avec William. Un jour, elle ferait ses preuves, et ils n’auraient plus l’occasion de la mettre dans l’ombre lorsqu’elle voulait sa petite part de lumière. Plus jamais. La froideur du jeune garçon n’arrangeait pas les choses, la jeune Mandrake avait l’impression de se trouver avec un inconnu, et commençait à douter qu’elle trouverait du réconfort dans les bras de William. La jeune fille était même prête à tourner les talons dans un bref sourire triste, mais la voix sincère du jeune Slayers résonna alors.

    William - Si ! Si ça m'intéresse. Tu dois vraiment nous trouver ridicule à agir ainsi tout les deux non ?

    La jeune fille ne répondit pas de suite, prise au dépourvu. Elle esquissa cependant un bref sourire, posant ses yeux bleus au sol, mettant alors distraitement une mèche de ses cheveux blonds derrière son oreille. Les trouver ridicules ? Que pouvait-elle en dire, comment pouvait-elle comparer. Elle avait été coupé de gestes tendres durant huit ans, et à voir agir son grand-père comme il le faisait, Rose avait presque fini par se mettre en tête qu’il était normal qu’il agisse ainsi, que c’était de même dans toutes les familles… Jusqu’à ce qu’elle passe ses vacances chez les Carlson.

    Rose - Je ne sais pas. J’ai pas vraiment de points de comparaison, dit-elle dans un bref sourire. Mon grand-père n’est pas vraiment des plus affectueux, s’il avait pu se débarrasser de moi au plus vite, il l’aurait fait. Alors ton père et toi… je ne sais pas.

    Il était vrai qu’elle avait du mal à avoir un avis sur la question. Tout autant que William, ses repères avaient été effacés. Ce dernier rangea alors sa baguette et s’avança vers elle. S’il avait gardé ce regard dur et glacial, nul doute que la jeune fille aurait eu un mouvement de recul, lui lançant une œillade méfiante dans un réflexe irréfléchi. Elle avait été élevée dans la haine, et savait dès lors s’en protéger. Néanmoins les yeux du jeune Slayers se firent plus doux, aussi Rose se cala dans ses bras avec soulagement. Contre lui, elle se sentait bien et à l’abri, protégée du monde extérieur. Cela la rassura d’autant plus que tous ses doutes s’envolèrent en même temps que ce geste tendre qui ces derniers temps se faisaient rares. William avait tant changé en quelques heures, que ç’en était déstabilisant. Il alla alors s’asseoir avant de tendre les mains vers la jeune fille, lui proposant de le rejoindre.

    William - Raconte moi. Il est mort comment ?

    L’on pouvait lire l’hésitation dans les yeux bleus de Rose qui ne bougea pas dans un premier temps. Elle souhaitait tant se blottir de nouveau contre William, mais parler d’elle-même la mettait mal à l’aise. Pourtant, Rose ne savait que trop que la peine, la rage et la colère refoulés donnaient un cocktail explosif lorsqu’ils sortaient violemment et sans crier gare, après avoir gardé le silence tant d’années. Pour elle comme pour lui, parler quelque peu d’eux ne pourraient que leur faire du bien, et elle devait s’avouer que dans le fond, Rose ne connaissait pas grand-chose de William. Elle se dirigea alors vers lui, s’asseyant devant se dernier, posant sa tête au bas de l’épaule du jeune homme, le regard pensif.

    Rose - Une bataille contre les mangemorts. On n'a jamais retrouvé son corps. La jeune fille marqua une courte pause avant de reprendre d’une voix étrangement douce. Ma mère a été plongée dans le coma suite à cette bataille. On m’a alors envoyée chez mon grand-père, j’avais huit ans. Tous les jours, j’attendais aux barrières du manoir pour qu’ils viennent me chercher, c’est idiot je sais, dit-elle dans un sourire. Je crois que je n’ai jamais autant souhaité avoir des ailes pour m’enfuir de là-bas. Je n’ai jamais autant souhaité garder mes parents. Mon père était… quelqu’un de bien. Mais mon grand-père le détestait, et racontait des horreurs à son sujet. Je crois que c’est pour cela, qu’il ne m’aime pas. Il ne cessait de dire que je ne valais rien, j’ai fini par le croire. Je pense que si je n’avais pas vécu avec lui, je serai différente.

    La jeune fille avait parlé avec détachement, visiblement elle avait fait le deuil de sa douleur pourtant encore présente. Elle marquait des pauses par moments, réfléchissant à la suite de ses paroles, pesant ses mots avec finesse, donnés au compte-goutte. Rose commença à jouer distraitement avec ses mains. Etait-ce le fruit de son imagination ou devenait-elle plus pâle de jour en jour ? Peu importait. Rose n’alla pas plus loin, il était vrai qu’elle avait encore tant et tant à lui dire, lui parler de son étrange pouvoir magique, de sa maladie aussi… peut-être. Mais elle préférait mille fois écouter William que de parler d’elle.

    Rose - Et ton père... où était-il tout ce temps ? demanda-t-elle d’une voix hésitante, abaissant alors sa tête blonde en arrière pour mieux observer William de ses yeux bleus.
 
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Stand My Ground [PV] EmptyMer 16 Juil - 18:54


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Rose - Je ne sais pas. J’ai pas vraiment de points de comparaison, dit-elle dans un bref sourire. Mon grand-père n’est pas vraiment des plus affectueux, s’il avait pu se débarrasser de moi au plus vite, il l’aurait fait. Alors ton père et toi… je ne sais pas.

William allait de surprise en surprise . Il réalisa que même après six ans à cotoyer la jeune Mandrake il ne savait pratiquement rien sur son compte. Il ignorait qu'elle avait un grand père aussi tyrannique et il eut de la compassion pour elle. Pas de la pitié mais de la compassion car il imaginer l'enfer qu'elle avait dut vivre même s'il n'avait rien vécut de similaire. Et du coup il se sentit encore plus idiot de s'être engueler avec son père à leurs retrouvailles.... Enfin au début. Ils s'assirent ensuite l'un contre l'autre sur le sol.

William - Raconte moi. Il est mort comment ?
Rose - Une bataille contre les mangemorts. On n'a jamais retrouvé son corps.

Les Mangemorts. Encore eux. Encore ceux qui lui avait causer autant de peine. Et dire que pendant William avait détesté plus ou moins l'autre camps : les Aurors. Pourquoi ? Tout simplement parce que son père avait était Mangemort et que pour lui il avait était tuée par l'un d'entre eux. Mais il savait bien qu'il avait eut tord. La disparation de Thomas n'as rien a voir avec tout ça et cette guerre qui ne semblait pas avoir de fin. William avait presque honte que son père est fait partit d'une organisation qui est fait autant de mal pour une cause aussi inutile. Mais il savait qu'il regrettait ses choix passait. Puis rien ne laissait présager que Slayer original avait participer à la bataille où les parents de Rose avait blesser. Quoi qu'il en soit, William se promit de garder se secret pour lui pour l'instant.

Rose - Ma mère a été plongée dans le coma suite à cette bataille. On m’a alors envoyée chez mon grand-père, j’avais huit ans. Tous les jours, j’attendais aux barrières du manoir pour qu’ils viennent me chercher, c’est idiot je sais,
William - Non ça ne l'est pas du tout. Moi j'écrivais des lettres pour qu'il sache se qu'on devenait malgrè le fait qu'on ne soit plus là . Mais comme je n'avais pas l'adresse du paradis, je les garder dans un coin en entendant un jour de grand vent pour les lancer en l'air, en espérant qu'elles s'envolent jusqu'au cieux. Tu vois, ce n'est pas du tout idiot dit-il avec tendresse.

Il n'avait jamais raconter cette anecdote à quiconque. D'abord parce qu'il ne parlait que très rarement de lui. Ensuite parce que c'est vrai que si on dit ça qui n'as vécu quelque chose de similaire ça peut sembler idiot. Mais sûrement pas à Rose parce qu'ils avaient beaucoup plus de point commun qu'il ne le pensait.


Rose - Je crois que je n’ai jamais autant souhaité avoir des ailes pour m’enfuir de là-bas.
William - Je veus bien être tes ailes, un ange a besoin de voler lui chuchota-t-il à l'oreille avant de déposer un baiser sur sa joue.

Il écouta la suite avec attention. Il était la seule avec qui il avait envie de se montré tendre et gentil parce qu'elle le méritait. Apparemment Rose avait vécu une enfance horrible et malgré ça elle avait sut conserver son innocence et sa bonté. Il l'admirait pour ça. A ses yeux c'était vraiment un ange. Il était odieux, il le savait, et pourtant elle ne lui faisait aucun reproche et restait avec lui. Voilà pourtant il se montrait moins froid même si c'est geste manquer de naturel à cause de son cœur en miette. La présence de sa fleur lui faisait beaucoup de bien. Et puis il apprenait des choses sur elle pour il se sentait amoureux et voulait en apprendre davantage.

William - Tu vaut beaucoup plus que tu ne le crois Rose. Je suis sincère. Je n'ai jamais connu quelqu'un d'aussi courageux et sensible que toi. Malgré tout se qu'on t'ont ta fait subir tu conserve ta gentillesse, et le fait de te soucier des autres. Tu n'est pas égoïste, tu n'est pas vénale, tu n'est pas superficielle, tu n'est pas froide, tu n'est méchante, tu n'est pas aigrie..... Tu est exceptionnelle. Des gens comme toi on en fait plus.

S'il avait était dans son états normal il aurait sûrement rajouter une blague tu genre « En fait j'ai vraiment de la chance qu'une soit ma petite amie, je devrais te faire tatouer avec mon nom pour éviter de te perdre ou t'acheter une laisse ». Mais il avait perdu son sens de l'humour et sa capacité à tout dédramatiser. Est-ce que ça reviendrait un jour ? Espérons. Mais sûrement pas sans aide. Quoiqu'il en soit on pouvait sentir dans le ton de sa voix qu'il avait dit ça comme une évidence et non pour la conforter où être gentil. De toute façon en ce moment la gentillesse gratuite ce n'était pas son genre. Donc il y avait peu de chance pour qu'elle doute de ses propos.

Rose - Et ton père... où était-il tout ce temps ?
William - Avec mon frère.... On a parler hier après qu'il m'ai montré la maison. Apparemment j'ai un frère. Un frère qui s'appelle Sawyers et qui est mon jumeaux. On pouvait nettement voir dans le ton de voix de William qu'il n'était pas franchement ravie. C'est avec lui qu'il était pendant tout ce temps. C'est compliquer et ça fait un peu amour gloire et sorcier mais il a était enlever à la naissance. Résultat mon père et aller le chercher mais la " mère " de l'autre n'était pas franchement d'accord. Elle l'as drogué et voilà..... Il va venir à l'impasse.... Sawyers je veus dire.... Sa me fait chier ! Je sais que c'est idiot mais je commence à peine à retisser des liens avec mon père, je n'ai pas envie que quelqu'un qui à passer pratiquement toute sa vie avec lui vienne me rappeler que je ne le connais pratiquement pas.

Il eut un petit silence où William observa se qui se trouvait en face de lui, le regard perdu, serrant toujours Rose dans ses bras. Puis il repris.

William - Rose..... tu sais à propos de ta phrase de tout à l'heure.... « je lui sauterai dans les bras »... il l'a fait.

On pouvait voir un lueur dans le regard de William. C'était la première fois qu'on voyait un once de tranquillité, de joie où quelque chose dans le genre depuis l'attaque. On pouvait clairement voir qu'il était fier que Thomas est eut un tel tendre avec lui.
 
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Stand My Ground [PV] EmptyMer 16 Juil - 22:53



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    Des lettres pour le paradis. Cela toucha la jeune fille qui néanmoins n’osa dire ce qu’elle pensait de ce geste innocent que seuls les enfants pouvaient faire. Elle se voyait mal dire à William, lui le dur le vrai, du moins celui qui voulait paraître ainsi, que ce geste enfantin avait quelque chose de naïf, dans le sens « adorable » du terme. Cependant Rose s’imaginait le jeune Slayers, enfant, perché sur une butte depuis des heures à attendre que le vent ne daigne se lever pour porter ses missives à son père qu’il croyait au Paradis. La jeune fille n’aurait jamais imaginé William agir ainsi, lui qui semblait avoir les pieds sur terre et qui ne cessait de jouer les hommes sans sentiments, intouchables, droits et fiers. Pourtant, il avait été enfant, lui aussi. Rose eut seulement un sourire, son regard bleu et distrait posé à terre. Son enfance avait dû être difficile pour William également. Très tôt, il avait perdu son père et avait sans doute se sentir investi de la délicate mission de prendre soin des siens, lui qui était à présent le seul mâle de la famille. Du moins c’était ainsi que Rose percevait les choses. Finalement, au fil de la conversation, ils se découvraient tous deux des points communs de plus en plus évidents, malgré leurs caractères si différents. Ils avaient tous deux perdu un père, brouillant ainsi leurs repères sans qu’ils ne puissent rien y faire. Les deux Gryffondors avaient donc grandi plus vite, sacrifiant leur enfance pour une perte vive. Il était devenu le petit homme de la famille, assurant des responsabilités qu’il n’avait pas à avoir à son âge, elle avait encaissé la haine et la méprise à un moment de l’enfance où l’on avait le plus besoin d’affection. Plus encore, tous deux avaient espéré reprendre contact, d’une manière ou d’une autre, avec ce père absent. Il envoyait des lettres pour le paradis qui n’arrivaient jamais, elle attendait chaque jour aux abords de ces barrières de ferraille toujours en vain. La perte des êtres chers entraînait souvent quelques espoirs naissant traduits dans des gestes ou des attitudes naïfs, mais jamais ils n’avaient baissé les bras. Il était vrai que jour après jour, Rose espérait pouvoir s’enfuir de ce manoir gardé par son grand-père immonde, rêvant chaque nuit de cette paire d’ailes qui lui permettrait de rejoindre ses parents. Pire encore, l’annonce de sa maladie avait été pour elle un exutoire, un moyen comme un autre de quitter cet enfer. Fort heureusement, Poudlard lui avait permis de s’éloigner de ce cauchemar et de se faire des amis proches. Voilà pourquoi l’attaque d’Halloween, en plus d’avoir apporté son lot de tuerie atroce, était également la perte d’un symbole puissant, autant pour les adultes que pour les élèves. Pourdlard avait été sa famille de substitution, et Rose y tenait énormément.

    Quant à l’aveu de la jeune fille, William se pencha vers elle pour lui murmurer d’une voix douce qu’il se proposait d’être ses ailes. Rose apposa sa main sur la joue du jeune homme, lui répondant un « Merci » timide et reconnaissant. Malgré tout, elle se sentait forte à ses côtés. Elle n’avait plus Dean, ni James, mais elle sentait en William une sorte de rage fougueuse qui faisait qu’elle se sentait protégée. Malgré tout, Rose avait conscience qu’elle devait contenir le Gryffondor sur sa colère,qui pouvait le rendre aveugle et conduire à sa perte. Ils avaient perdu beaucoup, et pourtant la jeune fille se sentait entourée. Tous ses amis n’étaient peut-être pas là, mais elle les sentait présents. Sa mère ne cessait de porter sur elle des regards bienveillants, et William prouvait sa tendresse par des gestes doux malgré ses airs froids. Ce dernier répondit alors aux propos de Rose, qui était bien loin de s’attendre à tant d’éloges de sa part. Se sentant rougir, elle baissa la tête dans un sourire gêné mais se cala un peu plus dans les bras du jeune William, sentant son cœur battre toujours aussi fort que la première fois. Elle n’écouterait pas ces langues de vipère qui avaient tenté de dissuader la jeune Rose de s’éloigner de William, sous prétexte qu’il était un don juan de première. Aujourd’hui était la preuve qu’il résidait quelqu’un d’autre sous son masque de coureur de jupon.

    William - Tu vaut beaucoup plus que tu ne le crois Rose. Je suis sincère. Je n'ai jamais connu quelqu'un d'aussi courageux et sensible que toi. Malgré tout se qu'on t'ont ta fait subir tu conserve ta gentillesse, et le fait de te soucier des autres. Tu n'est pas égoïste, tu n'est pas vénale, tu n'est pas superficielle, tu n'est pas froide, tu n'est méchante, tu n'est pas aigrie..... Tu est exceptionnelle. Des gens comme toi on en fait plus.

    Elle ne savait pas quoi répondre, gênée et touchée, Rose ne pouvait que le remercier d’être là à ses côtés. La jeune Mandrake ne tarissait pas non plus d’éloges sur William, elle aurait tant souhaité lui dire que lui aussi était quelqu’un de contagieux, derrière ses airs sûrs de lui, droit et honnête malgré les apparences qu’il voulait donner. Cependant Rose ne voulait pas faire penser à un retour de politesse, aussi elle serra la main du jeune homme dans la sienne, lui étant reconnaissante, avant de poser une question sur son père.

    William - Avec mon frère.... On a parler hier après qu'il m'ai montré la maison. Apparemment j'ai un frère. Un frère qui s'appelle Sawyers et qui est mon jumeaux.
    Rose - Quoi ?

    La jeune fille se figea soudainement, abasourdie. William avait un jumeau ? L’apprendre ainsi, juste après le retour de son père, devait être quelque chose de relativement dur à encaisser. La jeune Mandrake se ressaisit avant d’écouter de nouveau William avec attention.

    William- C'est avec lui qu'il était pendant tout ce temps. C'est compliquer et ça fait un peu amour gloire et sorcier mais il a était enlever à la naissance. Résultat mon père et aller le chercher mais la " mère " de l'autre n'était pas franchement d'accord. Elle l'as drogué et voilà..... Il va venir à l'impasse.... Sawyers je veus dire.... Sa me fait chier ! Je sais que c'est idiot mais je commence à peine à retisser des liens avec mon père, je n'ai pas envie que quelqu'un qui à passer pratiquement toute sa vie avec lui vienne me rappeler que je ne le connais pratiquement pas.

    Cela devait être relativement difficile pour William. Il avait du se sentir abandonné, et n’avait pas eu le choix d’accepter que son propre père n’élève Sawyer au mépris de son autre fils. Même s’il n’y était pour rien, même s’il n’avait rien pu faire. Il devait persister cet horrible sentiment que ce frère devait compter bien plus aux yeux de Thomas. Elle comprenait donc les ressentiments de William quant à l’arrivée de son frère.

    Rose - Je serai là, si tu veux...Pour voir ton frère. Un autre William, ça c’est épatant, dit-elle dans un sourire taquin mais compréhensif.
    William - Rose..... tu sais à propos de ta phrase de tout à l'heure.... « je lui sauterai dans les bras »... il l'a fait.
    Rose - Je suis contente pour toi, tu en avais besoin, dit-elle de sa voix douce. Ton père est plutôt impulsif et pas franchement délicat, mais c’est quelqu’un de bien. Je pense qu’il s’entendrait bien avec ma mère.

    La jeune fille eut un léger soupir. Sa mère, d’apparence angélique, était en réalité une louve prête à sortir les crocs à la moindre altercation et était loin d’être une femme facile. Elle prenait bien souvent les devants, agissait de manière directe mais l’on disait d’elle qu’elle avait la main sur le cœur. L’archétype même de la femme douce et ferme à la fois. Combien Rose aurait-elle donné pour lui ressembler…

    Rose - Et mon père… En fait j’en sais rien, je ne me rappelle plus. J’aimerai juste… Me rappeler de son parfum, de sa façon de sourire ou de se passer la main dans les cheveux, dit-elle dans un sourire pensif. Enfin… tu es là, et c’est ce qui compte.

    Elle avait fini dans un murmure. Son père n’était peut-être plus là, mais en parlant avec William, Rose se rendait compte qu’il demeurait encore à ses côtés des êtres chers. Finalement, cela faisait du bien de parler quelque peu de soit, même si elle ne s’était pas avancée sur sa vie au manoir, un sujet qu’elle préférait éviter. Un instant, Rose s’imagina la rencontre avec Sawyer, qui sans doute n’aurait pas le même caractère que William. Cette vision lui sembla étrange, néanmoins elle serait prête à soutenir William si celui-ci acceptait.
 
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Stand My Ground [PV] EmptySam 19 Juil - 15:20


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Rose - Je serai là, si tu veux...Pour voir ton frère. Un autre William, ça c’est épatant,
William - Oui pourquoi pas . Tu crois qu'il sera mieux que moi ?
Dit-il bougon.

Il avait peur en effet que Sawyers soit meilleur que lui et qu'il soit mis de côté. Et si Rose le préférait ? Et si il était pareil que lui mais sans ses défauts ? Le manque de confiance en lui de William semblait flagrant à cet instant. Il semblait toujours sûr de lui et pourtant.... Non seulement il avait eut ses péripétie amoureuse, puis l'attaque et maintenant des problèmes de familles. Plus perturbant tu meurt. Il se sentait bien dans les bras de Rose, il avait légèrement impression de ne penser qu'a lui en arrivant pas à se montré de meilleure humeur mais c'était plus fort que lui. Son cœur était à vif et il faudrait beaucoup de patience pour que la blessure se referme. Rose semblait douce et là pour lui que ça l'aider.

Rose - Je suis contente pour toi, tu en avais besoin,. Ton père est plutôt impulsif et pas franchement délicat, mais c’est quelqu’un de bien. Je pense qu’il s’entendrait bien avec ma mère.
Irrésistible - J'en doute pas . Aprés tout c'est mon père, et j'suis quelqu'un de bien
dit-il avec froideur et sans son sourire fétiche -> hey .

Un semblant d'arrogance. Ce n'était pas grand chose mais c'était déjà beaucoup. Cette phrase William aurait put la dire avant l'attaque, même s'il l'aurait dit plus avec humour. Comme quoi avec du temps Rose pourrait bien arrivait à faire en sorte que William redevienne comme avant.

William - Tu crois qu'il s'entendrais bien avec Satine ? Elle te ressemble. Hier quand tu as répondu à mon père.... J'ai trouver qu'tu lui ressemblais....


Il le pensait. Ils n'avaient pas eut le temps d'en reparlerai mais malgré le fait qu'il est remis Rose, d'ailleurs il le regretter mais il ne lui dirait pas par fierté, il avait adoré cette insolence qu'elle avait eut. Cette façon d'imposer ses envies et ses idées. Il avait trouver ça vraiment touchant et un brin sexy. Si ça avait était dans d'autre circonstance il l'aurait certainement taquiner pour essayer de voir à quelle point elle avait de la répartie. Une chose est sûr après ce qu'elle avait dit la veille, il ne douter pas sur le fait qu'il ne serait pas déçue.

Rose - Et mon père… En fait j’en sais rien, je ne me rappelle plus. J’aimerai juste… Me rappeler de son parfum, de sa façon de sourire ou de se passer la main dans les cheveux.

Cette fille s'était vraiment un ange. Plus innocente et touchante tu meurt. En l' entendant parler de son père William ne fit qu'entrevoir le cœur meurtris de Rose mais ça suffit pour le toucher en plein cœur. Il aimait Rose c'était sûr et certain. Pour son innocence et sa façon d'être malgré tout se qu'elle avait vécu. Sans rien dire il se promit de la protéger. De protéger son innocence de mieux qu'il pourrait.

William - Dommage. Alek avait une pensine dans son bureau ont aurait put..... Mais non. On peut plus. Grâce a qui ? Au Mangemort ! Encore merci !
dit-il hargneux.
Rose - Enfin… tu es là, et c’est ce qui compte.

La voix de Rose le radoucit. Les amoureux restèrent ainsi serrer dans les bras l'un de l'autre quelque minute avant de rejoindre les autres. Cette discussion avait fait du bien à William, sentir son ange veiller sur lui était toujours comme un apaisement. Et savoir qu'elle avait pratiquement la même enfance, à deux trois détail près, il sentait encore plus proche et il n'était pas près de la lâcher. C'était elle la femme de sa vie, il en était sûr et certain.


***************** RP TERMINER ***************
 
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