Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

Partagez
 

 Ghosts Riders - END*

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 

MessageSujet: Ghosts Riders - END*   
Ghosts Riders - END* EmptySam 28 Juin - 21:09



Invité
Ghosts Riders - END* Empty
    }} Identité Générale >

    Ghosts Riders - END* Spainn22 Ghosts Riders - END* 505000331 Ghosts Riders - END* Spain59



    # Nom, Prénom :
    Javis, Gregorio Taylor.
    Peru, Sandro Taylor.
    Iker, Xavi Eñaut.
    # Date de Naissance, Age :
    Né le 1er Février 1993.
    Né le 2 Septembre 1991.
    Né le 22 Avril 1990.
    # Profession :
    Poursuiveur Gauche, de l'équipe Mexicaine.
    Poursuiveur Principal, de l'équipe Mexicaine.
    Poursuiveur droit, de l'équipe Mexicaine.
    # Etat Civil :
    Célibataire. Et il compte bien le rester.
    Célibataire. Mais il aurait quelqu'un en vue...
    Célibataire, mais trop droite à gauche... Il est trop volage. Il est père d'un petit, à qui il a donné son deuxième prénom, Xavi. Le club lui a demandé de taire la chose, pas de la cacher, mais de la taire.
    # Baguette Magique :
    Bois d'Agrave, contenant du liquide céphalo-rachidien d'un desperado ( dragon mexicain). Elle fait 26 cm.
    Bois de Prosopis, contenant la poudre d'émeraude de Desperado. On dit qu'il y a une pierre précieuse dans chaque boîte crânienne de Dragon. Elle fait également 22 cm.
    Bois de Tule, contenant les deux nerfs ( X et orthosympathique ) du coeur d'un desperado. Elle fait 20 cm.
    A noter que leurs ingrédients proviennent du même dragon.


ps. tout se passera dans le côté sorcier de chaque ville où ils sont.
dans le chapitre un, ils sont à cancùn.
dans le chapitre deux, ils sont à mexicò.
dans le chapitre trois, on ne sait où


Dernière édition par Javis G. Taylor le Dim 29 Juin - 23:45, édité 4 fois
 
MessageSujet: Re: Ghosts Riders - END*   
Ghosts Riders - END* EmptySam 28 Juin - 22:10



Invité
Ghosts Riders - END* Empty
-
-

CHAPTER ONE : HOLÀ !



- PERUUUUU !!!! PAPA A LES PLACES !!! ON EST DANS LA LOGE !!!!!

C'était la voix d'un petit gamin de 5 ans qui courait à travers la place qui était entourée de nombreuses bâtisses plus ou moins belles avec de nombreux arbres et des bancs où quelques grands mères étaient assises entrain de tricoter tandis que les grands pères marchaient doucement à travers les arbres de la résidence. Au milieu de la place, il y avait Peru ( comme vous avez pu le deviner ) et une bonne dizaine de gamins. Il fallait dire que vu le nombres d'appartements qu'il y avait dans les environs, mais aussi, le nombre d'enfants qu'avait les familles, ils étaient assez nombreux. Ledit Peru, qui chevauché déjà un balai, tourna doucement la tête vers son petit frère, un sourire sur ses lèvres. Aussitôt, il leva doucement le manche de son balai pour prendre de l'altitude avant de la baisser doucement pour accélerer rapidement et ainsi, aller à l'encontre de son petit frère. Ce dernier attrapa le bras de son frère pour s'en servir d'appuie et lui monter derrière le dos. Aussitôt l'on entendit :

- DIOS MIO ! COMBIEN DE FOIS VAIS JE VOUS LE DIRE ???? VOUS ALLEZ VOUS TUER UN JOUR !

Javis éclata de rire, tapotant doucement l'épaule de son grand frère qui souriait tout le temps, ( en effet, il ne riait que très peu. Cependant, il avait toujours le sourire aux lèvres ). Peru eut un sourire et levant de nouveau le balai ( bien qu'ils soient programmés pour qu'il n'aille pas plus haut que dix mètres ( c'était déjà trop, ne cessait de rouspeter Lucia, leur mère, à chaque fois, qu'ils en récclamaient les vieux balais de leur père, Baal )), il se mit à voleter en direction de la fenêtre de l'appartement où leur mère était accoudée pour leur crier dessus. Lorsqu'ils passèrent, Javis agita ses deux bras comme si ils venaient de gagner un match juste devant le visage rageux de leur mère. Cette dernière leur lança une patate que Javis rattrapa avec éclat de rire. Derrière Lucia, on entendit Baal s'étouffait de rire, en avalant sa banane.

Tandis que les deux gamins retournaient auprès des autres gamins, à l'intérieur, il s'apprêtait à y avoir une tempête phénoménale. Lucia se retourna doucement, mettant les mains sur ses hanches avant de passer doucement l'une de ses mains sur son ventre bien rond. Elle agressa Baal sans aucune autre forme de procédure.

- Ah t'es là, toi ! Tu peux pas le dire !
- Holà ! Fit il, timidement.
- Je t'en foutrais du Holà, la puta !

Baal eut un sourire amusé. Il adorait voir cette dernière s'enervait de la sorte, car à ses yeux, il n'y avait pas plus belles démonstrations d'amour que de voir une mère entrain de s'en faire pour ses enfants. Lucia finit par se calmer, lui souriant à son tour, tandis que Baal s'essuyait les mains sur son pull.

- Un vrai gamin... C'est pas 5 enfants que j'ai à la maison ! C'est 6 !
- 7...
- Oui... Fit elle, amoureusement, tout en s'approchant de son mari qui l'enlaça doucement contre lui, avec un petit air tendre.
- J'vais pouvoir faire ma propre équipe de Quidditch, bientôt... S'écria Baal, un sourire aux lèvres.
- Et mon pieds, tu sais où je vais pouvoir le mettre ?

Baal éclata de rire, tandis qu'au dehors, l'on entendit une voix forte, et caractèristique à une seule personne : Pedro Almadovar. Baal lâcha doucement sa femme pour s'approcher de la fenêtre tandis qu'on entendait le père de Miguel dire :

- Oh, les montres ! Y a l'daron à la casa ?
- Pape !
- Siiii ! Papa es con mi madre !
- Tout seul ?
- Oui... Ava est chez Alejandro avec Niño y Jésus !
- Dios mio ! Faut vite que je monte, sinon, vous allez avoir encore un frère ou une soeur !
- Es impossible... Mama a déjà un enfant dans le ventre ! Avec son sourire éternelle tandis que Javis explosait de rire. Il n'avait que 5 ans, mais il savait déjà comment ça marchait, le bambino. Faut dire qu'une fois, il les avait surpris. Donc, bon.
- Connaissant ton père et sa maîtrise du balai, il vaut mieux que je me dépêche !

Les petites vieilles assisent sur les bancs approximités explosèrent de rire sous le regard des gamins du quartier de Javis et Peru. Pedro leur fit un sourire, avant de s'incliner doucement à leur égard. Rapidement, il monta les marches du perron pour ensuite prendre les escaliers. Il s'apprêta à ouvrir lorsque Baal ouvrit la porte avec un sourire :

- Holà !
- Oh ! Tu ne fais pas du balai ?

Ayant entendu la conversation, Baal explosa de rire tandis que la porte d'entrée s'ouvrait d'un seul coup, montrant une Lucia avec un sourire jusqu'aux oreilles.

- On s'y attelait, justement, quand vous êtes arrivés...
- Je ne veux même pas savoir ! Oulà ! Moi, ça... Vous le gardez entre vous !

Baal eut un sourire, avant de le laisser entrer. Lucia lui embrassa la joue avant de retourner dans la cuisine, tandis que Baal se dirigeait dans le salon, ramassant quelques feuilles de dessins et une balle en peluche que les enfants avaient laissés par terre. Il retira les livres et les legos des canapés et fauteuils, avant de s'asseoir, non, s'avâchir dans l'un d'eux, tandis que Pedro s'asseyait délicatement sur l'un des fauteuils. Il glissa une main en dessous de ses fesses pour en tirer un lego.

- Je ne sais vraiment pas comment vous faites pour supporter tout ça...
- Les gosses, c'est la vie...
- Trop de vie, tue la vie... Et votre passe temps vous... Non, c'est bon. J'ai compris. Ajouta il, en voyant le sourire sur les lèvres de Baal qui tournait doucement le regard vers sa femme qui approchait avec un plateau où l'on voyait deux choppes de bières bien fruités tandis qu'elle avait également un grand verre de jus de mangue.
- Enfin, bon... Ca n'a pas que des mauvais côtés les gamins... Baal lui passait un bras autours de ses épaules tandis qu'il se penchait pour prendre une des deux chopes. Pedro prit l'autre.

- Bon. Et quel est la raison de ta venue ?
- Oui, je suppose que ce n'est pas pour que Baal t'apprenne comment on sème la graine, vu la tripotée que tu nous as fait.
- Oulà, non ! Laissez moi tranquille avec ça ! La mama me les casse suffisamment ces dix dernières années pour que j'ose y penser coucher avec elle.
- Donc, c'est pour ça que tu vas voir ailleurs...
- Commun accord.
- Je n'en doute pas, vieux.
- D'ailleurs, je viens vous demander un service à cause de ça...
- Oui ?
- Vous connaissez Vicente ?
- Je suis dégouté de ce qui lui est arrivé à lui et à sa femme...
- Moi aussi... Et figure toi, que je compte bien les retrouver cette bande de pédés ! Ils l'ont pris en traître sur la côté angeline.
- Tu as besoin de main ? On parlait de sa soeur et de son beau frère qui étaient morts, assassinés. Lucia était stricte, et dur.
- Tu veux que je vienne avec toi ?
- Et Iker ?
- Justement... Je viens pour savoir si c'est bien vous qui le prenait.
- Ce n'était pas Alejandro ?
- J'en ai besoin. Et ses gamins ont tout juste l'âge pour diriger leur tribu.
- Tu veux qu'on s'occupe d'Iker ?
- Normalement, ça devrait être moi, vu que je suis son grand père... Mais...
- Va les tuer tranquille... On va le garder ce bout'chou.
- Sûr ?
- C'est notre neveu, Pedro.

Pedro afficha un sourire las au moment même où la porte d'entrée s'ouvrait à la volée, tandis que Peru entrait en balai volant dans l'appartement par la fenêtre du balcon ouverte.

- GAGNER !!!!
- Je t'ai l'aissé gagné aussi !
- Ouais, c'est ça, ouais !
- Mais genre !!!
- Maman ! A boire, por favor ?
- Jamais vous me laissez tranquille, hein ?
- C'est parce qu'on t'aime Maman !

Pedro et Baal explosèrent de rire. Peru eut un petit sourire amusé, ricannant doucement, tandis que Lucia voulut afficher un air sévère, mais ne put s'empêcher d'éclater de rire avant de caresser délicatement le visage de Javis.

- Mon cariño... Allez, filez ! Je vous descends ça de suite ! Faut que je voye Sylvia, de toute façon.


Dernière édition par Javis G. Taylor le Lun 30 Juin - 11:54, édité 1 fois
 
MessageSujet: Re: Ghosts Riders - END*   
Ghosts Riders - END* EmptyDim 29 Juin - 1:28



Invité
Ghosts Riders - END* Empty
-
-

CHAPTER TWO : CA CRAINT !





- Putain... Mais t'es tout simplement con...
- On inverse juste la donne, pour cette fois. J'ai besoin de ton aide, cousin, il faut que tu m'aides.
- Oui, mais je crois qu'il n'a pas compris...
- Non, mais, je suis pas coo... Commença Javis, en levant la voix, alors qu'ils ne cessaient de chuchoter pour éviter de réveiller Baal et Lucia. Automatiquement, Iker reprit :
- Parle moins fort, ou tu ne pourras plus du tout parler...
- Bah, démerdez vous !

Javis se retira doucement, de sous ses couvertures pour se diriger en dehors de la pièce. Cette fois, Iker se leva d'un bond, repoussant ses couettes, qui tombèrent au sol. Il le plaqua contre la porte de la chambre, et il lui murmura dans le creux de l'oreille.

- Tu sors de là, et je te jure que, cousin ou pas cousin, c'est la dernière chose que tu fais de ta vie ! J'ai pas demandé à avoir ce gosse ! Alors aide moi !

Javis tenta de se débattre, et finalement, il arrêta lorsque Peru se leva à son tour pour poser sa main sur l'épaule de son frère cadet. Javis se laissa donc, faire, et Iker lâcha sa prise. Il retourna Javis d'un coup, puis, le regardant droit dans les yeux, il lui demanda :

- Pardonne moi, vieux... Mais...

Il baissa la tête et Javis comprit. Il s'approcha de son cousin et il le serra contre lui ( bien qu'Iker faisait une tête de plus que lui à cet époque là. Oui, dans ce passage, Javis n'avait que 15 ans. ) et il lui murmura doucement dans le creux de l'oreille.

- Excuse moi... Puis, il se recula, et il lui dit : Mais... Ca me fait peur... Ca craint... T'as que 18 ans, même si tu en as 19 à la fin de l'année ! Imagine que Mr Eskobar sache que tu as un gosse... Il va te virer de son club...
- C'est pour ça, que ça me fait peur, tu comprends ! Le Quidditch, c'est ma vie ! Et...
- Le gosse est où, en ce moment, Iker ?
- Chez Pola... Mais, cette putain m'a dit que si je ne vivais pas avec elle, elle me menaçait de rendre sa naissance publique !
- La salope...
- Je te le fais pas dire...
- Iker... On y va, maintenant.
- Hein ?
- Quoi ?
- Faut que je vous le dise en chinois ? Fit il d'un air blasé.
- Non, les chinois ça pue le gras !
- Pas tous... Les chinois américains oui ! Mais pas les vrais...
- Tu es sûr de ce que tu racontes, Peru ?
- Certains... On est peut être que des joueurs de Quidditch... Mais on est trois... Et on en a dans la tête...
- '_'
- Non, pas toi. Bon, alors, on y va, alors ?
- Yes. Javis... Je te sors tes vêtements.
- Ca va, j'ai 15 ans !
- Oui, mais alors, niveau discretion...
- Ca va toi... Fit il, en levant légèrement la voix. Iker le fusilla du regard en attrapant son fut' noir qu'il mit d'un coup, boutonnant ce dernier à la clarté de la lune mexicaine.

[...]

Une ombre. Deux ombres. Trois ombres. Dans les rues de Mexicò, l'on vit passé cela avec rapidité, et joignant les coins sombres avec une certaine beauté. Les trois hommes portés un passe montagne tout aussi sombre que la couleur de leur cheveux, baguette au poing, semblaient pressés, mais serein. Peut être la confiance qu'ils avaient chacun l'un dans l'autre qui installé ce sentiment de tranquillité... On ne pouvait le savoir. Enfin, ils arrivèrent au niveau d'une banlieu. Peut être l'une des plus riches de Mexicò. Iker s'arrêta d'un seul coup, tendant le bras pour stopper Javis. Ce dernier sentit son cousin tremblait. Il venait de penser à l'une des choses les plus essentielles auquel, il aurait du réfléchir avant de se lancer : Où mettre l'enfant après ? Peru semblait y avoir réfléchit, cependant, il tapota l'épaule d'Iker avec un petit sourire à peine distinguable derrière son col relevé, avant de passer devant son cousin pour s'approcher un peu plus des résidences. Iker et Javis le suivirent, puis finalement, Iker s'arrêta, bientôt imité par Javis.

- Es aquì.

Peru se retourna, un sourire carnassier sur ses lèvres. Javis haussa les sourcils, se demandnat bien ce qui allait se passer. Son frère posa son regard sur sa personne, avant de sourire ( encore ??! ?! ) et de dire :

- Toujours là où il faut pas, malgré toi...
- C'était ce à quoi, je pensais à l'instant...
- Au moins, t'es utile.

Javis eut un léger sourire, ses joues rosissant doucement malgré son teint de peau ( bien que moins basané que les autres mexicains en général à cause du fait que le père de Baal, donc, son grand père, était américain ). Peru ne put s'empêcher de ricaner pour l'une des rares fois où il voyait son frère rougir de la sorte. Iker passa sa main sur l'épaule de son frère, avançant doucement vers le bâtiment. Il leva la tête, observant doucement tous les balcons, et il montra celui au quatrième étage.

- Puta de su madre... Como... Tsss...
- Bah, putain !
- Comme tu dis...

Javis posa son regard sur son cousin, et bizarrement, il était content de le voir autrement en colère que lorsqu'il lui criait dessus. Bizarrement, il ressentit rapidement le besoin de son cousin, celui de dominer, celui de ressentir la puissance, mais aussi d'imposer le respect. Elle voulait le violer, en faisant cela. Lui violer sa vie, ce qu'il avait bâtit. Même si Javis se demandait bien ce que son cousin allait en faire, étant donné qu'il avait toujours dit que les enfants, il n'en aurait jamais, il ne pouvait s'empêcher de se poser de sérieuses questions. Peru leva la tête puis posa son regard sur Iker, puis sur Javis.

- Tengo una idea...
- ¡ Di !
- Javis... Tu te sens prêt ?
- Hein ?
- Bien vu...
- Il est prêt.
- Mais...
- Tu vas bondir !
- Quoi ??! ?!
- Exactement. Iker, tu vas te charger de sa direction, moi, je le propulse, ok ?
- Hey, mais... J'ai mon...
- ¡ Ningún problema !

Iker alla se mettre pas loin en dessous du balcon de son ex. tandis que Peru se reculait doucement, les deux sorciers prenant leur baguette. Javis se tourna vers son frère.

- Peru... S'il te plaît...
- Cris pas, laisse toi, faire, et file nous ouvrir, quand tu es en haut, ¿ Comprendido ?
- J'ai le choix... ?
- On l'a toujours.
- Alors faites vite ! Il se tourna, fermant les yeux, tout en priant la vierge marie.
- Expellicorpus !

Le Sort percuta Javis dans le dos, qui sentit automatiquement ses pieds quittaient le sol pour s'envoler avec force contre Iker qui pointa sa baguette vers les pieds de Javis pour la lever d'un coup tout en incantant :

- Ascencio !
- Madre mia !

Le sort d'Iker le percuta de plein fouet au niveau des jambes, et il sentit ses dernières se levaient bien malgré lui avec force, se retrouvant tête proche du sol l'espace de quelques secondes pour montrer en piquet vers le haut de l'immeuble. Au moment où il approcha de la barre du balcon de l'ex. à son cousin, il tendit le bras, saisissant la barre de fer avec agilité et dextérité, puis, donnant toute sa force dans son bras, il joignit le deuxième pour permettre de poser les pieds doucement au sol. Lorsque cela fut fait, il se pencha doucement, levant le pouce. Peru eut un sourire, Javis ne put s'empêcher de lui répondre, tout en sortant sa baguette de sa poche.

L'avantage au Mexique, c'est qu'il y fait relativement chaud, donc, les fenêtres sont toujours plus ou moins ouvertes. Javis posa délicatement sa main sur la vitre du salon, une sorte de porte vitrée quoi, et il la poussa doucement. Aucun bruit ne se fit entendre. Il pénétra dans l'appartement tel un fantôme, le stress à son comble, respirant doucement, tentant de se calmer. Il entendit la porte d'entrée dans l'immeuble se refermait délicatement, et il comprit. Javis se dirigea doucement vers la porte d'entrée, faisant bien attention où il mettait les pieds, car c'était un véritable bordel. Doucement, il pointa sa baguette vers la porte d'entrée et murmura dans un souffle ( il savait le principe du sort informulé, mais il n'y arrivait qu'une fois sur deux ) :

- Alohomora !

Le sort jaillit délicatement, comme comprenant le ton de voix de Javis, pour aller caresser la poignet de la porte qui s'ouvrit doucement. Lançant un sortilège huileux sur les gongs de la porte pour éviter tout grincement, il ouvrit la porte tranquillement, laissant place à Peru et Iker qui avaient un léger sourire sur leur lèvres. Cependant, le sourire d'Iker avait quelque chose de terrifiant.

- Javis, descends. Je veux pas que tu voyes ce qui va se passer.
- Tu vas la...

Iker ne répondit pas, laissant Javis dans son mal aise, une boule à la gorge. Peru attrapa Javis par l'épaule et l'attira en dehors de l'appartement. Il ferma la porte derrière lui, et ils descendirent, Peru tenant toujours par l'épaule son jeune frère qui ne cessait de jeter des regards en arrière. Lorsqu'il voulut posé une question, Peru lui incita le silence, en mettant son index devant ses lèvres, souriant toujours. Javis ferma les yeux, suivant son frère, tandis que son estomac se tordait douloureusement lorsque l'on entendit un bruit sourd. A ce moment là, Peru acceléra l'allure, ouvrant la porte de l'immeuble d'un coup de expulsion. Lorsqu'ils furent dehors, Peru attrapa Javis pour le tirer contre lui, et ils transplanèrent.


Dernière édition par Javis G. Taylor le Dim 29 Juin - 15:55, édité 1 fois
 
MessageSujet: Re: Ghosts Riders - END*   
Ghosts Riders - END* EmptyDim 29 Juin - 15:42



Invité
Ghosts Riders - END* Empty
-
-

CHAPTER THREE : POURQUOI MOI ?




- Qu'est ce que tu as, Hermano ?
- Rien, rien...

Cela faisait quelques jours déjà, que Peru tirait une tête d'enterrement. Il ne cessait de se plaindre de fulgurante douleur au niveau du céphalée, et à plusieurs reprises, il était tombé de son balai, comme évanouie, à chaque fois que son taux d'adrénaline dépassait un certain niveau. Dès qu'il s'énervait, c'était pareil... Et là...

- Arrête de mentir... Je le vois que t'es pas bien... Tes mals de têtes, et tout, et tout... Tu es allé voir le guérisseur ?
- Non. Je n'en ai pas besoin.

Il avait regardé ailleurs lorsqu'il avait dit cela. Javis le fusilla littéralement du regard. C'était comme si, il lui disait : Je suis entrain de te mentir pour que tu me foutes la paix. Et ça, il fallait dire que Javis détestait ça au plus au point. Il regarda doucement son grand frère, soupirant doucement. Finalement, il se leva doucement, retirant sa robe de sorcier aux couleurs mexicaines, puis, il se dirigea vers les douches d'un pas soucieux, laissant Peru seul dans ses songes. Rapidement, enfin, non, mais pour Peru, cela lui fut rapide, bien que ça dura bien dix minutes, Javis revint tranquillement, en short marchant avec des tongs rouges. Il regarda son grand frère, lui balançant sa serviette trempée sur le visage, avant d'ajouter :

- Faudra qu'un jour tu apprennes à avoir confiance en moi...
- Mais j'ai confiance...
- Bonne nuit.
- Javis !
- Bonne nuit.
- Ja'...

Peru soupira, tandis que son cadet s'allongeait dans son lit sans le moindre ménagement pour son frère qui semblait ne pas avoir confiance en lui. Ce qui était totalement faux, mais comment Javis pouvait il le croire ? Il savait qu'il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond. Mais Peru ne lui disait rien ! Rien du tout ! L'hispanique jeta son short sur son frère avant de rabattre ses couettes blanches sur lui. Peru intercepta le short avant d'aller le poser sur l'une des chaises qu'il y avait dans ce petit studio qui leur était réservé à lui, Iker et son cadet de frère.

- Ja'... Tu sais, je...

Il s'était retourné. Javis dormait déjà. Il avait cette faculté de s'endormir dès qu'il le souhaitait, c'était un truc que Peru n'avait jamais compris. Il soupira encore, avant d'aller se poser sur son lit, attendant que le Docteur vienne lui porter ses résultats. Il aurait bien voulu dormir, mais il n'y arrivait pas. Et Iker qui n'était pas avec eux, pour surveiller son fils, Xavi. Peru ne cessait de se lever, de se rasseoir, de tenter de se coucher, de regarder la télévision, mais rien n'y faisait, si ce n'est son mal de tête qui persistait. Alors qu'il se levait pour remettre la couverture sur son frère qui venait de la faire tomber du lit, la porte d'entrée de la chambre s'ouvrit, laissant place au docteur qui entrait avec un air de détéré. Peru se leva d'un coup, s'approchant du docteur.

- Mr Taylor...
- Bonsoir... Alors ?
- Je... Nous avons fait, avec vous, tous les examens paracliniques que nous avions à notre disposition. IRM, Radiographie, etc... Vous l'avez bien vu. Mais nous en sommes venu à la même conclusion. Nos doutes de départ, ceux sont avérés exactes, et...
- Oh putain...

D'un coup, ses jambes se dérobèrent sous son poids. Il tomba au sol, le docteur tentant de le rattraper du mieux qu'il put. Avec le fracas, Javis se réveilla en sursaut, bondissant presque en dehors de son lit. Lorsqu'il vit son frère au sol, sur ses genoux, le teint blanc, il regarda le docteur. Ce dernier posa son regard sur Peru qui lui fit comprendre de rien dire. Sinon, son frère allait s'en faire, et il ne voulait pas qu'il s'en fasse plus que ce qu'il ne se faisait déjà.

- Ne vous inquiètez pas, Mr Taylor ! Votre frère vient juste de faire une crise d'hyperventilation... Je... Je vais m'occuper de lui.
- Peru... Peru ? Como vayas ? Peru ?
- Muy bien... C'est juste un moment de fatigue, j'ai pas mangé ce matin, voilà tout...
- Tu vois... Tu ne me fais pas confiance... Docteur qu'est ce qu'il a ?
- Je n'ai rien ! Je stress, c'est tout ! Arrête de me les briser !
- Toi ! TOI ! Stressé pour le tournoi de Quidditch de l'hémisphère sud ? Trop drôle ! Mito, va !
- On se calme ! Javis sortait s'il vous plaît ?
- Non, nous on sort !
- Ouais, dégagez !

Mais finalement, ce fut Javis qui se barra en prenant ses affaires d'une manière agressive. Lorsqu'il claqua la porte, Peru se mit à pleurer. Le Docteur l'aida à se relever doucement, le mettant sur son lit, tout en faisant apparaître du chocolat pour lui remonter le moral. Il avait le visage plongée dans ses mains, levant le visage vers le docteur.

- Et je peux m'en sortir ?
- Oui. Il y a des chances... Vous les avez toutes... On peut procédé par chimiothérapie...
- C'est quoi ?
- On administre un traitement ultra lourd sur le patient d'un coktail particulier de médicaments, en fonction des cellules touchés, etc...
- Y a un risque ? 'Fin...
- Oui. Certains médicaments ont pour effet de cesser toutes mitoses, en gros, plus aucune cellule ne peut se reproduire, et donc, c'est assez compliqué pour...
- Et après ?
- Il y a le traitement chirurgical.
- Sur le billard, et on me découpe la tête ?
- Oui, c'est cela. Vu la position de la votre, nous devrons...
- Pardon...

Peru s'était levé pour se diriger directement dans les toilettes où il se jeta sur la cuvette pour vomir tout ce qu'il savait. A ce moment Iker entra, tandis que le docteur se relevait doucement du lit pour aller voir Peru.

- Qu'est ce que... Peru vomit. Oh, putain ! Il a une méningite ?

Allez comprendre pourquoi méningite, à la place de gastro... En même temps, ce n'était pas si bête que ça, puisque Peru ne cessait de se plaindre de maux de têtes, donc, du coup... Il en avait fait le rapprochement. Automatiquement, Iker rejoignit le docteur. Et lorsqu'il vit l'état de Peru, il ne put s'empêcher de s'agenouiller pour s'approcher de son cousin. Il lui saisit son visage, mettant ses mains dans ses cheveux humidifés par la transpiration.

- Ca y est ! Ca va mieux ?
- J'ai un cancer, Iker. Fit il, avec une voix dur, mais les lèvres tremblante. Il était faible, trop faible, et son physique s'en ressentait. Iker bloqua quelques secondes son cousin, le regard con, puis, il dit :
- Oh merde !
- Pourquoi moi, Iker ?
 
MessageSujet: Re: Ghosts Riders - END*   
Ghosts Riders - END* EmptyDim 29 Juin - 15:58



Invité
Ghosts Riders - END* Empty
Magnifique fiche, comme d'habitude !

Je valide ! wub
 
MessageSujet: Re: Ghosts Riders - END*   
Ghosts Riders - END* Empty



Contenu sponsorisé
Ghosts Riders - END* Empty
 
 

Ghosts Riders - END*

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» The Goshts Riders *

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
AD NOX : THE AURORS. :: the past belongs to the past. :: 1er version. SAISON 1 & 2. fin de l'acte.-