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 T'as l'droit de rire tu sais !

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[Date rp : Vers 6h du matin la nuit du bal 1Novembre 2010
Rp a part parce que Will, Rose et Satine arrive après tout le monde ]


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William Slayers & Parker Evans


[1er post pour Rose ou Peru ]

L'impasse du tisseur. William avait toujours cet air froid, glacial et ce regard méchant et vide. Il était à peine méconnaissable et on avait peine a croire qu'en temps normal il passait son temps à blaguer. Toute forme de joie ou de gentillesse semblait être envoler venant de lui. Il avait très noir et sévère. Comme si le mal s'était emparé de lui et qu'il n'allait pas tarder à le faire. Il n'avait plus son petit côté Séducteur, rigolo de service et optimiste. Il regardait droit devant lui. Main dans la main avec Rose, il avait l'air sûr de lui et dangereux. Il marchait d'un pas assuré et il tenait sa bien aimé avec fermeté. Il avait perdu Asphodèle il ne perdrais pas Rose. Hors de question qu'elle la lache. Il ne voulait pas venir à l'impasse. Il voulait retourner au repaire des vampires et les tuer tous un par un. Les bruler jusqu'au et surtout les faire souffrir. Leurs arracher des membres et les entendre hurler de douleur. Il voulait les faire payer pour ce qu'il avait fait à Asphodèle. Mais Rose était attendu par Satine et elle l'avait convaincu de venir ici avec elle. Seulement l'envie de vengeance rongeait William et a peine avait-t-il fait quelque pas qu'il voulait déjà partir.

William ~ Non c'était une mauvaise idée.

Sans prendre la peine de demander son avis à la blondine il fit demi tours vers la sortie, étant toujours main dans la main avec elle et donc l'entrainant dans son trajet. Mais à cette instant, Parker qui se trouvait plus loin s'approcha d'eux et empêcha William de passer. Ni l'un ni l'autre ne se connaissait pour l'instant.
Parker- Hey hey toi ( j'aime pas ta copine * sort * ), Tu va ou ?
William - J'me casse !
Parker - Alors ça non . Tu reste là
William ~ Je n'est pas besoin de ton autorisation
Parker ~ Si ! Et hors de question qu'tu t'barre tu n'as pas dit " S'il te plait " .

Elle avait un large sourire et un air enthouiaste, et un ton plein d'humour. Mais William lui lançait un regard noir, a croire que s'il avait put lançer des Avada avec les yeux il l'aurait fait et elle serait déjà morte. Parker quand à elle ne comprenait pas sa réaction, et elle essayait de détendre l'atmosphère et de comprendre sa réaction, mais elle avait du mal.

Parker - Euh c'était une blague dit-elle surprise par sa réaction. Tu sais une blague ? Cette chose que les gens font pour essayer de faire rire.

William - Ah parce que tu trouve ça drôle ? Tu crois que c'est le moment de plaisanter ? Des gens se sont battu ce soir, beaucoup ont perdu des être cher, nombreux ont était ceux qui ont était blesser, la vie ne serait ne sera plus jamais comme avant . Alors excuse moi de ne pas avoir envie de RI-Re dit-il sur un ton des plus agressif.
Parker - Holà sa va pas aller là. C'est pas parce que tu souffre que tu dois t'enflammer. . Alors t'es gentil, mais tu te calme tu prend ta copine tu va t'asseoir et t'abandonne l'idée de te barré.
William - Sinon ?
Parker - Je t'arrache les yeux et j'te les fait bouffer dit-elle avec un large sourire et air jubilatoire.
William - Encore une blague ?
Parker - Non ! dit-elle d'un ton très sérieux tout à coup. Puis Elle se tourna vers Rose avec un air plus sympathéique, plus doux. . S'il fait quelque chose de stupide appelle moi, je viendrais , j'suis pas loin.

Parker s'éloigna légèrement mais William ne semblait pas en avoir finir avec la blonde. Il était énerver, il avait une rage, une haine et une colère intérieure qui lui venait de l'envie de se venger et qui le rendait comparable à un véritable kamicase. Rien ne lui faisait peur et il n'avait qu'une envie se battre, se battre, se battre encore dans l'espoir que ça lui ramènerai Asphodèle. Puis dans ces cas là c'était toujours très utile d'avoir un bouc et émissaire. Et comme le véritable coupable, Wolgang aux yeux de William, n'était pas accessible a cause de Parker, c'était elle tout naturellement qu'il avait pris en grippe.

William - Conasse.

Parker se retourna instantanément. Conasse ? Elle devait avoir mal entendu là. Ce n'était pas possible. Elle et l'Ordre c'était fait chier a sauver ses gosse et tout ça pour quoi ? Pour que l'un d'entre eux qui devant visiblement réfléchir avec autre chose que sa tête l'insulte. Elle se dirigea a grand pas vers William, elle le toisa du regard furieuse. Il faisait de même et sur le coup il avait même lacher Rose.

Parker ~ Répète
William ~ Conasse

Ce décalant rapidement sur le côté Parker attrapa le bras de William et le maintin tordus dans son dos. Pas le temps de dire ouf qu'il était déjà maitrisé en bref. Il se tordé de douleur mais il ne disait rien, se contentant de serré les dents.

Parker ~ EXCUSE TOI. William ne disait rien et garder son air renfrogné. EXCUSE TOI. Excuse toi je ne te lâcherai pas tant que ça ne sera pas fait.

Toujours rien . Si ça continuer elle allait finir par lui casser le bras. Mais peu importe elle était tétue et elle ne laisserai pas passer un tel de respect envers elle. D'ailleurs si ça avait était dans d'autres circonstance, William se serait surement retrouver avec son couteau dans la main. Alors il pouvait s'estimer heureux. Puis d'un seul coup, Parker lâcha prise sans savoir vraiment pourquoi, elle avait ressentit comme une brulure et surprise elle avait était obliger de le lacher. William soupira, au moins son pouvoir lui servait à quelque chose et par chance il n'y avait eu aucune flamme et donc absolument rien pour éveiller les soupçon. Les deux ennemis se toiser du regard.

Parker ~ T'es qu'un sale con sans cervelle. C'est quoi ton problème ? Ok faut pas te chercher j'ai compris le message. Monsieur est en mode " me parler pas j'veus voir personne " ok pas de soucis. Mais moi j'ai pour mission de veiller sur les nouveau venu et c'est la seule raison qui m'empêche de t'éclater la tronche comme tu le mérite. J'suis pas une Conasse mais si tu continue j'pourrais bien le devenir et te montré a quel point faut pas me chercher non plus .

William ~ Mon problème ? Mon problème ???? Mon " problème " c'est qu'tu est là a te pavaner d'élèves en élèves avec un grand sourire et un air de « je vais bien tout va bien » alors que des gens ont de la peine . C'est pas parce que toi personne n'est mort dans ton entourage que c'est le cas pour tout le monde.

Il se trompait. Parker avait perdu Miguel et si elle faisait des blagues s'était justement pour éviter de penser a sa peine. Elle allait répliquer au reproche de William mais ils furent rejoins par de nouvelle personne....


Dernière édition par Parker Evans le Mar 8 Juil - 14:37, édité 3 fois
 
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    T'as l'droit de rire tu sais ! Xavi_110 T'as l'droit de rire tu sais ! Morgan4
    PERU, S. TAYLOR. THOMAS, W. SLAYERS.
    Leaves Out All The Rest.


- Ca va ?
- Oui, oui, c'est juste un mal de tête. Merci ! Fit Peru, en prenant ce que la Mama lui tendait avec un air voulant dire : Fous toi de ma gueule. Mais par principe, et respect, elle ne dit rien sur la nature des douleurs de Peru.

A plusieurs reprises, Pedro et la Mama lui avaient conseillé de se faire retirer la chose, mais la peur de passer sur le billard n'était que trop grande. La Mama lui avait même dit qu'elle s'en chargerait elle même, mais rien à faire. Peru avait cette peur de mourir sans le savoir, chose particulièrement étonnante car la plupart préférée mourir sans la voir. Lui, il voulait la regarder droit dans les yeux. Thomas l'avait pris avec lui, depuis qu'il était arrivé, pour aider à tout et n'importe quoi, décidant de laisser Iker, Xavi et Javis seuls. Chose assez kamikaze lorsque l'on y repense. Peru avala le liquide de la Mama et d'un coup, il sentit comme quelque chose lui mettre un coup de poing au niveau de derrière la tête. Thomas, qui avait croisé le regard de la Mama, n'avait pas cherché quelques secondes de réflexion pour savoir quoi faire. Il tendit ses bras, rattrapant le gamin qui s'écroula littéralement dans ses bras. Slayers posa un genou à terre, tandis que Peru tentait de se remettre doucement. Il leva le regard vers la Mama et il lui dit :

- C'est quoi ?
- Ce que je fais au tumeur. La douleur.

Thomas posa son regard sur Peru et l'attira vers lui pour le prendre dans ses bras avant qu'il ne dise autre chose. Il avait ce petit côté Papa Ours avec tous les gamins. Pour lui, Peru, Parker, voir même Lilith, étaient des gamins. Mais c'était plus dans sa façon de les voir qu'autre chose. Miguel était un gamin, aussi, selon son point de vue, mais ça ne voulait pas dire qu'il les trouvait immature. Non, Thomas était assez compliqué à comprendre, et c'était ce qui faisait beaucoup reculé les gens à tenter de comprendre ses actes. Thomas, c'était Thomas. Un besoin de tout classer, mais de tout protéger. Peru posa son regard sur Thomas, qui le lui rendit, et il baissa la tête. Le père de William se releva, l'aidant à se relever, puis, ce fut comme en quarante. Le mal de tête s'était éclipsé, et il avait l'impresion de s'être levé.

- Il est quel heure ? Demanda t il, tandis que la Mama se retirait doucement vers Diego.
- Il est o5h 55. Répondit Thomas, en regardant d'un bref mouvement sa montre sous sa chemise bleue et toute sale.

Ils se mirent en marche vers le centre ville, lorsque d'un coup, les lèvres de Peru s'étirèrent en un large sourire. Thomas posa son regard sur Peru, l'air intrigué, avant de tendre l'oreille et de reconnaître la voix de Parker, la petite protégée de Miguel.

- T'es qu'un sale con sans cervelle. [...] J'suis pas une Conasse mais si tu continue j'pourrais bien le devenir et te montré a quel point faut pas me chercher non plus.
- Comme j'aime, quand elle s'énerve... C'est tout bonnement jouissif.

Thomas partit à rire. Peru avait cet air d'avoir croisé un ange tandis qu'ils se dirigeaient doucement vers la source de ce cafarnaum. Simplement, lorsqu'une autre voix s'éleva, les deux reprirent un air plus sombre, surtout Thomas qui tendit le cou, comme pour en voir un peu plus.

- Mon problème ? Mon problème ???? Mon " problème " c'est qu'tu est là a te pavaner d'élèves en élèves avec un grand sourire et un air de « je vais bien tout va bien » alors que des gens ont de la peine . C'est pas parce que toi personne n'est mort dans ton entourage que c'est le cas pour tout le monde.
- C'est...
- ... Bien, mon fils. Acheva Thomas.

Peru leva doucement sa main vers son épaule qu'il serra. Puis, il la retira doucement lorsqu'ils aperçurent Parker et William, en compagnie d'une petite blonde. Peru s'approcha directement de Parker, puis, toisant William du regard, il lui dit :

- Tu fermes ta grande gueule, sinon, tu vas manger.
- William, tu vas obéir. Parker, je vais m'en occuper. Va voir ailleurs, si j'y suis avec Peru. Il posa ensuite son regard vers Rose, puis sur William. William. Vous allez m'accompagner, et je ne souhaite pas de crise d'adolescence sans utilité autre que de foutre un peu plus d'énervement à l'impasse. On a déjà suffisamment à déplorer pour ne pas rajouter le meurtre d'un adolescent par les mains d'un membre de L'ordre du Phénix.

Il avait presque parlé d'un ton froid, mais c'était directe et sans appel.

- Maintenant. Ajouta t il, voyant qu'ils ne bougeaient pas.
 
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Rose Mandrake__ Satine Mc Illian_ Stephen Carlson


    Finalement la jeune fille l’avait persuadé de venir. Cependant il était évident qu’à partir de ce soir là, trop de vies allaient changer. Pour la première fois, Rose n’était pas accompagnée de Dean, et elle sentait comme un vide qu’elle ne parvenait pas à combler, une barrière qui n’était plus là pour la protéger, un manque impossible à dévier. Fort heureusement, la main de William dans la sienne fit que Rose se sentait plus à son aise, pressentant l’instinct protecteur du jeune Slayers dont le regard s’était fait déjà plus froid. Les prunelles plus dures du Gryffondor, et le visage plus déterminé de la jeune fille, étaient les témoins directs du changement radical qui se jouerait dès cette nuit. Ce vent de rébellion et de fougue naissait en elle, comme elle ne l’avait jamais ressenti auparavant. Serrant sa main dans celle de William, sentant la présence de sa mère marchant d’une allure assurée, Rose se sentait entourée et plus forte que jamais, malgré le cauchemar qu’ils venaient de vivre. Ils passèrent alors le seuil de la porte, et Satine salua d’un signe de tête ses collègues, assurant ainsi que tous trois n’avaient pas eu de difficultés à s’amener en ces lieux. L’ancien Professeur avait sur son visage angélique cet air résigné qui ne présageait rien de bon. Celui de la colère refoulée, de la rage de l’échec, et de la détermination à ne pas baisser les bras. Elle eut une dernier regard plein de tendresse pour sa fille avant de s’avancer dans l’assemblée, afin d’apporter son aide ici et là, rejoignant Stephen à la mine toute aussi grave malgré les sourires réconfortants qu’il offrait aux élèves. Néanmoins Rose et William se stoppèrent soudain, le Gryffondor s’arrêta brusquement, l’air renfrogné, avant de faire demi-tour sans jamais lâcher la main de Rose, ni même lui demander son avis.

    William ~ Non c'était une mauvaise idée.
    Rose - Quoi ? Non, William !

    La jeune fille se pencha légèrement en arrière, tirant son bras avec force afin de tenter de se dégager, tout en souhaitant ramener William avec elle. Où voulait-il aller, et pourquoi faire… Ils devaient rester ici, son intuition et son désir de rester auprès des leurs la poussaient à ne pas quitter les lieux. Une silhouette vint alors se poster face à eux, faisant lever les yeux bleus de la jeune fille.

    Parker- Hey hey toi. Tu va ou ?

    La colère de William s’enflamma, tandis que Parker perdait peu à peu son sourire, ne comprenant pas la réaction de l’élève qu’elle avait en face d’elle. Le jeune Slayers commença à élever la voix d’un ton cinglant, sous l’œil appréhensif de Rose qui craignait une altercation. Pas ici, pas maintenant, alors qu’ils devaient rester unis et non s’entretuer.

    Parker - Euh c'était une blague Tu sais une blague ? Cette chose que les gens font pour essayer de faire rire.
    Rose - William s’il te plait tu...
    William - Ah parce que tu trouve ça drôle ? Tu crois que c'est le moment de plaisanter ? Des gens se sont battu ce soir, beaucoup ont perdu des être cher, nombreux ont était ceux qui ont était blesser, la vie ne serait ne sera plus jamais comme avant . Alors excuse moi de ne pas avoir envie de RI-Re
    Parker - Holà sa va pas aller là. C'est pas parce que tu souffre que tu dois t'enflammer. . Alors t'es gentil, mais tu te calme tu prend ta copine tu va t'asseoir et t'abandonne l'idée de te barré.

    Rose fronça les sourcils et adressa un regard froid à Parker. La couper dans son élan alors qu’elle allait prendre la parole était un trait quotidien chez la jeune fille qui en avait l’habitude -impossible d’en placer une avec Dean à ses côtés-, mais parler d’elle comme si elle n’était pas là, il y avait quand même des limites. Ce n’était vraiment pas le moment de provoquer une dispute, surtout pour des choses futiles après ce qu’il avait pu se passer. Néanmoins l’altercation continua, une injure s’échappant même des lèvres de William. Fatalement, les voix des deux interlocuteurs s’élevèrent alors, sonnant le glas des conflits. Parker s’enflamma à son tour, empoignant avec force le bras de William, à tel point que Rose légèrement paniquée mais sentant tout autant la colère monter en elle, crut bien qu’elle allait lui casser le bras.

    Parker ~ T'es qu'un sale con sans cervelle. C'est quoi ton problème ? Ok faut pas te chercher j'ai compris le message. Monsieur est en mode " me parler pas j'veus voir personne " ok pas de soucis. Mais moi j'ai pour mission de veiller sur les nouveau venu et c'est la seule raison qui m'empêche de t'éclater la tronche comme tu le mérite. J'suis pas une Conasse mais si tu continue j'pourrais bien le devenir et te montré a quel point faut pas me chercher non plus .

    William ~ Mon problème ? Mon problème ???? Mon " problème " c'est qu'tu est là a te pavaner d'élèves en élèves avec un grand sourire et un air de « je vais bien tout va bien » alors que des gens ont de la peine . C'est pas parce que toi personne n'est mort dans ton entourage que c'est le cas pour tout le monde.

    Pourquoi ce soir, n’avaient-ils rien compris ? Sans même qu’elle n’ait eu le temps de réfléchir, laissant le feu de la colère parler à la place de sa douce diplomatie, Rose s’emporta à son tour. Elle ne pouvait les laisser s’embraser alors qu’il était vital qu’ils restent tous unis dans l’épreuve. Sans même savoir ce qu’elle disait, la voix de Rose s’éleva soudain. Froide, stricte et assurée à la fois. Une première.

    Rose - Ca suffit ! Vous êtes une adulte responsable et vous devez garder votre sang froid pour montrer l’exemple ! Dit-elle pleine de colère envers Parker. Et toi William tu n’as pas à t’en prendre aux autres parce que tu souffres ! On souffre tous, t’entends ?

    On souffre tous. Cette phrase exprimant la dure réalité des choses, dite avec tant de fougue, lui noua la gorge. Sa colère, sa tristesse, son inquiétude, retombèrent doucement alors même que les larmes lui montèrent aux yeux. Soudain deux autres personnes s’approchèrent d’eux.

    - Tu fermes ta grande gueule, sinon, tu vas manger. dit-il à l’adresse de William
    - William, tu vas obéir. Parker, je vais m'en occuper. Va voir ailleurs, si j'y suis avec Peru. Vous allez m'accompagner, et je ne souhaite pas de crise d'adolescence sans utilité autre que de foutre un peu plus d'énervement à l'impasse. On a déjà suffisamment à déplorer pour ne pas rajouter le meurtre d'un adolescent par les mains d'un membre de L'ordre du Phénix. Maintenant. dit-il après une courte pause.

    Rose - Non.

    Sa voix trancha l’air, pleine de révolte, de désespoir et d’incompréhension. Elle, faire sa crise d’adolescence alors même qu’elle était parmi les premiers à penser qu’ils devaient rester unis ? Il était fort probable que Thomas n’impliquait pas Rose dans cette phrase qui paraissait anodine, mais la tension, le stress et la fatigue fit que la jeune fille le prit mal. Ce soir, elle avait cette tristesse aux bords des lèvres, tous ces ressentiments gardés en elle depuis tant d’années, allaient exploser. Son regard bleu et embué soutinrent ceux de Thomas, dans une fougue naïve et touchante, l’on sentait la rage se décupler en la jeune Rose, qui n’avait vécu qu’injustice toute sa vie.

    Rose - J’irai pas... Je veux aller où bon me semble si j’en ai envie et faire ce qui me paraît juste ! Je veux qu’on me demande mon avis ! Je ne suis pas une poupée !

    Cette phrase s’adressant à Parker, à Thomas, à son fils, s’adressait tout autant au monde entier, elle scandait simplement son malêtre ce soir là. De nouveau, deux autres silhouettes s’avancèrent, dont une plus familière que les autres. Rose se tourna alors vers sa mère, l’enlaçant avec force et pleurant toute sa tension qui retombait. Stephen eut un regard peiné pour la jeune fille, tandis que Satine leva son regard bleu plein d’excuses pour Thomas.

    Stephen - On est là Rose.
    Satine - Je crois qu’on est tous sous tension. C’est légitime. Rose ? S’il te plait.

    De sa voix douce et ferme à la fois, elle demandait avec tendresse à sa fille de suivre les indications de Thomas. La jeune Mandrake se détacha de sa mère avant de se tourner vers Peru, le père de William, son fils ainsi que Parker.

    Rose - Excusez-moi.

    Sa voix vacillait, ses yeux bleus embués de larmes troublaient sa vision. D’un geste frêle, Rose essuya ses joues humides. La tension retombée, elle se sentait mieux, et était prête à obéir aux moindres indications, mais avec toujours cet instinct fougueux qui s'était éveillé ce soir là.
 
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T'as l'droit de rire tu sais ! EmptyLun 7 Juil - 17:24


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Rose - Ça suffit ! Vous êtes une adulte responsable et vous devez garder votre sang froid pour montrer l’exemple !

Parker leva un sourcil, surprise. Elle avait à peine fait attention à la blondine jusqu'à présent parce qu'elle avait l'air calme, douce et que le plus urgent était de maitriser qui semblait être une bombe à retardement . Mais finalement elle avait l'air d'avoir un sacré tempérament elle aussi, surtout pour oser faire office d'arbitre dans cette dispute. L'Auror soupira un grand coup pour retrouver son calme, la blondine avait raison, elle s'était emporter trop vite. William par contre avait toujours l'air de bouillir autant de l'intérieur et d'avoir envie de chercher la merde. Il eut même un espèce de sourire mesquin en entendant Parker se faire ainsi remettre a sa place. Bien fait pour elle.

Rose ~ Et toi William tu n’as pas à t’en prendre aux autres parce que tu souffres ! On souffre tous, t’entends ?

Il tourna la tête vers Rose surpris. Depuis quand oser-t-elle lui parlait sur ce ton et lui faire la morale ? Quelle mouche lui avait piquer à celle là aussi. William avait toujours eut pour principe de ne jamais écouter ce que lui disait une femme et ce n'était pas ce jour là que ça allait changer. Loin de le tempéré les parole de Rose l'énerver encore plus. Il n'avait pas besoin qu'on lui fasse la morale et qu'on lui quoi faire ou comment réagir. Il avait besoin de rien n'y personne et il était bien décidé a s'acharner sur toute les personnes qui auraient le cran de s'opposer à lui, parce qu'il avait besoin de faire sortir cette colère qu'il avait en lui. Seulement......

Thomas - ... Bien, mon fils.

Parker se retourna reconnaissant la voie de Thomas Slayers, un membre de l'Ordre qu'elle connaissait plûtot bien, avec un air surprit . William s'était retourné lui aussi mais il semblait deux fois plus surpris et son cœur s'était serré. Il avait du mal à réalisé . Il avait à peine aperçut son père au bal et il ne l'avait pas revu depuis l'âge de ses six ans et maintenant il était là en face de lui. Il avait du mal à le croire. Et dire que Thomas venait de le voir s'acharner sur une fille qui n'avait rien fait, car il le savait au fond que sa réaction était puérile mais c'était plus fort que lui. Quoiqu'il en soit il avait imaginer leurs retrouvailles autrement.

Parker ~ C'est ton fils ???

Elle avez souvent entendu parler de William Alex Slayers mais elle ne l'avait jamais vu. A vrai dire elle l'avait imaginer plus.... enfin moins et.... Enfin elle l'avait imaginer autrement qu'en gamin irréfléchi, égoïste, inconscient, et incapable de se conduire correctement en adulte responsable. Car c'était la vision qu'elle avait du fils de Thomas à présent mais c'était dût aux circonstance qui ne jouer en faveur de William. Puis comme ont dit il ne faut pas se fier au apparences...... Quoi qu'il en soit l'arrivée de Peru avait déjà fait apparaitre un sourire sur les lèvres de Parker. Elle se détendez déjà et semblait plus conciliante.

Peru - Tu fermes ta grande gueule, sinon, tu vas manger.

Parker soupira . Il manquait plus que ça. . Combien de fois lui avait-elle répéter qu'elle était assez grande pour se défendre toute seule ? Combien de fois lui-avait elle répéter qu'elle n'avait rien d'une fille fragile et qui pleurait quand est haussez la voie sur elle ? Apparemment pas assez. Parce que bien sûr il avait fallut qu'il montre qu'elle était à lui et qu'on y toucher pas. Ah les hommes. Au fond d'elle bien sûr elle appréciait son geste car ça signifie qu'il tenait à elle, et elle trouvait ça touchant qu'il n'hésite pas une seule seconde à la défendre. Mais durant toute son enfance et même encore maintenant elle s'était battu pour être accepter a l'égale de l'homme aux yeux des autres. Alors si quelqu'un venait la secourir dès qu'on s'attaquer un peu a elle bonjour la réputation.

William quand à lui ne semblait pas un brin éffrayer par les propos de cet homme qui était plus petit que lui et qu'il connaissait que par le biais des média. Il gardait son air insolent et rageur et semblait à tout sauf à écouter ce qu'on lui disait.


Thomas - William, tu vas obéir.

Le seul qui était vraiment capable de calmer William, Thomas. Oui il allait obéir. Tout simplement parce que c'était son père qui lui demander. Il soupira et leva les yeux au ciel agaçait mais à présent son regard de tueur était enlever et il était plus à même d'écouter ce qu'on avait à lui dire.

Thomas - Parker, je vais m'en occuper. Va voir ailleurs, si j'y suis avec Peru.
Parker - J'te le laisse avec plaisir Thomas. Bon courage . Puis ce tournant vers William. Toi tu perd rien pour attendre, je n'ai toujours pas eut mes excuses mais croit moi j'l'ai aurai d'une manière ou d'un autre.

William eut un petit rire genre « c'est ça parle toujours tu m'intéresse ». Parker se rapprocha de Peru, les bras croisé contre son poitrine avec un faux air sévère.

Parker ~ Si tu veus, la prochaine fois qu'on s'oppose à moi, je m'assoie dans un coin j'me met à pleuré et j'attends qu'tu vienne me sauver . Puisque tu t'entête à penser que je ne sais pas me battre et que je n'ai aucune répartie.

Elle lui avait dit ça plus sur le ton de l'humeur que celui des reproches . Mais ça ne voulait pas pour dire qu'elle ne pensait ce qu'elle venait d'affirmer. Puis elle adressa à Peru un regard tendre. Elle était ravie de le savoir à ses côtés après les évènements de la veille, ça la rassurait.

Thomas - William. Vous allez m'accompagner, et je ne souhaite pas de crise d'adolescence sans utilité autre que de foutre un peu plus d'énervement à l'impasse. On a déjà suffisamment à déplorer pour ne pas rajouter le meurtre d'un adolescent par les mains d'un membre de L'ordre du Phénix.
William - Parce que tu crois que j'ai peur d'elle ? Je suis un Slayers dit-il avec fierté Je n'ai peur de rienet elle n'arriverait même pas à.... Puis il stoppa tout à coup . Ah moins que .... oh ! Il venait de réaliser que le membre de l'Ordre du Phoenix qui pourrait bien le tuer n'était pas forcément Parker mais que ça pouvait très bien être son père. Ok ! J'te suis .

William n'appréciait le fait de se faire commander, il aimait son père de ton son cœur et il ne s'opposerait jamais à lui mais il le trouverai sacrément gonflé de disparaitre pendant d'année et de revenir la bouche en cœur en lui donnant des ordres, et en espérant que William obéirai bien gentiment. Bon certes c'est qu'il ferait parce que Thomas c'est Thomas tout simplement et il ne pouvait pas lui dire non, mais tout de même.

Thomas - Maintenant
Rose - Non

Non ? William allait de surprise en surprise. D'abord elle lui avait la morale tout à l'heure, ensuite elle s'opposait à quelqu'un de l'ordre, son père qui plus est. Waw. Il en rester bouche bée et il était vachement impressionné par sa réaction. Ou était donc sa petit fleur fragile et sans défense ?

Rose - J’irai pas... Je veux aller où bon me semble si j’en ai envie et faire ce qui me paraît juste ! Je veux qu’on me demande mon avis ! Je ne suis pas une poupée !

L'expression du visage de William avait changer. Il obervait Rose avec de l'admiration plein les yeux. Elle se rébeller. Elle imposer ses idée et ses envie et il ne pouvait s'empêcher de la trouver terriblement attirante comme ça. Il ressentait beaucoup de fierté d'être son copain tout à coup. Il fallait avoir beaucoup de crains pour oser parler à Thomas comme elle le savait maintenant. Lui même savait qu'il ne l'aurait jamais. En temps normal ça l'aurait peut-être fait chier qu'on parle ainsi à son père mais pas à cet instant. Là il était seulement impressionné ( et elle est amoureuse * sort * ) . Et c'est une chose qui lui arrive peu souvent. Du coup toute sa colère était retombé comme un soufflet, comme remplacé par l'amour. Il se trouvait con et égoiste. Il n'avait criée sans se soucier d'elle et déjà il s'en voulait terriblement. Sa culpabilité ne fit qu'augmenter quand il vit Rose pleuré dans les bras de sa mère. Elle avait beaucoup souffert ce soir là et lui n'avait qu'en rajouter d'avantage.

Rose - Excusez-moi.

Et en plus elle s'excusez . C'est lui qui avait merder et c'est elle qui s'excusez. Waw . Elle était vraiment incroyable cette fille. Il avait vraiment beaucoup de chance de l'avoir .

William ~ Moi aussi dit-il en levant les yeux au ciel et en soupirant.

Sa lui couter beaucoup de dire ça, de s'excuser et c'était peu convainquant mais si Rose l'avait fait pourquoi pas lui ? Sa le faisait chier mais il l'avait dit. Parker avait un sourire malicieux, finalement elle les avait ses excuses. William se dirigea vers Rose et passa son bras autour d'elle pour la serrer contre lui et lui faire comprendre que tout était fini.

William ~ Maintenant on fait quoi ?
 
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    T'as l'droit de rire tu sais ! Xavi_110 T'as l'droit de rire tu sais ! Morgan4
    PERU, S. TAYLOR. THOMAS, W. SLAYERS.
    Shadow of the day.



- Parker, je vais m'en occuper. Va voir ailleurs, si j'y suis avec Peru.
- J'te le laisse avec plaisir Thomas. Bon courage.
- T'inquiètes.

Puis elle se tourna vers William. Peru avait eut une envie soudaine de la tirer contre lui. Cependant, il fusilla littéralement William du regard.

- Toi tu perd rien pour attendre, je n'ai toujours pas eut mes excuses mais crois moi j'l'aurai d'une manière ou d'un autre.

Peru eut un petit sourire tandis qu'il prenait doucement la main de Parker, avec une petite lueur amusée. Il était en forme, aujourd'hui. En même temps... Avec ce que lui avait administré la Mama, il ne pouvait qu'être en forme. C'était une potion particulièrement redoutable, et l'on saura par la suite, qu'elle ne peut être prise n'importe quand. Surtout quand les effets secondaires se feront sentir. Mais... Pour le moment, comme l'avait pensé Marguerita, ce n'était pas particulièrement le moment de penser aux effets secondaires des diverses potions, et médicaments qui pouvaient être donné aux patients. Parker regarda Peru avec un sourire, mais il n'y aurait pas été, cela aurait fait pareil dans l'égo de Peru.

- Si tu veux, la prochaine fois qu'on s'oppose à moi, je m'assoie dans un coin j'me mets à pleuré et j'attends qu'tu viennes me sauver. Puisque tu t'entêtes à penser que je ne sais pas me battre et que je n'ai aucune répartie.

Peru lui lâcha directement, et il lui dit, sans l'ombre d'un sourire, avec une arrogance qu'il n'avait jamais eut à l'égard de Parker.

- Alors la prochaine fois, je te promets que j'irais du côté de l'autre pas beau et je lui dirais là où frapper, c'est promis.

Sans même un autre geste, il se retourna, mettant les mains dans ses poches, et il s'en alla sans même un regard vers l'arrière. Ce qu'il n'aimait pas, c'était cette façon qu'elle avait de réagir lorsqu'il tentait de lui montrer qu'il était là, et qu'il veillait. Ca avait le don de le foutre en rogne et il ne s'y était jamais fait depuis qui'l était avec. Et ça, ce n'était vraiment pas fait pour changer. Peru avait un honneur, une façon de voir les choses bien à lui. Le dérouter de la sorte de ses façons de faire, ça l'énervait.

Tandis que Thomas de son côté, observer son fils avec une certaine froideur dans le regard. Le ton de voix du père Slayers avait été étonamment froid lorsqu'il avait parlé.

- William. Vous allez m'accompagner, et je ne souhaite pas de crise d'adolescence sans utilité autre que de foutre un peu plus d'énervement à l'impasse. On a déjà suffisamment à déplorer pour ne pas rajouter le meurtre d'un adolescent par les mains d'un membre de L'ordre du Phénix.
- Parce que tu crois que j'ai peur d'elle ? Je suis un Slayers. Thomas le fusilla littéralement du regard. Il y avait Slayers et Slayers. Là, William agissait plus comme ses frères ( ceux de Thomas ) que comme un réel Slayers. Il ne dit rien, cependant, il le laissa finir. Ah moins que .... oh ! Thomas eut un sourire. William venait de comprendre. Ok ! J'te suis.
- Toute façon, faudra qu'on parle, alors... Ca m'évitera juste de devoir te tirer par les cheveux pour que l'on cause entre hommes.

Thomas lui fit un clin d'oeil avant de poser son regard sur Rose, qui, visiblement, ne bougeait pas, et souhaitait tenter le diable qui sommeillait en Thomas.

- Non.
- Non ?

D'un coup, ce fut comme si on avait monté la climatisation de la ville. L'ambiance devint froide, polaire, et surtout particulièrement génante. Thomas ne l'avait pas fusillé du regard, mais son regard n'en exprimait pas moins. Quelques répliques biens salées lui brûlaient les lèvres. Il ne dit rien, il attendit qu'elle en rajoute une couche, histoire de bien s'enfoncer dans la connerie. C'était les jeunes, ça... Immortel. Thomas en voyait rouge.

- J’irai pas... Je veux aller où bon me semble si j’en ai envie et faire ce qui me paraît juste ! Je veux qu’on me demande mon avis ! Je ne suis pas une poupée !
- Pourtant, c'est ainsi que tu réagis. Comme une poupée qui veut à tout prix que le monde tourne autours de sa petite personne, demoiselle.

Il y avait mit les formes, mais c'était vraiment pour la forme. Sa façon de pensée avait été dit d'une façon cassante, brutale, et sans scrupule. Elle était visiblement la petite copine de son fils aîné, mais il s'en foutait comme de sa première chemise. C'était lui qui commandait, et sûrement pas une petite gamine de 16 ans, sur lequel on appuyait sur son nez pour en voir, encore, sortir du lait de ses narines. L'Américain avait une façon d'être des plus désagréables lorsqu'il le souhaitait, et il n'avait pas jeté un seul regard sur son fils lorsqu'il avait parlé, ne lâchant pas Rose des yeux, comme pour l'appuyer un peu plus dans son mal aise.

- On est là Rose.

Thomas ne cilla pas son regard de celui de Rose, bien qu'il reconnut la présence charismatique de Stephen. Puis, il y eut Satine.

- Je crois qu’on est tous sous tension. C’est légitime. Rose ? S’il te plait.

A ce moment là, ses iris s'attendrirent doucement, mais il ne cilla pas et gardait son regard plongé dans le bleu du regard de Rose. Ce fut elle qui cilla, et elle qui s'excusa.

- Excusez moi.
- Ce n'est pas grave. Fit il, avec un petit bourru qui semblait lui redonner une petite lumière délicate, et rassurante.
- Moi aussi.
- William. Traduction : Ta gueule.
- Maintenant on fait quoi ?
- Maintenant ? Vous allez me suivre, et je vais vous montrer là où vous allez dormir. Thomas leva, enfin, son regard vers Satine et Stephen, et il ajouta : Aleksandr est plongé dans un coma artificiel. Il a littéralement pété une case en voyant son fils... Enfin, bon. Ne vous inquiétez surtout pas si vous voyez trois ou quatre mangemorts répondant au nom de : Anton, Derreck, Zelig et Andreas qui se promèneraient ici. Ils sont sous les ordres d'Aleksandr. Il posa ensuite son regard vers William et Rose, et il leur demanda, gentiment : Vous venez ?

Fit il avec un petit sourire, tandis qu'il se mettait à marcher en direction d'un petit pâté de maison.
 
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Rose Mandrake__ Satine Mc Illian_ Stephen Carlson


    Rose - J’irai pas... Je veux aller où bon me semble si j’en ai envie et faire ce qui me paraît juste ! Je veux qu’on me demande mon avis ! Je ne suis pas une poupée !
    - Pourtant, c'est ainsi que tu réagis. Comme une poupée qui veut à tout prix que le monde tourne autours de sa petite personne, demoiselle.

    Elle, égocentrique et qui ne pensait qu'à sa "petite personne"? Un comble, alors qu'elle avait toujours vécu sans jamais demander son reste, veillant toujours sur les autres et ne se plaignant jamais, se tapissant dans l'ombre pour ne pas se faire remarquer et souffrant en silence sans jamais en faire part à quiconque. Elle n'avait jamais vécu que toujours cachée derrière quelques sourires, affirmant ainsi à ses proches qu'elle allait toujours bien, alors même qu'elle n'en pouvait plus de porter tous ces fardeaux qui pesaient lourdement sur ses frêles épaules. "Tu ne vaux rien.", "Il est mort par ta faute" ... autant de phrases cinglantes de la part de son grand-père qui hantaient ses nuits et qui la rongeaient de l'intérieur comme une mauvaise plante. Elle était la première à tendre la main, sans jamais demander son dû ni même un geste tendre en retour, alors qu'il ne vienne pas lui faire des reproches pour scander sa souffrance légitime, lui qui ne la connaissait pas. Pour une rare fois, le regard bleu de Rose se fit glacial, et elle soutint avec force les yeux de Thomas sans jamais ciller. Sa voix se fit tout aussi ferme que le ton qu'il avait employé, lorsqu'elle répondit du tac-au-tac.

    Rose - Vous êtes à des lieux de me connaître et vous êtes bien loin d'être un homme compréhensif. Vous osez me parler ainsi alors que vous réapparaissez dans la vie de votre fils sans un mot, et la seule chose que vous faites est de lui donner des ordres sans même faire preuve de tact !

    Elle y allait un peu fort, la jeune demoiselle à l'apparence fragile. Jamais, elle ne s'était pris à quelqu'un de cette manière, mais Rose semblait avoir oublié combien les adultes pouvaient parfois manquer de discernement et de compréhension. Si cet homme n'avait ne serait-ce qu'un poil d’indulgence et de tolérance, il aurait compris que la tension avait poussé la jeune fille à agir ainsi, et à déverser son malêtre qu’elle gardait depuis trop d’années. Elle qui jamais n’osait lever la voix, préférant ne pas se faire remarquer. Dans un sens comme dans un autre, ni Rose, ni Thomas n’avaient assez de recul ce soir là pour parler avec calme et cohérence. La jeune Mandrake ne s’était pas demandé si Thomas la connaissait, après tout au vu de ce qu’elle avançait elle pouvait lui paraître trop effrontée, quant à ce dernier il faisait preuve d’un jugement trop rapide et injuste. Cependant lorsqu’arrivèrent Satine et Stephen, Rose ne put s’empêcher d’éclater en sanglot. La fatigue, la colère, la peine, trop de sentiments négatifs d’un seul coup. Mc Illian ne put s’empêcher de froncer les sourcils et d’adresser un regard accusateur et glacial à Thomas, le mitraillant sur place. Elle était ainsi, expéditive et s'emportant trop vite. Sans vouloir attiser le feu, elle n’acceptait pas que l’on parle ainsi à sa fille, surtout lorsque l’on déblatérait de telles paroles à son encontre, alors même que l’on se trouvait bien loin de la vérité. Un sentiment de colère s’éveilla en Satine, qui voyait dans les paroles cinglantes et injustes de Thomas, les paroles qu’Angus desservait tous les jours à Rose et qui l’avaient bien trop fragilisée. Cependant, ce souffle de rage s’apaisa aussitôt. Slayers était ainsi, et s’il le fallait Satine lui expliquerait calmement que Rose ne pensait pas à mal, et que c’était bien l’une des rares fois où elle s’exprimait librement, exorcisant son malêtre. Après les excuses de Rose et William qui enlaça la jeune fille d’un geste tendre, le regard de Satine s’adoucit, tandis que Stephen plongea nonchalamment ses mains dans les poches.

    Stephen - Y a de l’ambiance à l’impasse... dit-il dans un sourire.
    Satine - Stephen, c’est pas le moment.

    Alors qu’elle essuyait ses larmes d’un revers de main, se calant dans les bras de William, Rose esquissa un sourire amusé quant aux paroles de Stephen qu’elle considérait comme son oncle.

    - Maintenant on fait quoi ?
    - Maintenant ? Vous allez me suivre, et je vais vous montrer là où vous allez dormir.

    Rose approuva d’un signe de tête. Elle tombait de fatigue et sentait déjà la force quitter ses jambes qui peinaient à la soutenir. Satine posa une œillade à la fois bienveillante et inquiète sur sa fille, qu’elle trouvait bien trop blême. Cependant la voix de Thomas, déjà bien plus conciliante, la fit sortir de ses pensées. A tous être sur les nerfs, les altercations étaient inévitables, et Rose s’en voulait déjà de s’être emportée. Doucement, elle enfouit sa tête blonde contre le torse de William, fermant les yeux. Si elle avait pu s’endormir debout, entre ses bras, elle l’aurait fait tout aussitôt.

    - Aleksandr est plongé dans un coma artificiel. Il a littéralement pété une case en voyant son fils... Enfin, bon. Ne vous inquiétez surtout pas si vous voyez trois ou quatre mangemorts répondant au nom de : Anton, Derreck, Zelig et Andreas qui se promèneraient ici. Ils sont sous les ordres d'Aleksandr.
    Satine - Alek... dit-il d’une voix inquiète en posant son regard bleu au loin. Il tiendra le coup, c’est un coriace...
    Stephen - Merci de me mettre au courant.

    Stephen eut un sourire en coin, sous le regard amusé de Satine. Il était évident que sans le briefing de Thomas, Carlson s’en serait pris aux mangemorts sans vraiment demander d’explication. Il avait le sang chaud, pour un Islandais. Mc Illian adressa alors un regard reconnaissant à Thomas, signe déjà qu’elle s’excusait pour le regard glacial qu’elle lui avait lancé quelques minutes auparavant. Et les excuses venant de Satine demeuraient rares.

    Satine - Rose... dit-elle à l’encontre de sa fille qui leva alors les yeux vers elle. Si tu as besoin de quelque chose, appelle moi.
    Stephen - T’es jamais aussi gentille avec moi Sat’, j’vais être jaloux !
    Satine - Physiquement, ferme ta grande bouche, Stephen.

    Elle eut un sourire taquin à l’encontre de Stephen avant de tourner les talons sous le regard amusé de celui-ci. Les deux amis d’enfance se connaissaient de trop pour ne pas se lancer d’éternels pics gentillets. Satine partit alors, mais Stephen préféra rester quelques instants de plus, veillant sur les deux jeunes gens. Il se tourna vers William et son visage se fit beaucoup plus sérieux.

    Stephen - Et pas de bêtises mon garçon !
    - Vous venez ?

    Rose lança une œillade appuyée sur Stephen, avant d’aquiescer dans un léger sourire, prête alors à suivre Thomas sans mot dire cette fois-ci.
 
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Peru - Alors la prochaine fois, je te promets que j'irais du côté de l'autre pas beau et je lui dirais là où frapper, c'est promis.
Parker - Excelente idée.

Il prennait la mouche. Elle avait essayer de lui faire gentiment comprendre qui elle était et ses valeurs mais lui il n'avait vu que le fait q'elle lui faisait des reproches. Alors qu'en fait ce n'était pas du tout, elle voulait juste s'affirmer elle n'avait aucunement l'intention de le blesser ou de le remettre à sa place. Bien sûr elle savait pourquoi il avait fait ça et s'il lui avait réellement sauver la vie elle aurait un peu chipoter . Mais s'il était têtue et qu'il avait son égo, elle n'était pas moins pire. Elle en avait trop baver pendant son enfance pour se rabaisser dès que quelqu'un n'allait pas dans sans sens . Il voulait bouder ? Bien tant pis pour lui. Elle ne le rattraperai pas car d'après elle n'avait aucune excuse à lui faire. Elle était comme ça, un point c'est tout et personne n'arriverai à la changer. Elle regarda Peru partir en ayant l'air énerver et elle soupira, se promettant d'aller le voir quand il serait calmer car elle n'aimait pas rester trop longtemps fâcher avec lui pour dans son états s'énerver pour un rien n'était pas bon. Elle partit dans la direction opposé de Peru .

William quand à lui écouter les ordre de son père sans un mots tout simplement parce que c'était lui et que c'était la seule personne au monde qu'il ne défierais jamais. Il l'écouterais donc sans rien dire mais Rose ne semblait pas aussi conciliante.

Rose - Vous osez me parler ainsi alors que vous réapparaissez dans la vie de votre fils sans un mot, et la seule chose que vous faites est de lui donner des ordres sans même faire preuve de tact !

Elle prenait sa défense et en plus elle s'opposait à son père. Fatale erreur. Tout à l'heure il avait trouver cela admirablement beau et courageux mais à présent il trouvait cela agaçant. Il n'avait pas besoin quand le défende. Encore moins venant d'une fille et il ne fallait pas contredire Thomas en face de Will. Ce qu'il faut savoir c'est que son père à toujours raison même quand il a tord, même quand il s'oppose à lui. C'est Thomas qui avait les commande sur lui et même si Rose n'avait pas totalement tord, il le savait il ne l'avouerait jamais à Thomas. Il ne lui avouerait jamais qu'il avait rêver des millier de fois de leurs retravailles mais pas qu'une seule il n'avait imaginer qu'il se serait conduis d'une façon aussi irréfléchi et son père de cette manière aussi dur. Il avait l'impression de se retrouver face à cet homme froid et qui l'avait baffer lorsqu'il avait six ans. Cet homme que William avait toujours garder en mémoire comme étant son paternel. Mais Miguel lui avait montré avec les souvenirs d'Aleksandr que Thomas n'était pas comme ça ou pas seulement. Thomas était quelqu'un de bon et il voulait croire en cela.

William - Tu vas trop loin Rose ! La façon dont il a de me parler ne te regarde pas !

Il était peut-être dur et froid mais sa relation avec son père était quelque chose de très intime pour lui, de très personnel et il désaprouver totalement qu'on y porte un jugement. Lui qui arrivait à peine à parler de Thomas lorsqu'il le croyait mort.... Puis Rose éclata en sanglots et la froideur et la colère de William s'évanouit pour faire place à l'amour qu'il avait pour Rose. Il pesta en silence quand Thomas lui dit de se taire en réponse à ses " excuses " préférant consolé Rose que dans remettre une couche et d'aggraver les choses inutilement. Serrer contre lui, elle semblait allait mieux et lui de même. S'enivrant de son odeur de vanille et essayant de chasser de sa tête celle de la mûre sauvage en même temps que sa peine.

Thomas - Maintenant ? Vous allez me suivre, et je vais vous montrer là où vous allez dormir.

William approuva de la tête lui aussi avant de poser un regard doux sur Rose qui était blottie contre lui. Elle semblat exténuer et lui également.

William - Si c'est possible je préfererai dormir avec elle.... enfin si tu es d'accord aussi Rose

Il n'avait plus se ton ferme, froid et arrogant de tout à l'heure. A présent était plus formulé comme une gentille demande ou même un besoin vital que comme un ordre. Il avait besoin de dormir avec elle. Drmir. Seulement dormir. Pour sentir sa présence et veiller sur elle. Pour être sûr qu'elle dorme paisiblement et qu'elle ne manque de rien.

Thomas - Aleksandr est plongé dans un coma artificiel. Il a littéralement pété une case en voyant son fils...

Aleksandr ! Celui qu'il l'avait guidé, enseigner et supporter durant toute ses années a Poudlard. Celui sans lequel il aurait était déjà surement renvoyer. Celui sans lequel il n'aurait jamais aperçut la jeunesse de Thomas dans la pensine. William avait un profond respect pour cet homme et sans l'avouer il avait fait office de figure paternel, de père d'adoption pour lui. Il était peine de savoir que son parrain était un tel états mais ses larmes avait beaucoup trop couler ce soir et il se contenta d'adressait un regard compatissant et triste à son père car il savait à quel point il tenait à Alek.

Thomas - Ne vous inquiétez surtout pas si vous voyez trois ou quatre mangemorts répondant au nom de : Anton, Derreck, Zelig et Andreas qui se promèneraient ici. Ils sont sous les ordres d'Aleksandr.

En entendant le mots mangemort William sentit son coeur se serrait, c'était eux les responsable de la mort d'Asphodèle. Il ne comprenait pas comment son père pouvait les tolérer ici mais il ne lui fit aucune reproche, Thomas devait avoir ses raison et des bonnes car quoi qu'il advienne son père avait toujours raison à ses yeux. La colère ne semblait même pas reprendre William, ou du moins pas aussi intensément. C'était plus de la froideur de la colère à présent. Comme si les larmes de Rose lui avait définitivement coupé cette rage qu'il avait en lui .... enfin momentanément....

William - Tant qu'il ne s'approche pas de moi tout ira bien.

Satine s'en alla alors, les laissant avec Thomas et Stephen.


Stephen - Et pas de bêtises mon garçon !

William ne dit fit aucun commentaire. D'ailleurs il valait mieux. La seule chose qu'il voulait à présent c'était s'endormir dans les bras de Rose.

Thomas - Vous venez ?
William - Oui.

William prit la main de Rose et lui adressa un regard tendre avant de suivre son père.

[ Suite du rp pour Thomas -> Mon papa a moi .... n'est PAS un gangster]
 
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