L'ambiance était plutôt festive ce soir là, les Rochford avaient invités leurs « amis », c'est à dire la moitié du beau monde magique, à leurs anniversaire de mariage. Duc, Auror, Membre du ministère, et haute bourgeoisie se trouvaient donc dans un grand château à déblatéré sur les gens présent et les derniers ragots. Valendra Craft se trouver parmi eux. Elle était réputé pour son savoir vivre et son sens des manière. C'était une personne très bien élever et tout le monde trouver sans contexte qu'elle avait grand cœur et qu'elle était très agréable à vivre . Cette dernière se leva justement pour se dirigeait vers le duc de Dorighton .

Venimeuse ~ Mr Dorighton, excuser moi de vous interrompre...
Dorighton ~ Mademoisselle Craft quelle bonne surprise . Je vous en pris interrompez , interrompez. Je ne vous avez pas vue . Comment allez vous ?
Venimeuse ~ Très bien je dois dire, merci . Je suis ravie de vous voir. J'ai appris que vous avez fait forte impression l'autre jour au congrès de médicomagie. Je vous félicite.
Dorighton ~ Oh c'est très gentil de votre part, mais vous vous savez je n'ai fait qu'exposer ma théorie... ce n'est pas grand chose....
Venimeuse ~ Vous vous sous-estimez très cher dit-elle en lui adressant un sourire distinguer . Sûr ce je ne vais pas abuser de votre temps plus longtemps et je n'en vais de se pas rejoindre ma table. Au plaisir de vous recroisez un jour.

Il la gratifia d'un sourire et elle repartit presque tout de suite après, lançant au passage un léger sourire discret à un serveur qui trainer par là . A sa table se trouver de nombreuses personnalité dont Marie Hargrouve, une jeune fille nouvellement riche qui allait bientôt se marier avec un membre important du ministère, Peters Thomas. Elle avait fait notamment beaucoup parler d'elle car elle pensait que l'amour ne devait se consommer qu'APRES le mariage. La plupart des femmes présentent ce soir admiré son choix mais elles étaient persuadé qu'elle n'était pas aussi pure qu'elle le prétendait. D'ailleurs la jeune Marie jeter des coups d'œil furtif à Mr Durighton, sûrement persuader qu'il ne l'a voyer pas. Et dès qu'il regarder dans sa direction elle baisser les yeux. Puis soudain le duc quitta la salle d'un pas rapide pour se dirigeait vers les toilettes, et étrangement Marie ne tarda a partir elle aussi.

Meme Caldwell ~ Vous ne trouvez pas celà étrange qu'ils partent en même temps ?
Venimeuse ~ Moi ce que je trouve surtout étrange c'est le ventre de Marie. Vous ne trouvez pas qu'elle a grossit ?
Bougeoise N°1 ~ Vous ne penser quand même pas qu'elle est enceinte ?
Venimeuse ~ .....
Bourgoise N°2 ~ Oui mais qui serait le père?
Meme Caldwell ~ Melle Hargrouve n'as pas arrêter de regarder le duc....
Venimeuse ~ Le duc ? Oh non celà m'étonnerai.... bien que .... il est vrai que c'est un homme très attirant et nombreuse sont celle qui voudrait le mettre dans leurs lit....

Les femmes prirent alors un air choquer. Il n'en fallait pas plus pour lancer une rumeur. Mais entre rumeur et vérité la frontière est parfois mince. Puis un serveur arriva avec un plateau de café. Valendra en pris mais par maladresse, ce qui était rare de sa part, elle fit tomber un peu du liquide brulant sur Meme Cadwell qui se trouvait à coter d'elle.

Venimeuse ~ Oh mais qu'elle idiote je fais... je suis vraiment confuse... oh que je m'en veus... veillez m'excuser je...
Meme Cadwell ~ Ne vous en faite pas mademoiselle ce n'est rien.
Venimeuse ~ Encore désolé... vous devriez aller vous passe un peu d'eau
Meme Cadwell ~ J'y vais de ce pas.

Meme Cadwell se rendit donc au toilette et en poussant la portes de ceux-ci elle eut une vision d'horreur. Marie Hargrouve la robe dégrafer et Mr Hargrouve également là en train de se laver les mains. Deux jours plus tard cette histoire avait fait le tours de l'aristocratie Anglaise et le mariage de Marie et Peters fut annulé.

La tromperie de Marie avait étonné tout le monde . Tout le monde ? Non pas vraiment. Tous sauf Valendra. Pourquoi ? Tout simplement parce la jeune femme n'était pas seulement allait saluer le duc de Dorighton par courtoisie ce soir là. Elle y était aller surtout pour déverser un laxatif dans son verre, exactement le même laxatif qu'elle avait donné a Marie quelque seconde plus tard . Voilà pourquoi ils avaient quitter la table quasiment en même temps. Quand au coup d'œil furtif de Marie envers Charlie Dorighton s'était tout simplement que les potins aux country club raconter qu'il était très bien monter, ( potins lançer en toute discrétions par Valandra bien sûr ), et Marie qui était vierge et de bonne famille ne pouvait s'empêcher de le regarder tellement elle avait était choquer par de tel propos. Puis la frustration dût à son abstinence éveiller aussi sa curiosité.

Quand au fait que Marc ce soit retrouver dans les toilettes des femmes au lieu de ceux des hommes c'est tout simplement que le serveur a qui Valendra avait adresser un sourire avait était payer en nature pour échanger les étiquettes présente sur les portes afin de faussé l'orientation du duc. Et pour finir, le fait que Marie est « grossit » venait tout simplement de la robe que Valendra avait offerte a Melle Hagrouve en guise de cadeau avancer de mariage. Robe qui avait bien sûr était trafiquer afin que la fermeture éclair se casse se soir là. Et la cérise sur le gâteau avait était sans aucun doute la mise en scène de Valendra avec sa tasse de café pour que Melle Cadwell la plus grande commère de tout les temps puissent être témoin. Et tout ça pourquoi ? Tout simplement parce que Valendra avait des vue sur Peters Thomas, l'ex futur époux de Marie . Mais ça bien sûr ça personne ne le saurai jamais .... A part peut-être Alicante .....

***************
NC 12 ( Propos choquant pour les non habituer xD )

Valendra se trouver dans sa chambre, l'endroit idéale pour accueillir Alicante. Inutile de se voiler la face elle savait très bien pourquoi il venait et ça ne la dérangeait pas, au contraire. Il n'y a jamais du mal à se faire du bien. Par chance, ces colocataires n'était pas là. Céleste était partit a la Bibliothèque, Parker était au ministère et Ambre et Summer se trouvait encore au studio de mannequinat. Elle avait donc l'appartement pour elle tout seul et c'était la première fois qu'elle accueillez son partenaire ici. Mais aucune trace d'anxiété sur le visage de la jeune femme, elle avait mieux a penser que ce genre de futilité. Etant seule, elle se montrait elle même et son apparence de femme du monde s'était envoler en un clin d'oeil. La porte ne tarda pas a s'ouvrir et Alicante entra.

Venimeuse ~ Ce n'est pas trop tôt, j'ai failli t'attendre dit-elle d'une voix langoureuse.

Celà faisait à peine quelque seconde qu'il était là mais déjà Valendra déboutonner son propre chemiser et se trouva en soutien gorge sans qu'il n'est vraiment eut le temps de dire ouf. Un manche sur sa hanche et un air séducteur mais impatient elle répliqua.

Venimeuse ~ Alors tu veus faire quoi ?

Traduction : tu préfère veus quel position pour ce soir ? !Oui elle était franche et directe mais c'est comme ça qu'elle était réellement, derrière les apparences. Les préliminaires elle avait horreur de ça, elle trouvait ça long et inutile. Puis ça avait toujours était clair entre eux : du sexe du sexe et encore du sexe. Tout ça agrémenter par un bavardage sur l'oreiller où ils se racontaient leurs exploits mutuelle. Aucune trace de sentiments et ça lui aller très bien car elle ne savait pas vraiment se que c'était.

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- Ce n'est pas trop tôt, j'ai failli t'attendre.

Oh, ce ton de voix ! Alicante eut un petit sourire qui dévoila toutes ses dents blanches. Il poussa doucement la porte, avant de la refermer doucement derrière lui, ses lèvres dessinant un petit sourire coquin. Le gitan s'adossa à la porte, se mordant la lèvre avec sensualité, mais aussi, avec cette envie qui ne pouvait signifier qu'une chose. Faisons le, mais bien. Juste pour le plaisir, la vie n'était que plaisir, et Valendra... C'était Valendra. Il n'y avait pas de mots particuliers pour le gitan sinon, bandante. Et c'était pas peu dire.

- Hum... Plus on attend, mieux c'est, non ?

Tandis qu'elle déboutonnait son chemisier, l'hispanique retira ses lunettes qu'il lança sur un fauteuil non loin de là, avant de retirer sa veste de costard pour se mettre à déboutonner doucement sa chemise noire qui lui allait comme un gant. Scintré et tout comme il fallait, dévoilant ses épaules qui montraient bien que ce n'était pas quelqu'un de particulièrement maigre, ni de gros. L'on voyait déjà que c'était un homme qui semblait prendre du temps pour s'entretenir, mais aussi pour faire plaisir à la gente féminine. Si elles sont sous le charme, automatiquement, il sera sous le charme lorsqu'ils baiseront. En effet, on ne peut pas aligner un autre mot lorsqu'il n'y a pas de sentiments, et à part un profond plaisir et une envie physique, le gitan n'avait que ce besoin dit humain, selon lui.

- Alors tu veux faire quoi ?
- Ce que je veux faire ? Ou ce que je veux que tu me fasses ?

La différence était là, il n'y avait à dire. Subtil nuance qui voulait dire beaucoup de chose pour le gitan qui aimait tant se faire sucer, que baiser, ou encore lui faire des petits plaisirs. L'hispanique aimait le sexe, et il ne se gênait pas pour le pratiquer. Pourquoi s'en gêner ? C'est humain ! Alicante adorait cette argument... Aucun homme ne pouvait s'empêcher de le sortir, et puis, c'était tellement vrai... Jetant sa chemise qui fut bientôt rejoint par une tee shirt blanc sans manche, l'on vit sur son torse les tatouages qui constellait sa peau dorée. L'on vit également le collier où il y avait la croix catholique qu'il retira doucement pour la mettre dans la poche de son pantalon noir. Retirant ses chaussures sans l'aide de ses mains, il s'approcha de Valendra avec un petit sourire, déposant ses lèvres au dessus du sein gauche de la jeune femme, avant de poser doucement sa main sur le soutient gorge de Valendra.

- Mon corps est à toi...

Alicante eut un petit sourire arrogant, avant d'effleurer ses lèvres sur les siennes, et il rajouta :

- Fais en bon usage...

Comme quoi... Même les phrases de Dumbledore, prise hors contexte, sont bourrés de cul.

- Comme toujours.

Alicante eut un petit coquin, son sourire séduisant sur ses lèvres. Ses tatouages semblaient luire doucement, comme si ses sentiments pouvaient se voir ainsi. Cependant, c'était rare qu'il se laisse aller comme cela. Généralement, il les mettait sous verrou, à l'aide d'un rituel assez rapide et d'une simplicité étonnante, du moins pour Alicante. Ce dernier était particulièrement rompu dans cet art, rompu dans tout ce qu'il entreprenait de toute façon. Une qualité comme un défaut. Il y laissait souvent des plumes en route, mais il était prêt à faire ses sacrifices. L'hispanique sentit doucement le pieds de Valendra montait entre ses jambes, et lorsqu'elle atteignit le point culminant, Alicante ne put s'empêcher de sentir son sexe commençait à se dresser. Il eut un sourire appréciateur tandis qu'elle l'aguichait à sa manière sensuelle et féline. Alicante se mordit doucement la lèvre au fur et à mesure qu'il se mettait à bander. Puis, elle se recula délicatement, le regardant avec l'un de ses regards qui pouvait rendre n'importe quel homme, fou.

Alicante retira son pantalon, laissant son sous vêtement noir apparaître ainsi que la forme significative de son sexe qui ne cessait de prendre de l'ampleur à mesure que le plaisir parcourait ses organes et que ses hormones semblaient s'être mélangé au sang avec une intensité sans pareil. Il mit genou sur le lit, ainsi que ses bras, avançant d'une manière assez joueuse et provocante vers cette dernière. Lorsque ses mains furent posés près de sa tête, et qu'il l'approcha doucement de la sienne pour effleurer ses lèvres, cette dernière eut un sourire pour ensuite le retourner et le mettre dos contre le lit, Valendra au dessus de lui.

- Je n'ai jamais aimer être au dessous. Fit elle avec une voix langoureuse à souhait, tandis que le caleçon commençait sérieusement à géner Alicante.
- Tu permets... ? Tandis qu'il retirait doucement son caleçon, laissant son sexe se dressait délicatement, à mesure qu'il se dressait pour effleurer délicatement la peau de Valendra.

Elle le chevaucha. Il eut un sourire. L'hispanique sentait le feu se propageait en lui. Non, il ne pourrait la laisser faire. Il sentait le plaisir s'emparait de son corps en entier, un sourire frôlant des lèvres avec douceur. Doucement, faisant glisser ses mains sur les cuisses de Valendra, remontant doucement sur sa taille, avant de saisir doucement le soutient gorge, il effleura les seins de cette dernière presque comme si il en avait peur de les briser. L'intensité et la passion le faisant trembler d'impatience. Il eut un sourire lorsqu'il passa ses mains dans le dos de cette dernière pour l'attirer contre lui, posant ses lèvres dans le cou de cette dernière. Il dégraffa le soutient gorge de cette dernière, le faisant tomber du lit, tandis qu'il déposait ses lèvres contre les siennes, l'embrassant tout comme il fallait, liant sa langue avec provocation, d'une manière limite bestiale, mais plaisante. D'un coup, il saisit les jambes de cette dernière avant de la retourner pour la mettre dos contre le lit, pour que ce soit lui, qui soit sur cette dernière. Un sourire sur ses lèvres tandis qu'il se redressait sur ses genoux, avant de se baisser doucement, effleurant avec sa langue le sexe de Valendra avec un certain plaisir langoureux. Son sexe ne demandant que de la pénétré.

Il eut un sourire, jouant avec son propre plaisir, comme le faire attendre pour que ce soit meilleur. Doucement, il remonta délicatement le tronc de la jeune femme, déposant ses lèvres un peu partout, tandis qu'il rapprochait un peu plus son bassin de celui de la jeune femme. Alicante se mit à lui sucer le bout de l'un de ses tétons avec une certaine animosité, avant de relever le visage vers cette dernière pour s'en approcher, et déposer ses lèvres dans le cou de cette dernière. A ce moment là, il mit un coup de rein et il la pénétra doucement, n'arrivant pas à retenir un gémissement de plaisir qui se vit étouffé. Il déposa ses lèvres dans le cou de cette dernière tandis qu'il se mettait à donner plusieurs coups de reins, mettant en place, d'abords doucement, le mécanisme du va et viens. Le plaisir parcourait son sexe pour ensuite transpercer son corps de part en part. Plus les secondes, les minutes passèrent, plus l'intensité et l'enive de toucher le plaisir le faisait prendre cette confiance qu'il avait naturellement, augmentant la fréquence du va et viens, ses lèvres ne cessant de chercher le contact de la peau de cette dernière.

Il fallait l'avouer, Alicante était quand même quelqu'un d'assez... Bestial. Ayant laisser tomber depuis bien longtemps les sentiments pour ne laisser place qu'au plaisir, bien que tari, sans émotions, il savait si bien y faire qu'il donnait cette impression d'être amoureux, sans réellement l'être, faisant la chose comme si il le faisait avec sa femme qu'avec une femme quelconque. Le mouvement du va et viens faisant son effet tant chez Valendra que chez lui, il ne cessait de lêcher, caresser, toucher, effleurer de ses lèvres, de sa langue, la peau de Valendra, tandis que ses mouvements devenaient un réel mécanisme, chaque coup se faisant de plus en plus sentir, montrant peut être son petit côté dominateur qui sommeillait en lui, et qu'il montrait à chaque instant, peu importe ce qu'il faisait, sous ses traits arrogants et amusés.

Alors que les caresses de ses lèvres ne cessaient de s'accentuer, au fur et à mesure que son mouvement de rein devenait plus appuyé, plus poussé, comme si il cherchait à trouver l'extase d'une façon réfléchi, il sentit les mains de Valendra dans son dos. Quelques gémissements étouffés se faisaient entendre, pouvant laisser penser que soit, le plaisir commençait à devenir trop intense, soit les griffures que lui faisaient Valendra semblait comme, le provoquer. Plus le côté animal, plus la bestialité qui sommeillait en chaque homme lors de tel moment semblait prendre part, semblait s'emparer d'Alicante comme un rail que l'on aurait sniffer où la drogue circulerait tout aussi vite dans son organisme, de part le fort rythme cardiaque dont l'effort semblait le mettre. Sa peau était brûlante de plaisir, et sa peau ne cessait de rechercher le contact du corps de Valendra.

Et lorsque cette dernière poussa un gémissement de plaisir, Alicante eut un sourire, donnant un dernier coup de rein avant de se sentir comme libéré. Le côté animal dont il semblait avoir fait preuve, venait de s'évaporer, le laissant dans un état second, où la sérénité semblait régné après le plaisir qui avait déferlé dans chaque parcelle de son organisme. Se laissant glisser sur le côté, son dos contre les draps, un sourire satisfait sur ses lèvres, l'on voyait ses tatouages sur son corps émettre une faible lueur comme à chaque fois. C'était la particularité des tatouages de Diego. Non content de lui tatouer la peau, il la liait entièrement à elle. Alicante tourna doucement son visage vers Valendra avant de sourire doucement.

Alicante eut un léger sourire, qui fut vite suivit par une petite moue admirative lorsqu'elle s'était levée et que ses yeux s'étaient, comme qui dirait, égarées sur la silhouette de la jeune femme. Le gitan regardait cette dernière allait se servir dans ses poches sans réellement bougé, se passant une main sur son visage, avant de se redresser doucement pour attraper son boxer, et l'enfilait. Il tourna légèrement la tête lorsqu'elle lui parla, avant de se rasseoir sur le lit, d'une manière peu... Bref. Il s'avachit de tout son long, quoi.

- Tu as déjà était payer en nature mon cher.
- Et la montre que tu m'as prises... C'était pourquoi ? Je n'ai pas eu de supplément, non ?

Il eut un sourire coquin, avant de rigoler doucement tandis que cette dernière sniffait son rail sans aucune once de gène ou quoi. Quel gêne à avoir de toute façon ? Alicante la connaissait, peut être, mieux que personne, et il savait ce qu'il faisait. Si elle était dépendante, il n'en aurait jamais pris sur lui si il était venu. La drogue... C'était juste un petit biseness à côté de ses activités dites... Légales. C'était comme tout, avec Alicante. Il y avait ses activités officielles... Et ses activités officieuses... Il aimait cette idée. D'autant plus qu'il avait quelques idées particulières bien placés et des relations aussi longues que le bras à tous les niveaux de classe social de la population de ce beau monde...

- Alors comment vont les affaires ? J'ai entendu dire que l'Elfique n'avait plus rien de féerique. C'est exact ? Félicitation, je n'aurais pas mieux fait.
- Je m'efforce juste d'assurer tous les plaisirs possibles au sein de la bâtisse...

Encore une fois, il sourit en pensant que c'était Luo le gérant directe. Même si sur le papier, Alicante était propriétaire et gérant, c'était Luo, et puis, il touchait une sommes proportionnelle à sa tâche faite. Ce dernier faisait déjà un boulot à côté. C'était pas guère très occupant... Faire des Bandes sons pour les B.O de films, ou encore pour des défilés ou quoi... Bref. Une bien belle entreprise qu'ils se bâtissaient les deux frères Oleivera.

- Aller va y, fait moi vibrer . Raconte moi les derniers potins du monde sorcier. Qui baise avec qui et qu'est ce qui fait bander le chef des Auror ? Si tu m'apprend sa tu aura peut être la chance de connaitre le nom de ma prochaine victime et d'avoir les détail de mes exploits.
- Ta... Prochaine victime ? Répéta t il, avec une once de malice dans la voix et dans le regard. Puis, il reprit : Ce qui fait bander Carlson ? J'avoue ne jamais lui avoir demandé... C'est un bon type. C'est tout ce que je sais. Je ne peux rien te dire de plus... Car il faudrait que je me renseigne sur sa personne.

Alicante eut une petite lueur d'arrogance dans le regard. Il se passa une main sur le torse, avant de se gratter doucement le cou, pour dire :

- C'est pas comme si je le connaissais pas... Mais nous ne sommes pas suffisamment proche.

Alors, alors... De manière officiel, il n'y avait aucun mensonge. Il était vrai, personne ne pouvait pensé le contaire. Et il était quasi impossible de déceler le vrai du faux chez Alicante, comme le faux du vrai. Il sourit. Stephen... C'était juste un membre de l'Ordre du Phénix en qui il avait une énorme confiance. Mais Valendra... Même si il lui faisait confiance... Il savait que l'appât du gain, chez elle, n'était que trop fort pour garder de tels secrets... Il suffisait qu'elle tombe sur un mangemort qui aurait des soupçons sur ses fréquentations pour qu'elle se fasse briser comme un fétus de paille. Quoi ? Oui. Alicante était machiste, ne l'oublions pas. Il ne sous estime pas Valendra, non... Il est juste... Trop Alicante, quoi. Il se leva doucement, s'approchant de ses affaires puis, finalement, alors qu'il tendait ses mains vers ses affaires, il se retourna vers Valendra et il lui dit :

- Tu me rends ma montre, et je te donne un cadeau. Dans tous les cas, tu es gagnantes.

Il lui fit un sourire dont il avait le secret, et à ce moment là, on aurait pas eut de mal pour voir que c'était un trait caractéristique à la famille. Miguel avait le même, peut être en plus arrogant. Dakota l'avait en plus coquin, et Enrique également, mais en plus mystérieux.

- Bien sûr, tu me donnes également, le nom de ta prochaine victime, que je rigole un peu... A nouveau, il eut un sourire égal à lui même avant de reprendre : Alors ? Qu'en dis tu ?

Et à ce moment là, l'on pouvait voir une application directe de ce proverbe : Si quieres que una mujer te quiera, ten dinero en tu cartera.

- La montre plus le nom contre un cadeau ? Sa fait deux choses contre une seule si mon compte est bon. Je ne suis pas sûre d'y gagner grand chose.
- Alors, arrête de compter et pense au poids du cadeau.

Fit il, avec l'ombre d'un sourire. Elle pouvait lui lancer un regard provocateur, ou tout ce qu'elle voulait, même se mettre à le toucher sensuellement, il ne changerait pas d'avis. Ça serait comme ça, et pas autrement. Et cela se voyait dans sa façon de regarder Valendra. Il était déterminé, et si il faudrait la brusquer un peu, je ne pense réellement pas que cela le gênerait réellement de le faire.

- La chose à laquelle il tien le plus. C'est tout ce que je demande. Puis de toute façon tu sais que si je ne l'apprend pas par toi je saurais trouver mes sources ailleurs. J'ai notamment entendu dire que le jeune Tyler était un garçon fort charmant. Elle se mit à rire, Alicante sourit, et cassa :
- Si il est aussi bon au pieu qu'il arrive à résister à l'appel du pouvoir comme il le fait en étant mangemort, tu te ferais chié, je pense...
- Bon aller tu m'a mise de bonne humeur avec ce cadeau dont je ne m'attendais pas. Je vais te donner ce que tu attend. Mais ne t'y habitue pas trop, je ne serais pas toujours aussi clémente.

Alicante éclata de rire en la regardant se lever pour qu'elle aille lui chercher sa montre. Ce qu'elle pouvait être drôle des fois... M'enfin, si ça lui faisait plaisir de se sentir dominatrice, on va pas lui retirer ce plaisir... Tant que ce n'est qu'un plaisir... Alicante semblait s'être réellement assombri avec la disparition de son cousin Miguel.... Non, son frère. Il posait son regard sur les courbes de Valendra avant de remonter tout doucement son regard vers son visage pour le poser dans ses yeux.

- Voilà . Quand au pauvre type qui se trouvera bientôt là où tu trouve ou bien en train de me léché les pied il s'agit d'un célèbre joueur de Quidditch. Un homme qui pourrait m'apporter davantage de pouvoir dans ce milieu. Un homme plutôt bien foutu j'dois dire même s'il y a mieux. Il s'agit de.... Javis Taylor .

Stupéfaction des plus totales. Alicante ne put s'empêcher d'avoir un léger sourire planaît sur ses lèvres.

- Javis... Répéta t il, comme pour être sûr. Mais Javis... Même un pingouin entrain de faire la danse du ventre, il ne le verrait pas, ou ne trouverait pas la chose bizarre... Comment voulait elle qu'il lui lèche les pieds, étant donné qu'il était aussi naïf et insaisissable que le vent lui même ? C'était un mystère.
- Enfin lui mais sans oublier Iker et Peru bien sûr. Mais Javis est celui qui m'intéresse le plus étant donné ses prouesse et son jeune âge. Leurs manager n'est qu'un abruti qui réfléchit plus avec sa bite qu'avec son cerveau, si encore il en as un bien entendu. Ce dont je doute ardemment. Même un elfe serait plus intelligent que lui. Bref . J'ai la ferme intention de remplacer cet incapable dans les plus bref délais. Maintenant à ton tour. Je suis impatiente de voir quel merveille tu m'as encore dégoter.
- ... Attends, je rigole.

Alicante explosa littéralement de rire. Elle... ? Güiza ? Son demi-frère ? Il en tomba littéralement du fauteuil se roulant par terre. C'était tellement risible. Güiza... Se faire prendre pour un con, par elle... Pour obtenir ses neveux ( d'Alicante ) soit le fils de Güiza et ses cousins ? Il en pouvait plus. Il avait trop mal au ventre. Et lorsqu'il parvint à s'arrêter de rire et qu'il tenta de se relever, il revit Güiza dans sa tête entrain d'envoyer littéralement chié Valendra. A nouveau, il explosa de rire, retombant au sol, les larmes coulaient de ses yeux noirs et remplis d'une chaleur profondément triste. Finalement, après bien dix minutes de fou rire intensif, il se releva tant bien que mal, s'essuyant le rebords des yeux, ajoutant :

- Ne me sors plus de blague comme ça... Je ne dirais rien à mon frère. Je veux juste que tu... Tentes. Ca va être trop amusant !

Il eut un petit rire. Güiza manquait d'une délicatesse, c'était cruel comme chose. Enfin, bon, ça allait être amusant à entendre. Alicante leva son pantalon pour prendre sa cape de sorcier où il y avait, dedans, une boîte d'une trentaine de centimètres de longueurs, et une bonne vingtaine de centimètres de largeurs. Il l'ouvrit légèrement voyant le petit reflet argenté du cadeau, doucement, il se retourna, puis, il lui tendit délicatement.

- Tu devrais aimer...

A l'intérieur ? Il y avait une petite dague. Une dague aztèque, que les femmes portaient, même si c'était assez rare, car c'était un genre de Dague particulièrement agréable à porter, pas lourde, mais aussi précise que l'était un chirurgien avec une tumeur. Alicante eut un léger sourire lorsqu'elle la découvrit. La dague était magnifique. Il y avait des inscriptions aztèques sur la poignet, puis sur la lame. Sur le manche, l'on pouvait voir une émeraude effritée en plusieurs endroits, lui donnant un petit aspect vert à la lumière. C'était une très belle lame. Il la sortit doucement du paquet pour lui montrer doucement sa capacité à couper. Alicante tendit son bras devant elle, et il y entra le couteau comme dans du bueurre. Le sang coula doucement sur le lit, tandis qu'Alicante sourirait. Cette lame ne faisait même pas mal, aucune douleur. Bien que... Il se retourna et il la lança d'une façon agile sur le mur où la lame pénétra sans aucune hésitation et sans trouver de quoi la contrer. Alicante passa sa main droite sur son bras gauche pour se soigner la blessure, avant de la passer délicatement au dessus du sang coulé sur le lit qui s'en alla également. Il alla chercher la dague et il lui rapporta tout en ajoutant :

- Fais en bonne usage. Avec un sourire amusé, et peut être... Un tantinet protecteur.

- Sans vouloir te foutre à la porte. J'ai quelque contrainte à vivre en communauté. Mais à très bientôt j'espère. D'ici là tu aura sûrement le récit détailler de ma victoire sur Javis.
- Tu auras toujours le don pour me divertir... Et peu importe la façon... Elles me feront toujours rire.

Alicante se retourna doucement, s'habillant tranquillement. Certes, il était mis à la porte, mais en même temps, il s'en foutait royalement, puisque, cela faisait partit de leur jeu, dirons nous. Avoir 5 colocataires que l'on ne connaissait pas, cela ne devait pas être réellement facile tous les jours. Une fois vêtu, il ressortit de sa poche de pantalon sa chaîne religieuse qu'il remit doucement autours du cou, son regard posé sur Valendra, comme la défiant de dire quoique ce soit là dessus. Il était croyant, mais aussi, pratiquant. Et tout non respect envers la religion ne cessait de le mettre dans des colères suffisamment noir pour faire peur. Ali' était comme ça, et l'on ne pouvait rien y faire. On l'aime comme ça, ou l'on ne l'aime pas. A vrai dire, dans les deux cas, il s'en fout. Il s'en fout car il sait qu'avoir son attention, c'était quelque chose de beaucoup dans certains milieux du monde. Ce qui le faisait bien rire, lui, fier gitan qui n'avait jamais travaillé de sa vie ( du moins, officiellement ).

- A plus tard...

Finit il par dire, avec un murmure digne d'un chat qui ronronnait. Il eut un sourire léger, avant d'actionner la porte de la poignet. Ce qu'il faut savoir... C'est qu'il avait récupéré sa montre de façon imperceptible. Alicante avait un sourire amusé lorsqu'il traversa le couloir de l'appartement. Remettant son col d'une manière assez kéké boy, mais qui lui allait particulièrement bien, Alicante sortit de la maison, après avoir pris une pomme qui traînait dans la cuisine. Il croqua dedans, quelques secondes avant de transplaner, un sourire sur ses lèvres.

- Tu auras toujours le don pour me divertir... Et peu importe la façon... Elles me feront toujours rire.

Elle ne fit aucun commentaire. Si ce sentait à son aise tant mieux, mais ce n'avait rien d'étonnant elle avait l'air et la manière de savoir recevoir. Debout les bras croisé contre sa poitrine, elle l'observa s'habiller tout en lui lançant un regard qui signifier sans aucun doute qu'elle désirait qu'il s'accélère un peu. C'était pas tout ça, mais les filles n'allaient pas tarder à rentré.

Elle eut un petit sourire en coin lorsque l'hispanique remit sa chaine religieuse. Elle avait toujours trouvait ça ridicule pour un homme comme Alicante qui était loin d'être un sain d'être aussi pieu. Pour elle se mot avait un tout autre sens et signifiait seulement l'endroit où elle et l'homme étaient coucher il y a peu. Pour Valendra la religion n'était qu'une tissu de mensonge, une armes idéale pour manipuler les faibles et les naïfs et la seule chose qui lui rappelait qu'elle était catholique était une chapelet qu'elle portait sur elle. Mais ne vous y trompez pas cet objet n'avait rien a voir avec dieu, ou du moins par avec celui donc croyait la jeune fille. En effet, la croix présence au bout du chapelet s'ouvrait et s'agissait en fait d'un petit récipient contenant de la cocaïne. La drogue. La seule croyance de Valendra. Elle ne fit toutefois aucun commentaire, son aimant savait son avis sur le sujet.

- A plus tard...
- Avec Plaisir.

Il eut un petit sourire qu'elle lui rendit, il devait sûrement penser à leurs ébats . Normal elle était si bonne en ce domaine, difficile de l'oublier et de ne pas y penser. Elle observa Alicante sortir avec de sa chambre avant de poser son regard sur sa dague qu'elle tenait toujours dans les mains. Jolie cadeau. Vraiment très jolie. Amusé, elle se dirigea ensuite vers la poche de sa veste, l'endroit où se trouver la montre de l'hispanique. Elle jubiler de savoir qu'elle l'avait garder mais son sourire s'évanouit tandis que sa main dans la poche chercher l'objet, il n'y était pas. Elle réalisa alors la véritablement signification du sourire de Alicante.

- La montre !

Merde !!!!