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Sujet: the rainbow (uc) Sam 24 Mai - 15:39
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IDENTITE :
Prénom et nom : Hatsu Yune Murakami, surnommée amicalement rainbow et hachiko. Rainbow qui signifie l'arc en ciel, de par sa joie de vivre. Puis Hachiko pour la légende Japonaise, le fameux chien de la gare de Shibuya. Date de naissance, Age : le Vingt deux Décembre, elle a vingt quatre ans. Profession : Journaliste à la Gazette. Plutôt novice, elle n'en ai pas moins explosive et elle fait déjà assez parler d'elle grâce à sa plume. Plutôt neutre dans cette histoire de bien et de mal, c'est son père qui lui a dit d'entrer à la Gazette ; disons qu'il le lui a ordonné, plus précisément. Bientôt Mangemort, sous l'influence de Tyler Carlson, elle prouvera donc que son poste à la Gazette n'a en rien été un hasard. Toujours utile une Mage Noire chez les Journalistes, non ? Officiellement, son père n'est au courant de rien. D'ailleurs, c'est à peine s'il se doute que les articles signés "l'arc en ciel" sont bien d'elle. Un mystère irrésolu. Etat Civil : Célibataire, aux dernières nouvelles.. Baguette Magique : Vingt cinq centimètres, en bois de cerisier. Elle contient une plume de Corneille.
CREUSONS, CREUSONS.. :
Ascendance, Niveau des Richesses : La famille Murakami est d'origine sang pur. On ne peut pas réellement dire qu'ils sont riches, même si leur environnement pousse à croire qu'ils ont énormément d'argent. Disons simplement que les temps ont été durs, mais que tout s'est arrangé à la mort du grand père d'Hatsu. Origine Géographique : Hatsu est d'origine Japonaise de par son père. Sa mère est Irlandaise, mais elle a passé la majorité de son temps au Japon - elle voyageait souvent, jusqu'à rencontrer, un beau jour, celui qui est aujourd'hui son mari. Hatsu est née à Osaka, dans un quartier plutôt tranquille. Sa Famille : La famille Murakami, c'est l'exemple typique de la parfaite petite famille Japonaise, surtout avant la mort d'Eleonor, la mère d'Hatsu. Une famille plutôt aisée qui n'en reste pas moins une mordue des traditions. On raconte que la Magie Blanche a été très présente, autrefois, dans les différentes générations de cette famille. Ce qu'il en reste ? Rien, à part un territoire neutre. Tatsuki, le père d'Hatsu, a été profondément blessé par la mort de sa femme, qu'il voyait comme la réponse à toutes ses questions. Il en est devenu très protecteur vis à vis de ses deux enfants qui, au fil du temps, ont su faire la part des choses pour qu'il se remette de ce décès. C'est sans compter le soutien de la famille d'Eleonor qui, à chaque grandes vacances, prenait soin des deux petits enfants prodiges. Hatsu n'a plus de grands parents du côté paternel ; sa grand mère est morte l'année précédant sa naissance, et quant à son grand père, il est mort alors qu'elle n'avait que cinq ans et demi. Sa famille est entièrement composée de sorciers, et pas n'importe lesquels puisque qu'ils furent de brillants Aurors. Seul Tatsuki est neutre dans cette histoire, pendant que les autres prônent la Magie Blanche. Ce qui lui a toujours plût, c'est la différence ; et c'est sûrement ce qu'il a voulut pour sa chère et tendre fille. Un Inventaire : Un médaillon, une plume, ainsi qu'un appareil photo magique.
CARACTERE :
Connaissez-vous l'histoire du Petit Prince ? Un enfant rêveur, qui contemple cette étoile qui passe, avec l'étrange envie qu'on lui dessine un mouton. Hatsu, c'est le Petit Prince, dans la peau d'une fille bien plus adulte qu'elle n'en a l'air. Parfois lointaine, elle rêve doucement que l'amour lui revienne. Son amour. Puisqu'il est partit depuis quelques années, elle en vient au moment où la haine est remplacée par la mélancolie, une mélancolie bien plus recherchée qu'un moment de spleen. Plutôt enfantine, il fût un temps où elle était resplendissante, pleine de vie et souriante à qui voulait le voir. A présent, elle reste cette petite fille errante, cherchant de quoi vivre dans n'importe quelle chose. C'est une passionnée, une timide au grand cœur. Elle a toujours été surprenante, tant par sa douceur que par sa loyauté. Peu sûre d'elle, elle a trouvé refuge dans l'écriture, et plus précisément dans le journalisme. Dans ce domaine là, elle sait ce qu'elle fait, et n'est pas du genre à tenir sa langue. Bien au contraire ; du haut de ses vingt quatre ans, elle fait déjà parler d'elle - ce qui est plutôt flatteur quand on est journaliste, n'est-ce pas ? Assez gentille et manipulable, elle ne tardera pas à voir ce que lui réserve sa naïveté enfantine. Elle est facile à vivre ; c'est une amie formidable qui, loin de ce silence qu'elle ne cesse d'étendre, est une fille à la fois généreuse et protectrice, même si c'est plus elle qu'on doit protéger des autres. Elle n'a aucune notion du bien, ni même du mal. Pour elle, tout a sa part de sombre et de lumière. Les actes, les choses, les personnes...Elle pense qu'il y a du bien en chacun de nous, et risquerait de passer pour folle en cherchant à tout prix à le prouver.
Mais ne pensez pas que la jolie Japonaise est une femme aussi simple à cerner que ça. Loin des sourires enchanteurs, il y a les rêves amers, ceux qui la guident sur l'autre rive à chaque fois qu'elle ose regarder la vérité en face. Et la vérité devient de plus en plus pesante, car en plus d'être naïve et frêle, elle n'en reste pas moins une rêveuse qui tombe doucement de son nuage. Et la chute est longue, trop longue et trop lourde pour qu'Hatsu ne réalise pas qu'elle fonce dans le néant. Elle n'a ni ambition, ni rêve de gloire. Juste quelques bribes d'espérance qui envahissent son quotidien, des choses qui la rendent lunatique, et même un peu trop mystérieuse, au point d'utiliser un pseudonyme à chaque fois qu'elle s'exprime. L'arc en ciel n'a plus de couleur, ces temps ci. Il disparaît au fil du temps, et subsiste difficilement grâce à des mensonges qu'elle s'invente pour mieux réussir. On dit souvent qu'après la pluie vient le beau temps...Mais Hatsu a été trop patiente, elle n'a plus la force d'attendre. Elle est trop faible, trop vulnérable. Une romantique qui ne cesse de se perdre... Pourtant, Dieu sait qu'elle se remet souvent en question. D'ailleurs, c'est ce qu'il se passe en ce moment ; elle affronte sa peur du vide et de la mort, toujours enfermée dans un mutisme qui causera sûrement sa perte. Hatsu n'est pas très loquace, comme fille...
PHYSIQUE :
Hatsu, c'est le genre de fille qu’on a du mal à remarquer. Beaucoup plus petite que la moyenne, elle est du genre à se faire discrète et opte plus pour un style vestimentaire sobre, sans artifice. Ses cheveux noirs de jais lui arrivent un peu plus bas qu’aux épaules, ils lui tombent en cascade pour finir en dégradé. Souvent cachée derrière sa frange, elle arbore un visage enfantin, des traits angéliques qui vous font sourire. Et ses yeux gris n’en sont que plus éblouissants, pourtant rares sont les fois où elles osent vraiment les montrer. La plupart du temps tête baissée, Murakami est une fille assez fantomatique. Un teint pâle, des cheveux toujours lâchés et légèrement en bataille, elle représente l’esquisse parfaite de l’innocence. Assez douce dans ses gestes, elle est très souriante, et même quand tout va mal, elle s’efforcera de vous égayer la journée en vous offrant le plus sincère sourire. Hatsu, elle est le genre à prôner le naturel. Pas beaucoup de maquillage, voir même pas du tout, elle n’est pas une grande séductrice. C’est sa fraîcheur qui fait toute la différence, et cette petite bouille qui nous rappelle souvent le passé, quand on était à peine plus hauts que trois pommes. Elle est comme ça, physiquement. Une poupée de porcelaine, une poupée de chiffon qui traîne, et qui traîne encore sous des airs un peu trop discrets. La particularité chez elle, c’est ce tatouage au niveau de la cheville droite, et ces bracelets qu’elle porte sans cesse au poignet. Toutes les couleurs de l’arc en ciel, ainsi que ce symbole peint sur sa peau laiteuse. C'est ça qui lui a valut son fameux surnom ; rainbow.
Dernière édition par Hatsu Y. Murakami le Dim 25 Mai - 1:49, édité 4 fois |
| | | Sujet: Re: the rainbow (uc) Sam 24 Mai - 18:37
| | Invité
ALORS, ALORS…
Son enfance :
Il y a des choses que l'on explique pas, des choses qui arrivent sans vraiment le vouloir, mais qui peuvent parfois être la source de notre plus grand bonheur. Une naissance, entre autre. L'espoir avait été immense, il fût un temps, mais Tatsuki et Eleonor avaient bel et bien abandonné l'idée d'avoir un jour un enfant bien à eux. Une petite Hatsu, une fille qui symbolisait l'espérance et le rêve qu'ils ont enfin atteint. Déjà à quelques mois, sa douceur n'était pas à renier, ni même ses yeux bridés couleur pastel. Elle avait tout pour être heureuse ; une ville sublime qui s'offrait à elle, une maison agréable. C'est vrai qu'Osaka a toujours eut sa part de tranquillité, comme partout. Et puis, la saison des cerisiers en fleur avait toujours attisé la curiosité de notre petite Hachiko, à tel point qu'elle redoutait de rater ce jour qu'elle attendait avec tant d'impatience. On l'avait toujours comparée à ces cerisiers aux couleurs resplendissantes. Hatsu était le genre de gamine qui vous pousser à sourire rien qu'en chantant l'hymne Japonaise, deux baguettes à la main, en essayant tant bien que mal de faire comme son père. Plutôt sur la défensive et timide, elle n'était pas du genre à pousser de grandes crises, même en étant aussi petite que trois pommes qu'on aurait mises l'une sur l'autre. Ainsi, elle a grandit dans la plus jolie des insouciances, même après le décès de sa mère qui fût comme qui dirait un gros choc. Elle entra dans un mutisme assez complexe, s'empêchant de parler, presque de vivre. Elle aidait son père, puis élevait son frère cadet quand elle le pouvait. Cette perte lui fit aussi perdre ses repères, mais elle n'en resta pas moins la petite fille fragile d'antan. A six ans et demi, on ne se rend pas réellement compte qu'un Adieu ne ressemble en aucun cas à un Au revoir, même après les innombrables explications d'un père qui semble lointain, presque effondré, cassé.
Faire comme ci de rien n'était, oublier qu'elle ne reviendra pas. Elle était jeune, donc trop naïve et trop rêveuse pour croire ce que l'on tentait de lui dire avec des mots simples, mais pas si efficaces que ça. Son père survivait, elle le voyait se détruire, s'acharner pour que ses propres enfants aient un avenir et un présent confortable. Oui, Hatsu n'a jamais manqué de rien, sans pour autant la transformer en petite fille à papa, enfant gâtée à souhait. Au contraire, elle en voulait à son père de lui offrir le bonheur en se l'interdisant, en s'oubliant au passage. D'ailleurs, c'est de lui que lui vient cette générosité sans borne. La petite a vécut entre deux pays ; le Japon, lieu de sa naissance, et l'Irlande, où sont le reste de sa famille - du côté de sa mère, puisque son père était enfant unique et que son grand père, dernier survivant, est mort dans des circonstances plus que mystérieuses. A l'âge de neuf ans et demi, elle connaît officiellement l'existence du Monde de la Magie, alors que son père obtient un poste haut placé au Ministère de la Magie situé au Japon. Hatsu part seule chez ses grands parents maternels, son père ayant toujours voulut qu'elle connaisse le pays de sa mère, et l'école de Magie qu'elle a donc dû côtoyer. Poudlard la faisait angoisser. Le fait d'entrer là bas, loin de sa famille, avec des inconnus et un Monde auquel elle ne connaissait strictement rien, c'était...Effrayant. Son grand père bien aimé avait même dû la porter jusque dans le Poudlard Express, une entrée en matière puisque, ce jour là, elle avait officiellement montré à quel point elle était émotive. Tout ça commençait plutôt bien... Elle rêvait même que sa mère apparaisse soudain, le sourire aux lèvres. En fait, si elle a réellement continuer, c'est justement pour elle. Tout a été pour elle, d'une certaine façon. Son scolarité à Poudlard:
Et après Poudlard :
WHAT ELSE ? >
Actrice : Aoi Miyazaki <3 Code du règlement : Pseudo IRL : Rain' Comment voyez vous le forum ? La fiche de Présentation ? (L) Un commentaire ? : REVOLUTIOOOOOOON ! |
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