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 Sujet: £dward L. St£wart [Fini]
Dim 11 Mai - 10:57
| | Invité
![£dward L. St£wart [Fini] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) Et dans les doux torrents d'une allégresse entière -
Tu verras s'abîmer tes maux les plus amers.
¤ Pierre Corneille ¤ | £dward L. St£wart | }} Identité Générale >
# Nom, Prénom : Edward Lucas Stewart
# Date de Naissance, Age : Né le 10 mai 1993, 17 ans.
# Année à Poudlard : 7 ème
# Baguette Magique : 30,2 cm. Fine. Bois de figuier, dont les racines sont très résistantes, symbolise la survie, le courage et la volonté. Ventricule de coeur de dragon. Très flexible.
}} Creusons, Creusons... >
# Ascendance, Niveau des Richesses : Sang Pur
# Origine Géographique : Irlandaise
# Sa Famille :
{Mère : Elena Davis Stewart ~ Femme frêle et douce qu'Edward appréciait beaucoup lorsqu'il était enfant. Après les histoires avec son mari, elle est devenue folle et a essayé de se suicider avec la magie, depuis elle vit constamment à Sainte Mangouste où Edward va la voir de temps à autres.
{Père : Oliver Stewart ~ Homme bien bâti et de bonne famille, il était à Serpentard étant plus jeune et en a toutes les qualités. Lorsqu'il s'est marié à la douce Elena, personne ne s'y attendait. Ils étaient des exacts opposés. Seulement sa famille lui a mis la pression, il a essayé de devenir quelqu'un de meilleur pour sa femme mais n'y est pas parvenu. Très vite il est tombé dans l'alcoolisme et s'est détruit petit à petit. C'est durant les vacances de la sixième à la septième année d'Edward qu'il est mort. Le jeune homme n'est même pas allé à l'enterrement, voilà bien longtemps qu'il ne considérait plus Oliver Stewart comme son père.
{Grands parents paternels : Ils sont ceux qui l'ont élevé depuis que sa mère est à Ste Mangouste et que son père a été déclaré inapte à s'occuper de lui. Ce sont des gens méchants, hautain, des gens qui ont essayé de lui pourrir la tête mais en vain.
( Je me suis permis de faire directement un copier/coller sur Olivia , car je ne vois pas ce que je pourrais rajouter de plus )
# Un Inventaire : Au fond de sa poche, se trouve un collier. Un collier dont lui ne vous révélera jamais l'origine mais qui a cependant une importance cruciale à ses yeux. Lorsqu'il était encore tout jeune, sa mère lui avait offert ce bijou, longue chaîne d'argent avec à son bout une plaque d'argent elle aussi mais qui avait en son milieu, Un "E" et un "S" noir entrelacés . E pour Edward et S pour Stewart. Dans la famille c'était devenu comme une tradition d'offrir un bijou tel que à la descendance le jour de son huitième anniversaire. Il le porta tous les jours sans exception, jusqu'au décès de son père. Même si il est plus que sur qu'Edward n'aura ressenti aucune tristesse en apprenant la nouvelle, il ne la mettait plus autour de son cou, mais la garder enfoui dans sa poche droite de pantalon, ne la sortant que quand il devrait se changer...
}} Qui est ce ? >
# Son Caractère, Comportement : Tel l'eau et le feu, la roche et la terre, le jour et la nuit, le chien et le chat, Edward a deux personnalités bien distinctes. Celle qu'il réserve aux gens qu'ils ne connaient pas où alors que très peu, les gens méprisants, stupides et complètement délurés, en clair qui ne mérite aucunement son attention. Et une autre, pour les gens qu'ils respectent, ceux qu'ils "aiment", ceux en qui il a confiance, ceux qui s'efforcent de le comprendre et de le laisser tranquille sans pour autant l'éviter. Ceux en qui il a foi et en qui il sera certain de pouvoir se confier sans aucune trahison de la part de l'intéressé. Le seul problème est que cette facette de sa personnalité, est presque inexistante, comme un feu prêt à se consumer, et cela expliquant le fait qu'Edward flâne finalement seul entre les couloirs, solitaire avec les murs et la poussière. Saurez-vous raviver la flamme ? Pas si sur...
Le regard mystérieux et froid, il fait parti de ceux qui reste la plupart de leur temps en retrait, n'adressant la parole à personne ou presque. Pas qu'il soit timide ou autre chose de la même nature, non, il est juste le garçon auquel on n'aurait pas idée de venir embêter et vice-versa. Il resta la plupart de son temps dans les bars de Pré-au-Lard ou sous un arbre du Parc de Poudlard, à méditer sur les choses de la vie, ses inconvénients, ses bienfaits, mais jamais sur lui-même. Il ne se mêle jamais des histoire d'autrui, et n'a ainsi dire jamais prit la défense de qui que ce soit. Il estime qu'avec un minimum d'intégrité, les autres n'ont pas besoin de lui. Dans l'école, on ne le déteste pas mais on ne l'aime pas pour autant, comment pourrait-on de toute façon, il est presque invisible dans ce monde perfide et plein de compétition entre les élèves de Poudlard. Mais si par curiosité, vous vous intéressez à son cas, et vous aventurez un peu trop dans ses pattes, vous aurez la chance de rencontrer le doux loup transformé en ours méprisant. Franc, très franc, au point d'en devenir grande gueule, si le fait que vous veniez lui parler ne lui plaît pas, il vous dira gentiment de déguerpir, et cela est valable pour toutes les choses de la vie quotidienne. En cours, si malencontrueusement, Edward venait à ne pas apprécier les techniques du professeur, il le lui ferait savoir, et ce devant la classe entière, cela ne le gêne aucunement. Il n'y a donc aune crainte à avoir tant qu'à franchise. Sarcastique, il vous sortira toujours des moqueries railleuses sur vos propos, vos gestes, ou tout ce que vous ce à quoi vous pouvez lui faire penser, vous mettant ainsi dans une dérision intentionné de sa part. C'est pourquoi on en peut pas dire qu'Edward soit doté d'un sens de l'humour au sens propre, mais plutôt d'une bien trop grande connaissance dans l'humour noir.
Ce garçon mystérieux et aux allures de jeune homme hors d'atteinte en attirent plus d'une, et malgré son tempérament solitaire, il ne les rejette pas. Et pourtant, la manière dont il les regarde, comme si elles n'étaient que du bétail dans un champ de foire, semblent indiquer plus qu'un simple refus à leurs avances. Mais malgré ça il joue, il joue de son physique et de son charisme. Il les attires dans ses filets, noue des liens confus, passe la soirée avec elles, puis s'en va avant que l'un et l'autre n'est commencé à ressentir plus que la limite qu'il s'était fixé dans ce genre de relation. Bien sur, il arrive que ses petites amies d'un soir ne supporte pas sa fuite, mais Edward ne cède pas, elles l'oublieront le lendemain dans les bras d'un autre. A vrai dire, s'il agit ainsi, c'est tout simplement pour ne faire du mal à personne. Il ressent le besoin de ne pas faire aux autres ce que lui aurait pu ressentir dans son enfance. Et cela marchent aussi pour les rares amis qu'il aurait pu avoir. Il garde ses vrais sentiments bouclés quelque part au fond de lui-même. Il s'y est entrainé et fait en sorte de ne pas être le Edward qu'il est réellement. Il n'est d'ailleurs tombé véritablement amoureux qu'une fois, il y a longtemps, et si on se penche un peu plus sur son cas, on pourrait même remarqué que cet amour n'est peut être pas complètement tombé aux oubliettes, mais ça c'est une autre histoire.
Quand on le connait véritablement, on se rend compte qu'Edward est quelqu'un de doux et même, s'il n'est pas trop de mauvaise humeur, il pourrait même se montrer sympathique. Il en deviendrait presque généreux. Mais ne vous faites pas d'illusions, cela n'arrive qu'occasionnellement, pour ainsi dire que très rarement. Il ne se prend pas au sérieux, ni lui ni les autres d'ailleurs. Pour lui, la jeunesse doit être vécu sans vraiment se soucier de ces inconvénients et de tous les problèmes qu'un adulte peut avoir. Il profite, donc. Cultivé, il passe la majorité de ses après midi le nez dans des bouquins à s'abreuver de connaissances. Mais il n'en est pas pour autant devenu un intello, ou n'importe quel autre adjectif que l'on peut porter à quelqu'un qui apprécie de ne pas avoir que de la semoule dans la tête. Lorsque Poudlard le lui permet, il va dans les bars de Pré-au-Lard et écoute du vieux rock jusqu'à pas d'heure.
# Ses Passions, Centres d'intérêts : S'il y a bien une chose qu'Edward apprécie par dessus tout, c'est la musique. Cela peut aller du sifflotement d'une jeune mésange sur sa branche d'arbre, au chanteur de Hard Rock qui hurle dans son micro magique. Edward aime toutes les sortes de musique. Cette passion est née le jour ou sa mère avait acheté un piano, et qui à l'origine n'était pas destiné à ce que ce soit Edward qui y joue. Et pourtant, chaque fois qu'il le pouvait, il pianotait quelques notes, en cachette. Un jour ou il pensait être tout seul, sa mère l'a surprit, et depuis il prend des cours de piano. Edward avait un don, c'était certain. Il avait la mélancolie dans les veines. Compositeur à ses heures, sa mère fut la première spectatrice de ses compositions. Malheureusement, aujourd'hui, Edward est obligé de s'auto-critiquer lui-même, car sa mère ayant le seul avis qui compte était maintenant, prisonnière d'une chambre d'hôpital.
Amateur de poésie et de littérature diverses et variés, il est un grand fan des écrivains moldus. Racine, Bouleau, Corneille, Shakespeare... la liste serait bien trop longue à écrire. Tout jeune, il s'est intéressé à ces classique, les lisant le plus souvent sous un arbre, pou se cacher du soleil perçant qui faisait rougir sa peau blafarde de tous les jours. Les jeunes de son âge ne comprenait pas son intérêt pour ces vieilles oeuvres, "il faut vivre avec son temps" ils disaient. La plupart n'ont toujours pas changé d'avis aujourd'hui. Mais Edward reste Edward, il ne changera pas ses habitudes à cause d'un jeune damoiseau qui préfère faire exploser des bombabouses près de sa grand mère cardiaque qui faisait un somme dans son fauteuil préféré.
# Ses Peurs les plus secrètes : Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'Edward n'est pas de ces garcons froussard. Il n'a pour ainsi dire, peur de vraiment pas grand chose. La plupart des gens ont peur des araignées, des serpents, de la mort,... des choses banales et habituelles. Mais Edward n'est pas habituel. A son arrivée à Poudlard, il avait peur d'être abandonné, de ne pas se savoir aimé, de se sentir perdu parmi toutes ses têtes inconnus et indifférentes à lui-même qu'étaient les élèves de Poudlard. Mais cela a bien changé. Désormais c'est tout le contraire. Edward se fiche bien de ne pas se savoir aimé. Tout ce qu'il veut c'est ne pas causer trop de tort autour de lui, ne s'attachant ainsi qu'a très peu de personnes. Car il n'en a peut-être pas l'air comme ça, mais il n'est pas totalement sur de lui, il doute de sa propre personnalité, et a peur de faire du mal si l'on s'attache de trop à lui. S'en est devenu une telle obsession que cela pourrait même en devenir malsain pour lui, et quoi que, peut être aussi pour son entourage.
Dernière édition par Edward L. Stewart le Lun 12 Mai - 20:14, édité 3 fois |
| | | | Sujet: Re: £dward L. St£wart [Fini]
Lun 12 Mai - 15:05
| | Invité
- }} Il ressemble à ... >
# Physiquement, c'est :
Edward est un jeune homme grand, très grand. Un mètre quatre vingts cinq, il n'est pas de ceux que l'on pourrait juger de petit. Sa grandeur, il en use beaucoup, surtout pour jauger de haut ceux qui d'une manière ou d'une autre pourraient lui mener la vie dure, mais ça, ça n'arrive pas souvent évidemment. Très grand, et en plus de cela, maigre. Il ressemble d'ailleurs plus à une asperge qu'à un collègien. Mais attention, maigre certes, mais il n'en est pas mollasson pour autant. Non, son torse et ses jambes sont musclés, il prête tout de même un minimum d'attention à son physique. Musclé mais pas assez non plus pour passer pour un machiste du genre, fasciné par ses propres muscles, ce n'est pas du tout son genre. Un géant au doux corps efflanqué, en bref.
Comme beaucoup de monde le lui fait remarquer, sa peau est blafarde. Blanche, blanche comme de la neige. Cela donne encore plus de charme à son corps marmoréen. Mais ce la n'a pas que des avantages. Il est obligé de se protéger sans cesse des rayons du soleil, et se promène donc rarement en tee shirt où n'importe quel autre vêtement trop léger car ce serait vous mentir si je vous disais qu'Edward se fout de prendre des coups de soleil. Caractéristique qu'il tient de sa mère, qui avait elle aussi un teint aussi pâle qu'une tasse de porcelaine. Quand à son allure, sa façon de marcher, Edward se tient toujours droit, jamais voûté, signe certainement de son éducation plutôt stricte et soigné. Il montre qu'il aime son corps mais sans pour autant y porter une grande importance.
Cheveux couleur bronze, ils font encore plus ressortir sa peau de neige. Ils sont d'ailleurs l'élément de son corps que l'on remarque en premier, et qui fascine beaucoup. On pourrait se demander même si ce n'est pas sa couleur naturelle, et pourtant si, c'est sa vrai. Toujours coiffés en désordre, cela lui donne un air négligé, beaucoup apprécié par la gente féminine. Couleur ambre, ses yeux sont significatifs de beaucoup de choses. Ils attirent et intriguent, fuirent même parfois. On peut y voir toute les tristesse du monde, sentiment qui ne se reflète que dans son regard. Il peut très bien aussi vous faire son regard doux et mélancolique, charmeur en quelque sorte, mais ce la ne s'ensuivra que d'une remarque cinglante à votre attention. S'il le voulait, il pourrait les faire tomber comme des mouches grâce à ses yeux, mais la plupart du temps il garde ses yeux fermés, ou baissés vers le sol, comme si quelque chose le dérangeait, lui donnait envie de s'enfuir très loin d'ici.
Ses sourcils sont épais et plus foncés que ses cheveux, accessoire donnant encore plus de charisme à ses yeux. Son nez est bien proportionné par rapport au reste de son visage, sa bouche joliment dessinée au dessus de son menton masculin et viril. Il la garde le plus souvent entrouverte, passant toutes les cinq minutes sa langue sur celles-ci, toc qu'il a depuis l'enfance. Son style vestimentaire maintenant. Déjà, on peut effacer le mythe gothique. Edward pas souvent de noir, à part peut être pour ses vestes de costard. Il aime porter des jeans rapiécés de couleur brut la plupart du temps, ne supportant pas la vue des jeans délavés. En dessous de ses vestes de costard raccomodés, il porte des tee shirts au slogan de ses groupes de rock préféré, le slogan commençant légèrement à s'effacer généralement. Ce look désinvolte et peut être un peu puéril de sa part lui donne un air toujours très classe et propre sur lui. Signe encore une fois peut être de son statut social plutôt élevé.
# Signes particuliers ? Il a de nombreuses cicatrices dans le dos et aussi quelques une dans le bas du ventre, souvenir de la maltraitance de son grand père lorsqu'il était jeune.
}}Alors, Alors ... >
# Son Enfance :
- Tu Manges ce qu'on te donne et c'est tout...
- ...
Pas de réponse. c'était devenu une habitude pour le petit Edward de faire le sourd-muet. Depuis qu'il vivait chez ses grand parents, sa vie était devenu un véritable cauchemar. On l'y avait amené de force. Son père, alcoolique dépendant, faisait sa cinquième cure de désintoxication à St Mangouste, où on lui donnait un traitement pour moldu, la magie n'étant d'aucune utilité pour son cas. Mais Edward savait qu'il n'en ressortirait encore une fois pas vraiment guéri. Ca irait pendant 2 ou 3 mois, et puis il finirait par craquer et à recommencer à boire. Tant qu'à sa mère, ah sa mère, elle avait perdue la tête à force de voir sa joli vie de famille tomber en poussière. Elle aussi se trouvait à St Mangouste, dans la section pour les problèmes psychologiques cette fois. Et apparemment, ce n'était pas guérissable comme pour son père. Elena Stewart qu'elle s'appelait. Belle femme d'une trentaine d'années, souriante et extravertie, elle avait fait les beaux jours de son jeune fils. A présent, il n'y aurait plus de moment de bonheur dans la vie d'Edward. On l'avait délaissé, abandonné, entre les mains des deux diables que la Terre ait pu lui donner comme grand parents. Elisabeth et Malveen Stewart, étaient tous deux des anciens serpentards, et cela s'en ressentait dans leur manière d'agir avec leur petit-fils. Pour eux, il était le bon à rien de la famille qui préférait lire des bouquins de plus de mille pages et faire du piano au lieu de faire ce que tout enfant bien eduqué, descendant d'une famille de serpentards, auraient du faire. Ce matin-là, il avait donné deux coups de fouet à Edward qui lui avait désobéi en sortant en cachette de sa chambre pour aller voler des livres littéraires dans la bibliothèque de son grand père. Le pire dans tout ça, était qu'Edward ne se plaignait jamais. Il ne ripostait pas, n'hurlait pas quand on le battait, il restait tapi dans le silence absolu. Avec le temps, il avait apprit à ne pas réagir au trop plein d'autorité de son grand père.
Se levant d'un bond, Edward quitta la table et sortit du salon. Il entendit sa grand mère qui le rappelait à l'ordre derrière lui. Il ne l'écouta pas et commença à monter les escaliers quatre à quatre. C'était la deuxième fois cette semaine qu'il quittait la table sans même avoir manger. Il savait aussi que s'il continuait ainsi il pourrait avoir de beaux problèmes d'estomac. Mais, à vrai dire, il le faisait exprès. Il n'avait pas envie de se nourrir des immondes plats de sa grand mère dans lequel tronaît toujours son parfum infecte mélangeant l'odeur d'un chat et de celle des fleurs. Arrivé à l'étage, Edward s'accouda au mur. Son dos lui faisait mal. Il sentait un liquide brûlant qui lui coulait dans le dos. Passant une main sous son tee shirt, il en retira quelques secondes plus tard une main ensanglantée. Les coups de fouet de son grand père avaient fait effets. Une grimace vint s'afficher sur le visage du garçon. Il lui faudrait encore passer du temps dans la salle de bain, à tout désinfecter. Il se débrouillerait seul, n'ayant personne dans cette maison qui s'intéresserait à ses blessures. Le fouet était la punition qu'il aimait le moins. C'était pire que les claques, les coups de pieds, ou n'importe quel autre forme de torture. C'était devenu une sorte d'habitude du quotidien. Lorsqu'il ne se recevait pas de correction, Edward en était même au point d'hésiter à aller rappeler à ses grand parents qu'ils ne l'avaient pas fait souffrir ce jour-là. Claquant la porte de la salle de bain, il tituba jusqu'à la baignoire. S'accroupissant, il placa sa main sur l'un des carrés du carrelage et appuya son membre dessus. le carré bougea laissant apparaître un trou au sol. Edward en retira un flacon de potion désinfectante et des pansements. Il les avaient piqués avant que sa grand mère ne cadenasse la pharmacie. Si seulement ses parents étaient e état de le voir dans cette situation, les mésaventures d'Edward prendraient enfin fin. Avec nostalgie et amertume, il se remémorait tous les bons souvenirs qu'ils avaient eu avec ses parents, avant qu'on ne le place chez ses grand parents , un an auparavant. Tout ça, c'était la faute d'une seule et même personne, son père. Les premières années de la vie d'Edward, il agissait comme un vrai père, attentionné et généreux pour son fils. Et puis au fil du temps, sa vraie nature est remontée à la surface. Il était distant, froid, parfois même violent avec sa femme et son fils. Au fil des jours, la vie familiale se dégrada de plus en plus. La mère d'Edward commença une dépression, qui empira, et après, vous connaissez la suite.
# Sa Scolarité à Poudlard :
~ Flash Back ~
Cette mélodie, qui s'élevait puis se consumait dans les airs, faisait vibrer les sens d'Edward de plaisir. Ce son émanait d'un piano, avec lequel on jouait avec des mains très habiles apparemment. Un sourire béat sur les lèvres, Edward s'avança dans la salle sur demande. Il n'entendit pas la porte qui se refermait derrière lui, trop bien absorbé par la jeune fille au piano. Il ne la voyait que de dos, mais déjà, quelque chose l'attirait, une force qui lui donnait envie d'approcher, d'écouter encore et encore la jeune fille, qui jouait cette mélodie si triste et belle. Sans bruit, il s'approcha par derrière. Lui-même faisait aussi du piano, mais lorsqu'il jouait, ce n'était pas la même sensation que lorsque ce n'était pas lui qui produisait les sons. Il observa en silence les mains de la jeune fille qui dansaient sur les touches du piano, aussi gracieux soit-il. Lui qui se baladait tranquillement dans les couloirs, et qui d'habitude n'était jamais perturbé dans ses propres pensées se faisaient attirer comme un poisson par un appât jusque ici, dans la salle sur demande. A peine fut-il près du piano, que déjà la jeune fille s'arrêta et se tourna vers lui. Edward observa un moment le piano, puis elle. Elle n'était pas comme toutes les autres filles de Poudlard. Elle était plus intriguante, plus belle que toutes les autres. Quand il observa ses yeux, il eut l'impression qu'une décharge électrique se répandait partout dans son corps. il continua de le regarder pendant quelques minutes, se rendant petit à petit compte de sa beauté troublante, puis finit par abaisser son regard, conscient que se faire reluquer ainsi devait quelque peu la gênée. Il s'approcha encore un peu plus et d'un geste de la tête, il désigna de la tête, le piano.
- Continue, ne fais pas attention à moi...
Et elle continua, la douce musique revenant enfin aux oreilles du jeune homme...
~ Fin du Flash Back ~
En plein supplice, Edward ouvrit les yeux. Son rêve s'arrêtait toujours au même moment, l'un des moments lez plus significatifs qu'il ait eu de sa vie. Il était étonnant la manière dont il arrivait à reconstituer les faits, la musique si parfaite et qui n'avait pas changer au fil des années qu'il rêvait d'elle, et puis, elle surtout, il sentait encore la fluidité et la douceur de ses cheveux dans ses doigts. Mais il n'y aurait plus de musique ni de moment pour toucher aux cheveux si divins de cette fille. Dans un profond soupir, il se remémora avec douleur la suite de ces instants dans la Salle sur demande. Il avait apprit à la connaître, à chaque fois qu'ils retrouvaient ici, pour une nouvelle fois l'écoutait jouer du piano en silence, cette douce mélodie le plongeant dans les pensées les plus heureuses qu'ils auraient pu avoir au cours de ces derniers mois. Très vite il sympathisa avec la jeune femme, mais il avait envie de plus, beaucoup plus qu'une simple relation amicale. Beaucoup penser qu'ils sortaient, bien que ce n'était pas encore techniquement le cas. Et puis un jour, Edward osa l'embrasser, âme puéril et insouciante qu'il était. Ils restèrent un an ensemble. Un an dans lequel ils durent se cacher de la vue des autres. Et même lorsqu'ils étaient vraiment seuls, Edward n'agissait pas comme n'importe quel autre "petit-ami". Il était hésitant, dans ses gestes et dans ses propos. Il avait peur qu'elle ne s'attache trop à lui, et qu'il finisse par lui faire mal, de quelques manières qu'il soit. Alors il décida de rompre, ne supportant plus de devoir lutter avec cette peur beaucoup trop importante à ses yeux. Il fit en sorte de l'éviter le plus possible, s'engageant toujours dans les couloirs avec la certitude qu'il ne la croiserait pas. Et si par hasard, il venait à la croiser, il passait son chemin, et faisait comme s'il ne l'avait pas vu. Elle ne semblait pas l'avoir oublié, au grand dam d'Edward. Il commença donc à sortir avec plusieurs filles, qu'il lâchait au bout d'une nuit, et faisait en sorte qu'elles parlent et que ces histoires arrivent aux oreilles de la jeune femme. De cette manière, elle se rendrait enfin compte que c'était beaucoup mieux qu'ils ne soient plus ensemble.
Les compartiments du Poudlard Express avait toujours eu une odeur qui déplaisait à Edward. Il ne savait pas si c'était le cuir des sièges où bien tout simplement le produit magique avec lequel on lavait les vitres, dans tous els cas, Edward en avait des nausées, chaque année, lorsqu'il devait remonter dans le Poudlard Express pour retourner au collège. Il allait entamer dans sa 7 ème et dernière année à Poudlard. Edward n'était pas de ces gens qui étaient déjà pressés de finir leur 7 ème année, il estimait qu'il lui restait encore bien trop de choses à apprendre. En 7 ans passé à Serdaigle, et à part pour cette histoire de fille et de salle sur demande, il ne s'était pas passer grand chose, chaque année c'était la même routine. Il allait encours, manger, et étudier seul, jusqu'au soir ou il irait se coucher. Il avait tout de même eut des amis, avec qui il parlait encore parfois aujourd'hui, des ennemis aussi, qui changeaient au fur et à mesure des années. Certains ne prêtait plus attention à Edward, d'autres encore persister, mais rien de bien important de toute façon. Il se considérait et se considère encore aujourd'hui comme un très bon élève, ayant une soif de connaissance qui étonna beaucoup se professeurs lors de sa première année. Et après toutes ses années, les professeurs le considéraient comme l'un des piliers de la classe, celui qui ramenait la plupart des bonnes notes. En clair, un peu la même chose chaque année. Collant son front contre la vitre, Edward jeta un coup d'oeil à sa montre. 11 h 35. A cette m^me heure-ci, un mois plus tôt, avait eu lieu l'enterrement de son père, cancer du foie que lui avait dit les médecins, mais Edward ne s'était pas montré à l'enterrement, et n'avait parler à personne de sa mort. Suite à ça, il avait utiliser l'agent légué par son père pour s'acheter un maison et fuir de ses chez grand-parents.
}} What else ? >
# Actrice, Acteur : Robert Pattinson
# Code du Règlement : {William}
# Pseudo IRL : On m'appelle souvent Delys... Ne me demandez pas pourquoi, je ne sais pas.
# Comment voyez vous le forum ? La fiche de Présentation ? Très beau design, j'aime la qualité d'écriture des membres =), et puis pour la fiche, longue, mais ça c'est inévitable. ^^
# Un Commentaire ? Est-il utile d'ajouter que mon perso est un poste vacant ? ^^
Dernière édition par Edward L. Stewart le Lun 12 Mai - 20:15, édité 1 fois |
| | | | Sujet: Re: £dward L. St£wart [Fini]
Lun 12 Mai - 20:08
| | Invité
Voilà ! Fiche terminée !  |
| | | | | | | | Sujet: Re: £dward L. St£wart [Fini]
Lun 12 Mai - 20:18
| | Invité
Oui, d'accord, mais normalement je devrais aller à Serdaigle, j'ai prit un poste vacant, dois-je quand même aller à Serpentard ?  |
| | | | | | | | Sujet: Re: £dward L. St£wart [Fini]
Lun 12 Mai - 20:45
| | Invité
xD C'est pas grave Merci |
| | | | | | | | |
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) Rien que pour ça !