Donovan
Nemo me impune lacessit

La triste réputation des Donovan s'est forgée à travers le temps et les épreuves. De toute époque, de tout temps, les fils Donovan ont toujours eu ce que l'on appelle la méchanceté marquée sur le visage, ce petit air qui les rend effrayant et odieusement.. odieux. Provocateurs, exubérants, les Donovan sont nombreux - une certaine corrélation avec une libido parfois hasardeuse chez certains d'entre eux - et ils sont très clairement soudés les uns aux autres.

Clyde Donovan est l'héritier de la seconde branche des Donovan.

Son plus ancien aïeux est le très célèbre Earl Kenneth Donovan of Westmorland qui réside encore à l'heure actuelle à Azkaban malgré ses quatre-vingt dix sept ans. C'est plus exactement son grand-père. Il fut condamné à la perpétuité il y a de cela cinquante ans pour de multiples meurtres commis avec barbarie sur des moldus. Il n'a plus revu le jour depuis.

Marié à la très fatale Ethiola McGregor, surnommée l'empoisonneuse, il a eut quatre enfants avec cette dernière : Fergus Donovan, Erroll Donovan, Algar Donovan et le dernier, Samuel Donovan. Elle décéda en couche pour le dernier, qui vécut malgré les deux fausses-couches qu'elle fit dans les trois ans qui précédèrent sa naissance. C'est la raison pour laquelle l'on l'appelle Samuel le Miraculé.

Fergus Donovan, dit l'Infidèle, décéda par là où il pêcha. Il épousa une Black, Juliet IV Black sur un coup de folie sans doute. Cependant, ne cherchant à fuir la vie de débauche qu'il avait toujours mené, elle lui trancha la gorge dans son sommeil après avoir subi deux ans de trahison. Elle décéda peu après d'une petite vérole, en vingt heures seulement. Le couple n'eut aucun enfant.

Erroll Donovan récupéra ainsi le seul titre que Kenneth lui offrit, celui de Earl of Westmorland, qu'il gagna auprès de sa femme. Son père ayant été déchu du seul titre qu'il possédait, il se rendit dit-on jusqu'à la Reine pour pouvoir le récupérer, s'engageant ainsi à verser annuellement une rente assez forte pour maintenir ses terres. La Reine le lui accorda. Erroll Donovan fut l'époux de Rachel Hatcher, la jeune cousine de Caleigh Hatcher. Il l'aima fougueusement et ils eurent ensemble deux fils et deux filles sur neuf grossesses, Clyde Donovan, Edwin Donovan et les jumelles Mélusine et Messala Donovan.

On notera tout de même qu'Erroll est décédé il y a cinq ans. Tombé dans la folie, on le retrouva pendu à la poutre principale de la maison Donovan. C'est donc actuellement Clyde qui s'occupe de loger sa mère.



Clyde Donovan prit pour épouse la cousine du jeune Hemmington, Eithleen Hemmington, bien plus jeune que lui. Maltraitée et soumise, elle lui donna un premier enfant, une jolie petite fille, Mélusine Lou Donovan, avant de perdre consécutivement cinq fois ses enfants, dont deux eurent un terme. Une explication un peu musclée avec Mattìeu Hemmington eut lieu, et Clyde laissa les choses se faire; elle lui donna des jumeaux, Angus et Dunstan qui décédèrent d'une violente fièvre. Il fallut attendre deux années sans tourmenter la pauvre enfant pour qu'elle lui donne enfin un héritier, Godwyn Donovan.
A côté de ses relations, Clyde eut une vie tumultueuse qui lui donna trois enfants illégitimes auprès de trois femmes différentes. Les trois enfants vivent sous son toit, ayant offert une forte somme à chacune des femmes pour qu'elles disparaissent... à défaut qu'elles acceptent de disparaître au sens propre. Ses trois enfants illégitimes sont Orderic Donovan (fils d'Isabelle Dearborn), Sibylle Donovan (fille de Cyrielle Crowland) et enfin Mélisende Donovan (fille d'Alix Courtenay).

Mélusine Lou Donovan a seize ans et est à Serpentard, à Poudlard.
Godwyn Donovan a sept ans et vit auprès de sa mère, dans la maison familiale. Futur serpentard à en juger par son caractère plein d'ambition, il est l'héritier de la famille.

Orderic Donovan a dix-huit ans et est à Serdaigle, à Poudlard. C'est un garçon travailleur quoi qu'un peu revêche. Adorable et serviable, il s'occupe des papiers de son père bien souvent, si bien que Clyde l'apprécie et que l'on dit qu'il hésiterait à le rendre héritier à la place de Godwyn, chose impensable cependant en vue de son illégitimité de naissance.
Sibylle Donovan a seize ans et est à Serpentard, à Poudlard. Jeune fille ambitieuse, elle est bien souvent en compétition avec sa jeune demi-sœur, Mélusine pour ce qui est de conquérir le cœur et l'estime de leur père.
Mélisende Donovan a quinze ans et est à Poufsouffle, à Poudlard. Elle se prédestine déjà à une vie ecclésiastique contre l'avis de son père, désirant ardemment à rejoindre un couvent anglais.

Edwin, Mélusine et Melassa (et descendances) sont jouables.

Pensine
Ami d’la gnôle, la gnôle nous appelle !

L'amortensia avait toujours eu ce petit côté chaleureux que Clyde recherchait les soirs de lassitude. Poser son royal fessier sur une chaise, se démonter la tête à coup de dizaines de pintes et finir au lit avec une nana à faire crier jusque dans la matinée, c'était « une bonne soirée » en perspective. D'ailleurs, si ça n'avait tenu qu'à lui, il aurait fait reconnaître toutes ces demoiselles d'utilité publique tant elles lui servaient. Loin de là qu'il n'avait ni femme ni amantes, mais il y avait toujours eut le côté dévergondé des catins que n'avait pas sa femme, jeune fille puritaine et trop bien élevée, beaucoup trop bien élevée à vrai dire. Il n'avait pas à s'en plaindre ; au moins en compagnie elle savait se tenir, mais dans l'intimité se révélait être d'un suprême ennuie. La mère de ses enfants légitimes avait donc pour ainsi dire la beauté insipide de celle qui n'ont rien dans le ventre. Ni caractère, ni débrouillardise.
Elle pleurnichait sitôt qu'il était rentré, sous prétexte qu'il sentait la bière, le reflux de femmes, alors qu'il la bousculerait contre un mur, et elle rougirait dans sa superbe, se cachant de ses petites mains, minaudant comme une chatte, le repoussant finalement. Eithleen était d'un ennui touchant. Il l'aimait bien, il ne fallait pas croire, mais il ne l'aimait pas assez pour qu'elle le retienne une seule seconde. Elle était de ces femmes qui n'aurait de toute façon rien à lui donner de satisfaisant que des gosses.
« Tu vas encore rentrer chez toi les pieds derrière ! » ricana la serveuse qui venait poser ses fesses sur les genoux du professeur. Un sourire fin de requin glissa sur la bouche du Donovan comme il savait pertinemment qu'elle ne portait rien dessous. « Qui a dit que je rentrais chez moi ce soir ? »
La jeune fille, dans la vingtaine au plus, gloussa et se releva aussitôt que les doigts de Clyde frôlaient ses hanches, disparaissant avant que le patron ne la voit à tergiverser avec les clients. Le sang-pur eut un petit grognement amusé alors qu'un gros « ploc » tomba à côté de lui. Il releva le nez, observa l'espèce de costaud sur-protéiné qui venait de s'échouer sur la chaise d'à côté. Du genre de deux mètres dix de mocheté pour cent cinquante kilos de connerie. Un beau mélange, pour ainsi dire. Une bière glissa sur le comptoir pour le Donovan mais le gros lard l'attrapa avant lui, d'un air de dire que c'était à lui. Donovan fronça les sourcils, d'un petit air terrible comme il avait parfois : « Hey. Hey Gonflette là, c'est mon verre... »
La claque fut foudroyante. Clyde glissa sur le sol, le tabouret éclaté en deux sous lui. Celle-là, il ne l'avait pas vu venir... mais pour le coup, ça l'avait dessoûlé aussi sec. Il écarquilla les yeux, jaugeant de trois mètres la distance qui le séparait actuellement de sa chaise. Le gros le regardait, avec des yeux ronds et globuleux et un petit sourire qui frisait la moquerie. Le patron se racla la gorge, s’apprêtant à dire « pas d'ça dans ma maison », mais le gros allait comprendre qu'on ne s'attaquait vraisemblablement pas à un professeur en sortilèges de Poudlard, et plus important encore, à un Donovan. Pour une fois qu'il avait été gentil dans ses paroles qui plus est... !
Un petit grognement, il se redressa. Son dos craqua. Le bar entier était silencieux, en émois, prêt à éclater en bataille générale au premier signal. On venait ici pour s’encanailler, et les bagarres étaient courantes, comme dans tous les bars pas vraiment légaux. « Bon, écoutes p'tite putain » siffla le sang-pur, s'étirant « t'es tombé sur l'mauvais gars. J'suis pas mauvais bougre, mais j'ai mes limites en matière de patience... et là, t'as fais l'pas de trop. Viens par là demi-molle, on va parler tous les deux. » Le gros lard eut un petit ricanement dédaigneux, sûr de gagner sans doute. Mais là encore, il avait tord. Souvent sous-estimé, Clyde Donovan n'était pourtant pas manchot (encore que beaucoup auraient confirmé qu'il ne l'était pas, physiquement parlant, mais ce n'est pas actuellement le propos), plutôt même généreux. Même ivre, même nu, au milieu de la rue, il aurait quand même cherché à se battre plutôt que de fuir. La peur n'était pas une chose qu'il connaissait, pas quand on se fait ouvrir à l'âge de dix ans le bide par une chimère sauvage et affamée.
« Allez, ramène ton cul gras, plus vite que ça... » cracha t-il, dans une nouvelle rage, s'impatientant devant la lenteur trop flasque du géant. Il recula un pieds, et finalement tira sa baguette de sa poche arrière. Le géant eut un moment de recul, alors que finalement un Leviosa le touché en plein dans le bide, le faisant voler plus haut qu'il n'aurait jamais pu sauté. « ON OUVRE LA FENETRE ! » hurla Clyde. Une serveuse affolée ouvrit la baie vitrée tintée de noire – pour qu'on ne voit que de l'intérieur – et le bar tout entier observa en silence le gros lourdeau voletait et se faire finalement brutalement expulsée par la fenêtre, son corps mou roulant sur le pavé. Au même moment une calèche furieuse passait et les roues tapèrent dans le gras du gros. Les fenêtres refermées, le bar resta silencieux... puis finalement Clyde éclata de rire, tordu. Le barman eut un petit sourire moqueur, en coin, essuyant d'un geste mécanique ses verres, d'un air de dire « ce qu'il faut pas voir »... Le rire de Clyde cependant s'arrêta comme le bar recommençait à vivre, et le barman vit dans les yeux du Donovan une seconde lueur... bien moins drôle cette fois-ci.




Le cours de sortilèges se déroulait plutôt bien. C'était rare. Les élèves étaient peu patients, gonflés de l’orgueil de leur connard de parents. Les pieds sur le bureau, croisés, Clyde fumait une cigarette, son col ouvert de deux boutons. Il n'avait jamais vraiment épousé le carcan rigide de l'époque victorienne et ne se vetissait du mieux qu'il pouvait qu'en soirée chic. Là, la soirée n'était pas vraiment glamour, car un devoir de sortilèges ça signifiait pour lui deux heures à glander sec sur son bureau. En temps normal, il préférait le pratique, le manuel. Clyde aimait plutôt bien son boulot. C'était une question de vacances principalement, mais aussi du fait qu'il avait le contrôle total, le pouvoir entier sur ces chères têtes blondes, et qu'au moins il était certain d'être payé à la fin du mois. Il était pratique comme gars, il ne s'était jamais vraiment cassé la tête. Doué en sortilèges à l'époque de Poudlard, il avait vite laisser tomber la potion, la botanique, ou tout autre chose qui n'était pas de « la magie » à ses yeux. Son carnet de note était aussi étrange que fascinant, accumulant des T dans toutes les matières (surtout à cause du fait qu'il ne s'y présentait tout simplement pas), et des O+ en sortilèges, métamorphoses et duel. Un carnet qui l'avait poussé très rapidement à devenir Chercheur en Sortilèges auprès du Ministère, et finalement professeur à Poudlard, recruté par le directeur même. Une chose qu'il avait regretté de plus en plus au fil des années, mais maintenant, c'était trop tard pour faire marche arrière.
« SPENCER ! » La plume magique se planta brutalement dans le bureau du jeune garçon qui sursaute, pris en flagrant délits. Les yeux écarquillés, il fixa son professeur et finalement baissa les yeux sans rien rétorquer, les joues un peu rougies de honte. La plume se retira, nota un -3 en rouge sur la copie et voleta jusqu'au bureau de Donovan qui n'avait, toutefois, pas bouger d'un poil. Il poussa un fort bâillement, ses yeux perdus au plafond un instant avant de revenir sur terre. Une main levée dans la foule d'incapables en train de remplir le papier venait faire éruption dans son monde. En général, on ne posait pas de questions à Clyde Donovan, car tout le monde savait que c'était aussi dangereux que de réveiller un dragon endormi. C'était provoquer une rupture, créer un conflit. Déclencher une guerre mondiale en somme toute.
« Un problème Sinfull ? » La gamine aux cheveux roux gonfla ridiculement les joues, d'un petit air de dragon furieux, avant de commencer sur un ton un peu élevé, agacé plus exactement : « Est-ce que c'est normal d'avoir la moitié du devoir sur les chapitres du livre qu'on ne devait pas avoir à lire Professeur Donovan ? » Le sourire de l'anglais s'étira en dent de scie, effrayant. « Eh bien si vous venez de relever que c'était les chapitres qu'il ne fallait pas lire, c'est que vous les avez lu Sinfull, donc pas besoin de minauder. Ce n'est pas la première fois que je fais ça... Cela montre juste à quel point vous êtes une feignante. Donc. Vous remplissez, point barre. » « Mais ce n'est pas juste ! » « Mais la vie n'est pas juste ma jolie, et il va falloir faire avec. Alors écris, et tais-toi. » La phrase lâchée comme un couperet sur une tête, Sinfull accusa le coup. Si son père voyait qu'elle n'avait pas de bons résultats... il allait la tuer, sans aucune doute. Bien sûr sa mère viendrait toquer à la porte du directeur, se plaindre, mais qu'est-ce que ça y changerait ? Ses cheveux virèrent aussitôt dans un noir profond, si bien que Clyde eut à rajouter, un petit peu moqueur tout de même « Et ne me faites pas le coup de la dépressive qui va pleurer si elle a un T, parce que... vous allez vraiment avoir un T Sinfull, juste pour le plaisir de vous voir chialer sur votre copie. »
Sinfull étouffa un petit cri, comme elle aurait aimer se lever et hurler, mais elle resta stoïque, les joues rougies. Le préfet de gryffondor eut un petit ricanement, défendant sa compatriote. La guerre était déclarée. « Laisse Eira, monsieur Donovan n'a pas envie de remplir son rôle de pédagogue sage et intéressant, il préfère fumer. » Clyde laissa ses deux pieds retombaient sur le sol. Le préfet fronça un peu les sourcils, comme on savait tous de quoi Clyde était capable sans jamais en percevoir les limites. Il avait déjà gifler une fois une jeune fille en la traitant d'idiote ; on ne doutait pas qu'il pouvait faire bien plus. Les plaintes n'y faisaient rien, le directeur s'accrochait toujours à Clyde, et il fallait bien dire que malgré la pourriture qu'il était, les élèves n'auraient jamais pu apprendre autant qu'avec lui, tout du moins ceux qui arrivaient à suivre.
« Voyons qui parle... » Quelques pas dans les allées, Donovan s'arrêta juste devant la figure de premier de celui qui venait d'ouvrir la bouche. Un garçon, grand, large, pas franchement gringalet, mais de là à dire qu'il était impressionnant, Clyde ne serait pas aller jusque là. « Je sais bien qu'à votre âge les hormones démangent Monsieur... » Il jeta un œil à la copie, avec un sourire en coin « ...Vanna Syl, mais je crois hélas que vous avez une grande gueule. Que vous n'avez, même, que ça. » Le russe ne cilla pas, ses yeux fixés sur Donovan qui eut un fin sourire et attrapa la copie de l'élève. Il jeta un regard aux questions. « Tout ça est très approximatif... très... moyen. Comme d'habitude, mais je m'attendais à bien mieux de quelqu'un qui se permet des réflexions. » Vanna Syl avait tout d'un coup blanchi, mais finalement la vague de soulèvement se propagea aux Poufsouffles quand le jeune Cheshire osait l'ouvrir : « En même temps, vu vot' cours, on peut pas s'attendre à mieux. » Donovan haussa un sourcil. « Vous avez quelque chose à redire de mon enseignement peut-être ? »
Cheshire haussa les épaules, d'un air négligé, presque insolent. Clyde eut un sourire, fin. « Bien. Alors ça sera la porte pour vous. Au revoir. » Cheshire se leva sans un mot, habitué aux lubies de son professeur. Il déposa sa copie que le bureau et claqua la porte qui malgré toute la force qu'il mit à la faire claquer violemment se fermât dans la douceur. Un sortilège utile que Clyde Donovan avait mis en place, au vu du nombre d'énervés qui quitter sa salle de cours. « Autre chose ? Quelqu'un ? » Le silence fut court avant qu'un autre élève de Poufsouffle, sans doute par loyauté – car c'était bien là leur seule qualité à ceux-là – se leva : « Vous êtes vraiment... » Il chercha ses mots, les yeux gris pâles du Donovan fixaient sur lui, comme cherchant secrètement à le poignarder. « ...dégueulasse. Tout ça, c'est dégueulasse. Même vous, vous êtes un gros dégueulasse ! » « Bien, alors pour vous ça sera aussi la porte alors... » Donovan haussait les épaules, un roi dans la salle de classe. Le cul posait sur le bureau de Vanna Syl, il regarda le poufsouffle se dirigeait à son tour vers la sortie.
Spencer voulut ouvrir la bouche, mais aussitôt que le professeur avait capté le mouvement, il grinça des dents : « On ne moufte pas Spencer, on prend aussi la porte. Allez donc vous achetez une personnalité... » Spencer, serpentard, sortit à son tour.
La salle semblait tout d'un coup beaucoup plus vide et beaucoup plus calme. Une corrélation que Clyde ne s'expliquerait jamais. Le calme revenu, il s'échoua de nouveau à son bureau. « Comptez qu'après cette légère incartade, Gryffondor perds 20 points et Poufsouffle 50 points. Tout ça étant au pro rata. » Un sourire fin... Sinfull fronça les sourcils, reprenant encore : « Et Serpentard ? » Clyde pencha la tête, osant même une moue angélique : « Allons Sinfull, qui a parlé de Serpentard ? Il n'y avait que Spencer, et nous savons tous que Spencer est une erreur de la nature, allons ! »
Un gros silence tomba sur la salle. Clyde inspira profondément, un sourire satisfait sur les lèvres. Encore une belle journée...