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 Sujet: Cliff John Lincoln • U.c.
Sam 2 Mai - 19:06
| | Invité
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Heathcliff, John, LINCOLN.
17 ans.
7 ème année à POUDLARD.
_________________________________ - Spoiler:
nom de l'acteur/actrice : Sean Farris, si possible =) pseudo, ou prénom : mot-dit-net (a) âge : 14 ce que vous pensez du forum : trop nuuul ! méga bou !! présence possible sur Ad Nox : 4/7 mais je viens tous les jours. comment avez-vous connu Ad Nox ? : euh m'en souviens plus XD s'agit-il d'un multi-compte ? : (si oui, veuillez préciser à quel admin vous en avez fait la demande au préalable) Oui, je suis Caleb =) Euh j'ai demandé à personne, mais j'en ai déjà parlé dans la CB, donc je pense que Tanys et Tyler l'ont compris =S avez vous pris en compte le réglement ? : for sure, darling 
.« Il était une fois. » C’est ainsi que tout commence, dans les contes de fées. Bien. Donc, pour commencer l’histoire du petite Heathcliff Lincoln, notons : il était une fois. Mais peut-on vraiment dire que c’est un conte de fées, cette histoire ? On ne connaît pas la fin. La fin, c’est lui qu’il l’écrira, ou quelqu’un d’autre qui l’écrira pour lui lorsqu’il sera mort. Peut-on dire que c’est vraiment un conte des fées ? Oui, il y a tous ce dont on a besoin, une histoire semblable à celle de cendrillon en moins romantique et plus violente. Mais sauf qu’il n’y a pas de bal, il n’y a pas de princesse à charmer. Mais il y a les coups bas, les insultes, les tâches ingrates, la violence, la douleur… Il manque les sentiments. Les sentiments, qui ont été présent mais qui se sont écroulés lors de l’élément déclencheur. Et les péripéties durent, toujours et encore, sans qu’on puisse voir l’élément de résolution. Non, enlevons « Il était une fois », et mettez à la place « interdit au moins de dix ans ». Cette histoire n’est pas faite pour rire, cette histoire, elle est vraie, il l’a vécue, et il le vit encore. Il le vivra encore longtemps…
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| | | | Sujet: Re: Cliff John Lincoln • U.c.
Dim 3 Mai - 15:28
| | Invité
Si vous y tenez, mettons quand même cette phrase introductrice. Il était une fois, une jeune fille d’une beauté incomparable et un jeune homme éperdument amoureux de cette jeune fille, malgré leur différences de classe sociales. Il était allé à serpentard, c’était une ancienne Poufsouffle. Quelle honte ! Mais ils s’aimaient, et à peine fois leurs études étaient finies qu’un petit bâtard était en route. Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants. C’est ainsi que ça se finit. Mais là, non. Preuve de plus que ce n’est pas un conte de fées. La jeune femme faillit mourir à son accouchement et en sortie très affaiblie. Elle ne voulait plus avoir d’enfants, par la suite, et le mari la comprit. Heathcliff était né, il grandit dans la douceur de sa mère et la fierté de père. Ils étaient heureux, tous les trois, et ne manquaient de rien, même pas d’argent. Cliff était le surnom du gamin, et ils l’appelaient tous comme ça, ou presque. C’était un peu bout de chou tout souriant, la peau plutôt matte, les cheveux noirs de son père et les yeux de sa mère. Il était toujours prêt pour tester des choses nouvelles, courait partout et était un peu insupportable par ses débordements d’énergies, c’est vrai. Il avait 6 ans quand sa mère tomba malade, en plus de son affaiblissement du à son accouchement. Deux mois plus tard, elle était morte. Plus personne ne revit Cliff, le joyeux gamin qui courait partout. Ils voyaient Cliff, le pauvre gosse agressif, antipathique et détruit. Et ce n’était qu’un début.
Au cimetière, Il ne comprit pas qu’il n’enterrait pas que sa mère. Il enterrait aussi son bonheur, la moitié de sa vie. Et son père. Son père se noya dans l’alcool, ne sortit plus jamais, et se remaria avec celle qui lui avait été promise durant toute son enfance. Nous voilà donc à l’arrivée des affreuses, la belle mère et sa fille, grosses dindes exécrables. Cliff vit devant lui son père se lever de table, poser sa serviette, lui jeter un regard éteint, un dernier, avant de monter s’enfermer dans son bureau, à tous jamais. Cliff avait courut après lui, s’était jeté contre ses jambes, le suppliant de ne pas l’abandonner lui non plus, il avait déjà perdu sa mère, il ne pouvait pas perdre son père, en plus. Une main grassouillette l’empêcha d’aller plus loin. Cliff avait beau hurler, se débattre, rien n’y faisait. Il était prisonnier. Il regarda sa belle-mère, qui avait les lèvres blanches a force d’êtres serrées, le regard dur et impitoyable. Ce jour-là, il reçut ses premiers coups. Nettoyant ses paies dans la glace, il se demandait quand est-ce que son père reviendrait, et priait pour que ça ne soit qu’un mauvais rêve. |
| | | | | | Cliff John Lincoln • U.c. | |
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