 Sujet: Re: Le Serpent Vénéneux {En cour}
Sam 4 Avr - 15:09
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 CHAPITRE I :
Un petit être tant attendue  C’était lors d’un jour de pluie, alors que de gros nuages assombrissez le ciel et que de terrifiant tonnerre transperçait l’atmosphère que Liam naquit. Des cris retentissait dans toute la maison et laisser présager un crime horrible. Pourtant il n’en était rien et il s’agissait là que d’une naissance. Jamie pleurait à chaude larme tant la douleur était intense. Cela faisait de nombreuses heures qu’elle l’endurait et elle commençait à être morte de fatigue. Emmet, son époux, s’inquiétait de son sort car le médecin présent lui avait annonçait sans tact qu’il n’était pas certain que la future mère s’en sorte. Jamie avait essayé par deux fois déjà d’avoir un enfant mais ces deux essais c’était soldé par un échec, débouchant a chaque fois sur une fausse couche. Ce jour là pourtant, elle devint enfin mère au plus grand bonheur de son époux qui avait toujours rêver d’un hériter.
Jamie – « On y est enfin arriver. Après tout se temps et toute cette énergie dépensé, je suis enfin arrivé a te donner un fils. »
Emmet – « C’est un garçon ? »
Jamie – « Oui . S’en est un. Le plus beau que la terre m’ai donner un jour de voir. Regarde »
Emmet – « En effet. Il est magnifique. Il doit tiré cella de sa mère. Et si on l’appeler Liam ?nIl sera fort et fier. »
Jamie – « Liam ? Liam Guerin… ça sonne bien non ? »
Emmet – « A merveille. Il s’appelera donc Liam. »
[indianred]Jamie – « Bonjour Liam. Bienvenue dans ce monde…. »[/color]CHAPITRE II :
Baby Blues  Les jours passèrent ensuite dans la demeure des Guerin, Jamie rentrant chez elle avec son nouveau né. Liam fût un bébé assez dûr à élever au début. En effet sa mère fût atteinte du baby blues une semaine après son accouchement, une maladie mentale qui touche certaines femmes après leurs grossesse. Cette maladie qui n’en est pas vraiment une est en fait une sorte de dépression. Les jeunes mères après 9 mois de grossesse du rôle de femme enceinte à celui de mère et se mette dans l’idée qu’elles seront de mauvaises mères, n’acceptant pas leurs nouvelle responsabilité. Ce fût le cas pour Jamie qui n’arrivait pas à allaiter correctement Liam à cause de son états de stress communicative pour le bébé. Le petit garçon affamé et refusant le biberon passait donc ses nuit à pleuré, ou plutôt à hurler, épuisant sa mère d’avantage. Cette situation dura quatre jours jusqu'à se que Emmet n’y mette un terme.
C’était le soir et Jamie s’occupé de Liam dans la salle de bain. Il se trouvait dans la pièce juste à côté et tellement habitué au cris du bébé il paniqua immédiatement lorsque l’espace d’une seconde il ne l’entendit. Il se précipita dans la pièce juste a temps pour ôter l’enfants des mains de sa femme qui avait pour projet de le noyer. Sous le choc, Emmet nettoya les poumons de son fils a coup de sortilège, qui se remit fort heureusement à pleuré. C’était un véritable miracle et il s’en était vraiment faillis de peu pour qu’elle ne le noie. Les yeux embrumer de larmes, Jamie regarder les deux êtres les plus de sa vie avec un air plein de désespoir .
Emmet – « Mais qu’est-ce qui t’as pris ? Tu es complètement folle ?? Tu aurais pût le tuer Jamie ! Tu aurais pût le tuer ! »
Jamie – « Je n’en peut plus Emmet. J’en peut plus. Il fallait a tout pric que j’le fasse taire. Il pleurait sans arrêt ! »
Emmet – « Ce ne pas une raison. Est-ce que tu as reessayer de lui donner le sein ? est-ce que.. »
Jamie – « Non c’était inutile il n’en aurait pas voulu . Je sais très bien c’que tu pense. Tu pense que c’est ma faute s’il crie. Tu pense que je ne suis pas une bonne mère. Tu pense que je ne suis pas capable de m’occuper de mes enfants. Je ne supporter plus de l’entendre. Il hurler hurler hurler. Hurler encore. Il fallait que j’fasse quelque chose. Il fallait que j’le fasse taire. Il fallait que…. »
Elle n’avait pût en dire plus tant elle fût transporté de sanglots. Mettant ses mains devant son visage pour cacher son visage, elle pleuré son désespoir réalisant ses actes, tombant à genoux. Elle aimait son fils plus que tout au monde mais la fatigue et le stress accumuler la rendait effectivement folle. La dépression s’était emparé d’elle et elle n’avait pas vraiment consciente de se qu’elle s’apprétait à faire. Ce rendant compte du mal être de sa femme. Emmet posa le bébé sur la table allongé qui s’était tût dans les bras de son père. Il se rapprocha de sa femme et la regarda avec amour, écartant ses main avec les siennes.
Emmet – « Jamie je t’aime. Mon amour ce qui c’est passer ce soir n’est pas entièrement de ta faute. Liam est vivant c’est ça l’important. . Arrête de pleuré. C’est normal que ne sache plus se que tu fais. Tu es épuiser et tu as besoin de repos. Tu as tellement désiré cet enfant et on a tellement mis de temps avant de l’avoir qu’il est naturel que tu angoisse en sa présence. Seulement son bébé épuisé n’aidera pas Liam à se calmé. Tu as besoin d’aide et de repos. »
A la suite de cette conversation Jamie accepta de se faire aider et elle intégra une maison de repos pendant quelque mois. Emmet s’occupa de son fils, rendant des visites quotidienne a sa femme en compagnie de Liam pour qu’elle apprenne petit à petit à s’en occuper.
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