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 Respire bien à fond ! Echappe toi du cercle [libre]

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William Alex Slayers
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William - Tu va pas me faire la gueule pour si peu ?
Shaylee - " si peu " ? A parce que pour toi c'est pas plus important de ça ? Une fille tu fou sa langue dans la bouche et j'devrais m'en foutre complètement ?
William - J'ai pas dit ça ! C'est juste que...
Shaylee - Quoi ? C'est juste que quoi ?


William soupira avant de reporter son regard sur Shaylee. Ce qu'il aimait chez elle c'est qu'elle était simple comme fille, sans attache et pas du genre à se prendre la tête. Sa petite amie ne se posait pas de grande question sur l'avenir de son couple ou de savoir exactement où sa relation avec Slayers aller mener. Elle vivait au jour le jour, si ça passe ça passe si ça casse tant pis. Tant pas de prise de tête. Voilà ce qu'ils s'étaient dit lorsqu'il y a de celà un mois ils avaient commencé a sortir ensemble. Depuis aucun tracas, William s'était montré fidèle et peu importe s'il n'était pas très démonstratif, il tenait à elle. Mais depuis la fête de Misha où Sushi Diamentino avait la bonne idée d'embrasser pour je ne sais quel raison, le couple n'était plus vraiment au beau fixe. William qui préférait légèrement les calins, les bisoux et les sourire au prise de tête ne savait pas vraiment vraiment quoi dire pour arranger les choses. Les relations s'était déjà assez nouveau pour lui alors il ne fallait pas trop lui en demander. Shaylee le regarder avec un regard noir totalement en pétard ce qui ne ressemblait pas du tout a la jeune fille, tandis que le jeune homme ne semblait pas plus perturbé que ça par sa réaction. Il se rapprocha d'elle et lui adressa un petit sourire avant dese pencha vers elle pour l'embrasser dans le cou. Il espérait ainsi lui prouvait qu'il tenait à elle et déconcoincer la situation, lui prouvant ainsi son affection mais au bout de quelque seconde elle se détourna la têe !

- Tu m'énerve !


Cette fois ci la remarque de la jeune fille ne passa pas. Il était du genre a toujours garder le sourire même dans les pires situation, et le sérieux c'était un peu quelque chose qu'il ne connaissait pas. Mais celà une vingtaine de minute qu'il supportait la mauvaise humeur de Shaylee et il commencer sérieusement en avoir ras le bol. Il soupira un grand coup avant de regarder vers Shaylee qui pester en silence en regardant vers la fenêtre.

William - Et bin tu sais quoi ? Toi aussi tu m'énerve ! Franchement ça fait dix minute que tu me fais un caca nerveux pour quedal. C'est ELLE qui m'a embrassé. Et j'te signale que je me suis pas laisser faire! Mais apparemment ça tu l'as zappé ! Et en plus tout ça pour une fille que j'connais pas et qui franchement n'est pas aussi belle et fantastique que toi. Alors va y pense comme les autres que j'suis qu'un coureur de jupon, pète ta durite ! Dégage ! Rien à foutre j'en ai ras le bol, j'me tire !!!

Sur ce il se leva, attrapa sa veste qui trainer et se dirigea vers la porte. Shaylee ce retourna a ce moment là, l'air surprise car elle n'avait pas l'habitude de le voir dans un états pareil, aussi énervé, et sans tout tourner à l'humour. Comme quoi malgré ses air d'ado attardé William pouvait se montré très sérieux.

- Tu me trouve belle et Fantas... ?


Elle venait à peine de réaliser ce qu'il avait dit. Il ne lui disait pas ce qu'il pensait en général, mais pas parce qu'il se foutait complètement d'elle mais seulement parce qu'il ne savait pas dire ce qu'il ressentait. Shaylee fut donc surprise en entendant ses compliments aussi sincèrement dit mais c'était trop tard . A peine eut-elle le temps de se retourner et d'ouvrir la bouche que la porte claqua . William était sortit. Elle soupira, s'en voulant de s'être emporter et de lui avoir fait une scène de ménage et d'avoir douter de lui, réfléchissant déjà sur l'avenir de leurs relations.

Quand à Slayers, il marchait droit devant lui essayant de calmer ses nerfs. Au détour de ses pas et s'en vraiment le faire exprès il se retrouva près du baraquement numéro 7 . S'arrêtant alors il observa la bâtiment soucieux, se rappelant de s'était celui de Rose et Sushi. Enervé il avait besoin de se défouler sur quelqu'un et aller savoir pourquoi il pensa que la blondine était la personne idéale. Il tapa violemment a la porte. La personne qui se trouvait en face que ce soit Miss Fané ou pas aller en prendre plein la tronche.....


Dernière édition par William Alex Slayers le Lun 1 Sep - 21:58, édité 1 fois
 
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Dean Carlson Rose Mandrake



    Dean - Your God is in the place !
    Rose - T’es lààààààààà !

    S’ il y avait bien une personne à qui Rose s’attendait le moins derrière cette porte, c’était bien Dean Carlson. Assise en tailleur sur son lit, les écouteurs dans ses oreilles, la jeune blonde tapotait nerveusement son crayon sur son cahier aux pages noircies lorsqu’on vint toquer à la porte. Cinq coups secs et rythmés, qui la poussèrent à sauter du lit et à ouvrir la porte. Sur le seuil, Dean lui apparut tout souriant, écartant les bras d’un air faussement ravageur. Ni une ni deux, la jeune Mandrake lui avait sauté au cou. L’agenda overbooké de la jeune star faisait qu’ils ne se voyaient que peu souvent, et lorsque c’était possible, ils se retrouvaient avec des photographes les mitraillant de leurs flashs, si bien que les tabloïds annonçaient bien souvent en gros titre : Scoop, le chanteur Dean Carlson, vu avec une jolie starlette. Faits complètement faussés, puisque Mandrake et Carlson n’étaient ni plus ni moins de très bons amis, même si Dean s’était longuement demandé s’il n’éprouvait pas plus que de l’amitié pour la jeune Rose. Celle-ci continuait par ailleurs à faire quelques apparitions au cinéma sans que cela n’empiète sur ses études, et encore une fois, dans le magazine hebdomadaire, on lui attribuait une aventure avec Heath Jackman, célèbre acteur sorcier, alors même qu’elle ne le connaissait que très peu. Passons, la jeune fille était véritablement enthousiaste de voir son meilleur ami devant elle, et le tira par le bras afin de le faire rentrer.

    Dean - Je passe pas longtemps, j’ai une répèt’ en studio dans deux heures.
    Rose - Oh, dit-elle déçue.
    Dean - Mais j’ai une chanson toute écrite pour toi, répondit le jeune Carlson dans un grand sourire.
    Rose - C’est vraiment gentil, Dean...
    Dean - Nan mais j’ai encore mieux !

    Le jeune Carlson s’avança, posant son regard curieux un peu partout. Il n’était jamais rentré dans le baraquement de Rose, Susi et June, il savait seulement que les jeunes filles avaient pour colocataire un Moldave aux traditions plutôt chaleureuses. Finalement Dean se retourna, et s’assit alors sur le lit de Rose, l’invitant à le rejoindre. La jeune blonde alla s’asseoir à ses côtés, passant distraitement une mèche de cheveu derrière son oreille. Dans un regard interrogatif, elle fixa Dean qui sortit de sa poche deux billets, visiblement donnant droit à un concert.

    Dean - Deux places pour Just One Thing aux premières loges. Tu as le pass VIP, tu pourras venir nous voir après le concert.
    Rose - Je… Je sais pas… répondit-elle gênée, non sans prendre les billets tendus par Dean.
    Dean - Allez ! J’ai bien vu que t’avais flashé sur Enzo ! … D’accord c’est Susi qui me l’a dit, moi j’vois jamais rien, rajouta Dean sous le regard insistant de Rose. Tu vas t’amuser, va avec elle si tu veux…
    Rose - Mais Alexis va…
    Dean - On s’en fout de ce blond peroxydé, me dis pas que c’est l’amour fou entre vous ! … Vous avez couché ensemble ?

    La voix de Dean s’était faite soudainement suspicieuse, il avait rajouté cette question brusquement, sans aucune cohérence apparente. Rose soupira alors, croisant les bras d’un air las, soutenant le regard de jais du jeune Carlson.

    Rose - Oui, y a trois heures et vingt-sept minutes exactement. J’arrête là ou tu veux les détails ?
    Dean - Oh oui raconte moi…
    Rose - Franchement Dean, quand je t’écoute j’ai l’impression de devoir attendre le mariage…
    Dean - Laisse tomber Alexis. Imagine en grosses lettres des journaux… Rose Simoni ! La classe, ta madre serait fière de toi !
    Rose - Ma mère est française, pas italienne…
    Dean - France, Italie, Norvège, Russie… C’est le même continent…

    La jeune fille se mit à rire sous les pitreries de son meilleur ami qui lui déployait déjà ses idées incongrues sous des mimiques comiques. Durant une bonne demi-heure, les deux amis proches avaient fini par refaire le monde, tous les deux. Des rires, des sourires, de la bonne humeur, qui se finirent alors en… action ou vérité. Ce même jeu auquel ils avaient joué pendant des heures durant tous ces étés passés chez les Carlson, et auquel Rose n’osait jamais prononcer le fameux mot « action ». A présent qu’elle avait changé, la jeune fille se mouillait un peu plus, et c’est ainsi que Dean se retrouva sans T-shirt, et que tous deux continuèrent à rire et à se remémorer les vieux souvenirs. Poudlard, les escapades dans le bureau du concierge, et ce jour où Vitaly l’avait frappé, et Misha. Dean hocha légèrement la tête en évoquant ce nom, Rose quand à elle, dans une infinie douceur qui ne l’avait pas quittée, posa sa main sur l’épaule dénudée de son meilleur ami. Soudain l’on vint frapper durement à la porte, surprenant Rose et Dean en pleine discussion. La jeune Mandrake se leva, mais Dean la stoppa et s’avança lui-même vers la porte, disant alors à la petite blonde qu’il s’agissait surement de la pizza qu’il venait de commander. Dans ce cas là, le livreur devait vraiment être de mauvais poil. Ce fut donc torse nu que Dean ouvrit la porte, hors contexte, cela pouvait prêter à confusion. Surpris de voir Slayers sur la porte, Dean arqua les sourcils et tenta une brève pointe d’ humour.

    Dean - Slayers, j'ai entendu ta douce main frapper tendrement la porte, et j'ai accouru !

    Habituellement, c’était là une réplique qui décontractait l’atmosphère, les dires de Dean n’avaient rien de méchants ni mêmes de provocateurs. Cependant le visage du jeune Carlson se durcit lorsqu’il vit les traits rageux de William, visiblement énervé. Bien décidé à faire barrière entre lui et Rose, se refusant à ce que le jeune Slayers ne l’approche, Dean barra la porte de son bras, posant une main sur l’encadrure. Rose de son côté, s’était levée, décontenancée devant la fureur de William. Habituellement elle l’aurait envoyé balader sans remords, mais la jeune fille eut un regard inquiet pour son ancien ami.

    Rose - Qu’est-ce qu’il y a ?
    Dean - Qu’est-ce que tu fais là ?

    Dean s’était retourné brièvement vers Rose, le regard doux et protecteur, néanmoins ses prunelles se firent plus dures lorsque le jeune chanteur se tourna de nouveau vers William. Il était rare de voir Dean aussi méfiant, néanmoins il avait ses raisons. S’il venait pour Susi ou June, qu’il passe. Mais qu’il s’en prenne à Rose, et la guerre était déclarée. Et la menace vacillait déjà dans son regard de jais.
 
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Découvrez Ewan McGregor!



Ses yeux sur ton visage
Sa main sur ta main
Ses lèvres caressent ta peau
C'est plus que je ne peux supporter...

Pourquoi mon coeur pleure-t-il ?
Ces sentiments me désarment



C'est à peine si William avait entendu les mots prononçait par Dean. Et même si le son de la voix du pseudo chanteur lui était parvint aux oreilles il n'était pas certain qu'il aurait capté la note d'humour présente dans la phrase de Dean. Les yeux river sur le torse du jeune Carlson, il ne pensait qu'a une chose : il était torse nu et se trouvait dans la baraquement de Rose. Sa dispute avec Shaylee aidant, William voyait rouge. Dean avait posait sa main en travers de la porte pour l'empêcher d'entré et ce ne l'aida pas à se calmer, au contraire.

Il y avait-il quelque chose à cacher à l'intérieur du baraquement ? Peut-être une Rose nu ou moyennement dévetu ? Intérieurement il était mort de rire. Un rire jaune bien entendu. Et dire qu'a la fête de Mischa il avait culpabiliser parce qu'il s'était dit que finalement il l'avait largué pour rien car elle n'était pas amoureuse de ce crétin de Carlson. Pff. Connerie oui. Il l'avait tronché et elle avait bien pris son pied avec lui, il en était sur et certain. Peut-être même que s'il était arrivé cinq minute plus tôt.... .... A cet idée le regard de William s'endurcit d'avantage.

Il bougea essayant de voir a travers Dean, pour voir ce qu'il essayait tant de cacher, bien qu'il avait une grande idée sur la question, et aperçut Rose derrière. Tiens comme c'est étrange il l'aurait parié . Par chance elle était habillé.

Rose - Qu’est-ce qu’il y a ?
Dean - Qu’est-ce que tu fais là ?


Dean s'était retourné vers Rose sûrement parce qu'il s'inquiétait et William se sentit bouillir d'avantage, il avait besoin de crier sur quelqu'un . Profitant du moment d'innatention du jeune Carlson il força le barrage de cet abrutis avaitmis entre lui et la jeune fille, et qui était trop mince pour l'empêcher de lui balancer ses quatre vérité en face. Pénétrant dans le lieu d'habitat de Rose. Il afficha un air crispé et hypocrite avant de répondre.

William - Pourquoi j'vous dérange ?
Dit-il d'un air innocent.

Il fit alors le tour de la pièce, tel un vautour qui attendait le moment propice pour bondir sur sa proie, le moment où comme un serpent il pourrait déverser sa rage et son venin. Son regard respirait la colère mais aussi le sadisme et la méchanceté. On pouvait clairement voir dans son attitude qu'il n'était là que pour une seule raison : foutre la merde. Se promenant à pas de loup, il faisait trainer ses doigt un peu partout sur tout les trucs environnement. Il finit par tomber sur une photo qui trainer sur un meuble, une photo de Rose datant de Poudlard. Il l'a prit dans ses mains et la regarda avec un sourira sadique et demi amusé avant de relever son regard vers les deux amoureux transit qui lui donner littéralement la gerbe.

William - Jolie photo. C'est marrant.... dit-il avec un petit rire dans la voix qui présentait que en fait la suite de sa phrase était tout sauf drôle. A l'époque tu avait nettement moins l'air d'une trainé. Peut-être parce que tu ne coucher pas encore avec lui dit-il avec un large sourire.

Il avait dit celà avec un ton jubilatoire. C'était méchant cruel, et complètement inadapté a la situation puisqu'en fin de compte Rose ne lui avait rien fait, mais William était bouffer par la jalousie, incapable de se contrôler. Il savait pertinemment que ces propos allait la blesser et il s'en réjouissait d'avance. De l'amour à la haine comme on dit. Il pouvait se montré vraiment très cruel lorsqu'il était blesser au cœur et c'était le cas. Il lui en voulait. Il lui en voulait terriblement d'être aussi merveilleuse, géniale, souriante, gentille et impossible a oublier. Pourquoi alors qu'il essayait de refaire sa vie avec une autre fille fallait-il qu'il la revoit ? Pourquoi fallait-il en plus que la meilleure amie de Rose, Sushi l'embrasse et foute la merde dans son couple ? Avait-il mériter a ce point là qu'on s'acharne sur lui ? Non ! Il était sur que non. Mais tout les ami de Mandrake semblait le considéré comme un véritable salaud, alors si celà pouvait leurs faire plaisir, soit, il se comporterait réellement comme tel.
 
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    William avait profité d’un moment d’inattention pour passer, poussant Dean sans ménagement. Ce dernier qui sentait la colère monter en lui, pour une rare fois, garda néanmoins son calme latent. Les prunelles de jais, sereines et à la fois anxieuses, glissèrent sur Rose dont les yeux bleus suivirent la silhouette du jeune Slayers qui s’avançait dans la pièce, l’air cynique et froid, avec toutefois un sourire aux lèvres. Méfiante, la jeune fille finit par poser son regard sur Dean qui s’était approché de cette dernière, faisant office presque de protection. Instinctivement le jeune Carlson s’était posé au-devant de Rose, souhaitant la préserver de toute furie de William. L’atmosphère s’était soudainement tendue, le silence s’était installé, et la jeune Mandrake ne cessait de lancer des regards inquiets à Dean, se demandant ce qui pouvait bien arriver à William pour qu’il ne soit dans cet état. A le voir, l’on pourrait croire qu’il s’apprêtait à commettre à meurtre. Et à apercevoir le regard noir et froid de Dean se posant sur Slayers, fait inhabituel, il y avait fort à parier que lui aussi était prêt à commettre un crime de sang froid. En outre le tatouage des mangemorts, marquant encore et toujours le poignet droit du jeune Carlson, ne faisait que renforcer cette idée. En temps normal, Rose aurait sans doute lancé une réplique ou deux, sommant alors William de partir immédiatement, mais l’étrangeté de la scène la déconcertait. Elle ne comprenait pas. Voilà deux ans qu’ils ne s’étaient pas parlé, et soudain William apparaissait dans un claquement de doigt dans son baraquement, l’air furieux et mauvais. Dean quant à lui, ne le lâchait pas du regard, prêt à lui sauter dessus au moindre faux pas. Les deux amis s’étaient transformés en ennemis, et il était vrai que Dean n’aurait aucun regret à frapper son ancien compagnon de chambrée, avec qui il avait fait les quatre cents coups. L’air faussement innocent arracha un rire ironique à Dean qui ne put s’empêcher de lui répondre avec sarcasme.

    William - Pourquoi j'vous dérange ?
    Dean - Non à peine…

    Le jeune Carlson se tourna vers Rose, s’attendant sans doute à ce que son amie ne dise quelque chose afin de le remettre en place, n’importe quoi. Mais la jeune Mandrake se contenta de hocher la tête d’un signe négatif quant au regard de Dean. Décontenancée, elle ne savait que dire, et visiblement la crainte d’éveiller d’avantage la colère de William était présente en elle. Elle avait beau se montrer plus forte, elle n’en demeurait pas moins sensible et fragile. Aussi, le jeune Carlson esquissa encore un pas en avant, placé entre William qui tournait en rond et Rose qui restait là à le fixer, la mettant alors en retrait. L’ancien Gryffondor fronça les sourcils lorsqu’il vit que William prit entre ses mains une photo de la jeune Rose, dans un sourire froidement amusé. Ce fut à ce même moment que la jeune fille s’avança, prête à demander des explications.

    Rose - On peut savoir ce qu’il te prend ?
    William - Jolie photo. C'est marrant.... A l'époque tu avait nettement moins l'air d'une trainé. Peut-être parce que tu ne coucher pas encore avec lui .
    Rose - Quoi ?

    Une trainée ? Il l’avait bel et bien traitée de trainée ? Surprise, blessée, humiliée, elle ne put rétorquer qu’un mot offusqué, ses yeux bleus ne daignant plus lâcher William qui semblait trouver la situation amusante. Néanmoins la jeune fille sentit sa respiration s’accélérer, sous la colère, la rage, l’envie de lui faire payer ses dires… et la tristesse aussi. Elle fut tant sous le choc qu’elle ne comprit que quelques longues secondes plus tard qu’il l’accusait en plus de coucher avec Dean. Situation plus que risible, il était son meilleur ami, pas son amant. Le temps de se remettre du choc, la gorge nouée par la colère tant et si bien qu’elle ne pouvait pour le moment sortir aucun mot, Rose posa son regard un peu partout, se remettant de l’insulte de William. Il la voyait vraiment comme cela, une trainée ? Mais après tout, qu’est-ce que cela pouvait lui faire ? Les yeux bleus de Rose devinrent alors électriques, s’attisant d’une colère non dissimulée, la jeune fille s’approcha de William, prête à lui dire se quatre vérités mais Dean fut plus rapide que la jeune Mandrake. Un rire faussement amusé s’échappa des lèvres du jeune Carlson, qui rentrait dans le jeu de William, mais d’un geste brusque, violent et inattendu, poussa d’un coup sec et fort Slayers en arrière l’envoyant contre le mur.

    Dean - Répète Slayers et j’explose ce qui te sers de cervelle !
    Rose - Laisse Dean, s’il-te-plait. Toi, sors d’ici…

    Alors même que la voix de Rose s’était faite douce et tendre à l’encontre de Dean, tirant légèrement son bras vers elle pour qu’il s’éloigne de William -plus par crainte que Carlson ne se fasse mal plutôt que Slayers, énervée contre lui-, la jeune Mandrake avait fini par se tourner vers William pour sa dernière phrase, d’un air froid, ferme et cassant. Mais Dean ne souhaitait pas en rester là, il hocha la tête négativement, son regard noir fixant William avec une dureté et une violence qu’on ne lui connaissait pas. Certes, Dean était loin d’être aussi baraqué que le jeune Slayers, mais la colère qui l’animait était pire que tout, et son passage chez les mangemorts lui avait enseigné quelques sortilèges peu agréables pour la victime.

    Dean - Nan, on va régler ça entre nous, pas vrai Slayers ? C’est quoi ton problème ? Si t’es qu’un con ça regarde que toi, heimskingi ! Mais non t’es un vrai salaud, faut que tu t’en prennes à Rose pour des conneries hein ? Bravo à toi Slayers, t’es devenu le roi des enfoirés !

    Il parlait avec rage et vigueur, sortant même une insulte en islandais sous la colère. Certes, Dean s’attendait fortement à ce que William ne le frappe, mais sentant son sang bouillir en lui, il n’attendait véritablement que ça. S’en prendre à ses amis, et particulièrement à Rose, était un fait que le jeune Carlson ne supportait pas. En ce sens, sa colère noire faisait qu’il devenait méconnaissable. Et pour couronner le tout, Dean continua sa provocation, sans le moindre sourire aux lèvres.

    Dean - La seule trainée ici c’est toi ! Combien de nanas-tu t’es fait hein William ? Combien ? T’en as sauté combien ?

    Plus il parlait, plus il appelait presque par les gestes à ce que William ne réponde par la violence. Rose de son côté, ne sachant que faire, se contentait de murmurer des « Arrête, s’il te plait » à son meilleur ami, partagée entre la colère, la déception et l’appréhension. Que pouvait-elle faire finalement, ici entre deux jeunes hommes au sang bouillonnant ? Elle posa une main sur son front blanc, anxieuse, mais il était certain qu’à la moindre remarque de William, ses nerfs lâcheraient, et qu’elle scanderait à son tour ce qu’elle avait à lui dire. Quitte sans doute à avoir la peur véritablement présente qu’il ne la frappe, sous un excès de colère.
 
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Rose semblait profondément blesser par ses propos. Tant mieux. Elle allait souffrir comme il souffrait à cet instant rien qu'en s'imaginant les doigts de Carlson caressait délicatement la peau de celle qui n'était désormais plus innocente. S'il avait les yeux à se moment là, il aurait sans doute u dans sa tête la langue de Rose mêler à celle de crétin sans cervelle et cela le mettait hors de lui, l'ayant pousser a dire des mots qu'il ne pensait pas. L'amour que voulait vous.....

Elle le fixer du regard et William fessait de même, le soutenant avec insolence. Avec ces yeux il la mettez au défis de le blesser a son tour. Rose se rapprocha vers lui au moment où Carlson le poussa contre le mur, furax. William éclata d'un grand rire, complètement amusé par la réaction d'amoureux transit.. Il était hors de lui et ça le faisait jubiler. Slayers riait aux éclats se foutant royalement de la gueule de Dean et même du fait qu'il pouvait lui exploser la sienne. Qu'il frappe ! Il n avait rien à carré, les coup du jeune brun ne ferait que le faire sourire d'avantage, lui rappelant ainsi qu'il avait toucher au but, blesser moralement quelqu'un .Et pas n'importe qui. Dean Carlson. Pas Dean Carlson, le mec avec qui il avait partager toute ses année a Poudlard. Le mec avec qui il avait bien deliré et qui était son pote. Non. Le Dean qui avait oser toucher la seule fille au monde qui fait l'espace de quelque jour de lui un homme meilleure. La seule fille qu'il n'oublierais jamais, celle qui fut la première a faire bondir réellement son cœur. C'était ce Dean là qu'il voulait blesser. Mais moralement pas physiquement. Les coup disparaisse mais la souffrance reste.

Dean - Répète Slayers et j’explose ce qui te sers de cervelle !


William continuer de rire comme si les mots de Dean n'avait était qu'une bonne blague. Croyait-il vraiment être plus fort que lui ? Carlson avait beau avoir rejoins les mangemort durant la guerre, il le savait, il n'en restait pas moins se qu'il avait toujours était. C'est a dire un incapable juste bon a amuser la galerie. Il était deux fois plus que lui, William en était sur et certain. Rose s'en mêla alors, tirant Dean par l'épaule.

Rose - Laisse Dean, s’il-te-plait. Toi, sors d’ici…

Il se foutait royalement de son ordre. Elle n'avait pas a lui en donnait. Le fait de voir le jeune homme torse nu dans le baraquement de celle qu'il avait considéré comme un ange et qui l'éblouissait pour son innocence l'avait durement retourné. Que Rose flirte avec un mec comme Alexis machin chose il s'en foutait un peu, mais avec Dean ! Sa ça l'énervé ! Sa lui rappeler leur rupture et l'erreur qu'il avait faite. Et en plus de cela elle prenait sa défense. William s'était redressé et dignement il rajusta ses vêtements avant de regarder son ancien ami avec arrogance, toujours se sourire sadique au coin des lévres.

William - Oh la jolie petite fleur sort ces griffes pour protéger son chevalier servant qui est aussi intéligent qu'un troll. Ooooooh c'est mignon
dit-il avec un air faussement attendris se foutant royalement d'eux.

Il ris de plus belle avant d'adressait a Dean un regard noir, accompagner d'un sourire sadique. Aller. Qu'il s'énerve. Il n'attendait que ça. Toute l'attention de Slayers c'était reporté sur l'ancien rouge et or, et la jeune fille ne semblait plus être sa principale préoccupation.

Dean - La seule trainée ici c’est toi ! Combien de nanas-tu t’es fait hein William ? Combien ? T’en as sauté combien ?


Cette fois ci ça en était trop. Il avait beau faire style qu'il se moquer royalement de se que pouvait penser Dean. S'était totalement faux. En fait il avait choisit de s'attaquer à Rose parce qu'en la blessant elle il se blesser lui même. Et les propos de Carlson ne faisait que lui rappeler que se qu'il pensait lui même, c'est à dire qu'il n'avait jamais mériter Rose. Alors s'en réfléchir, juste guider par la colère il envoya un grand coup de point dans l'oeil de Dean.

Dean - Nan, on va régler ça entre nous, pas vrai Slayers ? C’est quoi ton problème ?
William - Mon problème ? il eut de nouveau un petit rire. Je n'en ai aucun
dit-il avec insolence. Si ce n'est peut-être que je n'ai jamais supporter les traitre !

Oui c'était un traitre ! William avait de l'estime pour Dean avant . Certes beaucoup le considéré a Poudlard comme un pitre, un gars qui amusait la gallerie, un bouffon. Mais pas lui. Il l'avait toujours traiter comme son égal et il savait qu'il valait mieux que les autres le pensait. Et en remerciement qu'est-ce qu'il faisait ? Il coucher avec son ex !

Dean - Mais non t’es un vrai salaud, faut que tu t’en prennes à Rose pour des conneries hein ? Bravo à toi Slayers, t’es devenu le roi des enfoirés !

William - Merci. Ton compliment me va droit au cœur
dit-il avec un large sourire.

Le comportement de William aurait donner envie a n'importe qui de lui foutre des baffes !A le voir, on aurait put largement penser que les mots de Carlson ne le blesser pas mais c'était faux. Seulement il fallait que ce soit Dean qui explose en premier et pas lui. William était assez fort à ce jeu là. Avec cet air toujours aussi sadique, il semblait ce nourrir du mal qu'il faisait aux autres. En faisant du mal à Dean il en faisait à Rose, et en la blessant elle il se blesser lui même en fin de compte. De l'amour à la haine. Il culpabiliser à mort de l'avoir abandonner, de l'avoir larguer et il se devait de souffrir de ses erreurs. Le mal qu'il s'infligeait lui même, il l'avait mériter. Rose semblait paniquer et vouloir a tout prix calmer son amant mais Dean continuer de dire des saloperies, et William continuer de jubiler.

Dean - La seule trainée ici c’est toi ! Combien de nanas-tu t’es fait hein William ? Combien ? T’en as sauté combien ?

Cette fois ci il avait trouver son point faible. Le sujet qu'il ne valait pas mieux aborder. Il savait que ces nombreuses conquête n'avait pas aider Rose a avoir confiance en lui par le passer, même si ne l'avait jamais tromper. Il savait qu'on le considèré comme un gigolo et il sentit humilié qu'il lui dise ceci sous le regard de la jeune Mandrake. Alors sans réfléchir il envoya un grand crochet du gauche dans l'oeil droit de Dean. Cognant avec force et rage pour le faire tomber. Cette fois ci il n'avait plus envie de rire ou de faire de l'ironie. Il se pencha ensuite et l'attrapa par le col pour le ramener légèrement vers lui pour le forcer à le regarder.

William - En fait ce qui t'énerve autant Carlson, c'est que tu saura jamais lui faire bondir le coeur comme je l'ai fait. Elle as beau me hair, j'aperçoit toujours ce petite quelque chose dans ses yeux quand elle me regarde. Tu as beau avoir 2 ans de plus,une belle limousine, t'es fan et compagnie. Tu restera toujours le même : Un bouffon !

Il la lâcha voilement, se leva et reporta son regard vers Rose.

William - C'est a cause de lui ? Hein ? C'est a cause de ce mec qui ne vaut pas un clou et de son avis de merde qu'tu est retourné a Poudlard ?

Il avait la rage et la haine. Il ne savait pas trop ce qui l'avait conduit jusqu'ici aujourd'hui ou même s'il se serait réellement défoulé sur elle si elle avait était seule . Mais il n'avait jamais eut d'explication sur le départ de Rose alors tant qu'a s'en foutre la gueule autant dire ce qu'il lui restait sur le cœur. Elle était partit sans rien dire, sans l'avertir....
 
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[ Je t'aime Will' wub ]




La douleur de son départ n'était plus maintenant que Karly était revenue. Les deux jeunes filles avaient tout mi au clair, entre cris, larmes et éclats de rire. Tout revenait à la normale et notre chère Susi se sentait encore plus vivante qu'auparavant! Presque complète, maintenant il ne manquait plus que l'élu de son coeur, mais tout ça est une autre histoire qui ne vous sera pas comptée aujourd'hui! Après des retrouvailles plus qu'émouvantes, après des câlins sans relâche, bah ouais quoi, Susi me voulait pas lâcher Karly de peur qu'elle s'en aille, normal quoi! Enfin, après tout ça, il était temps d'aller annoncer la bonne nouvelle aux autres et les autres c'était ces copines du baraquement! Ses presque soeurs, parce qu'habiter avec elles c'était carrément comme se sentir en famille, surtout avec la petite Henriette! Susi avait donc convaincu Kalry, avec grande peine car celle-ci ne voulait pas déranger, de prendre la chemin de leur baraquement, histoire de passer un bon moment en compagnie des autres.

La jeune femme passa son bras sur les épaules de Karly, lui lançant un regard complice. Susi savait que tout était rentré dans l'ordre et qu'elles pourraient recommencer à faire les quatre cent coups! Bon rien ne serait plus comme à Poudlard, trop de choses avaient changé, trop de gens n'étaient plus là. Mais rien n'empêchait d'essayer de faire mieux non? Elles étaient belles, jeunes et elles savaient rien que serait aussi beau qu'à cet instant même, alors en profiter à fond! Susi prit alors la parole, elle avait deux trois choses à expliquer à Karly, notamment vis-à-vis de ses relations avec la gente masculine et puis s'il y'avait bien une chose que sa meilleure amie adorait, c'était les histoires de coeur, surtout lorsque ça concerne l'une d'elle!


Bon bah quand t'es partie là, j'ai rencontré Raziel, je dois dire que j'arrive pas à l'oublier mais il est partit juste après notre rencontre, je le referais sûrement jamais, enfin je sais pas. A ce qui parait il viendra à Kew mais bon je l'ai toujours pas vu. Sinon et je sais que tu va rire! Je suis sortie avec Dean, pi même que voilà, première fois et tout, à Miami, inoubliable, même si le Malibu était de la partie! Et puis récemment j'ai légèrement franchit le pas avec mon colocataire moldave, faut pas m'en vouloir... Mais quand tu le vera tu comprendra, enfin bref et.... OH MON DIEU!

A peine le temps d'entrer dans le baraquement que Susi voyait Slayers envoyer un poing à Dean. Non mais qu'est-ce qui se passait ici! Elle lança un regard inquiet à Rose et sembla capter ce qui se passait. Ils se battaient encore pour la jeune femme et celle-ci semblait totalement boulversée. Susi se dirigea vers elle avec un regard entendu, elle passa un bras sur son épaule et lui murmura qu'elle allait essayer de tout régler. Puis elle se dirigea vers Slayers et lui balança un claque monumentale dans la tronche! On ne touchait pas à Dean, on ne faisait pas souffrir Rose, c'était malheureusement tout ce qu'il venait de faire. La petite noiraude se mit alors à crier sur Slayers, c'était sûrement la première fois qu'elle s'énervait devant ses amis, un moment mémorable donc!


FRANCHEMENT TU TE PRENDS POUR QUI? TU CROIS QUE TU PEUX DÉBARQUER ICI ET TAPER SUR QUI TU VEUX?

La jeune femme se retourna et envoyer valser une lampe, elle avait la haine mais savait très bien qu'elle ne pourrait rien faire d'autre. Et puis si elle se mettait à crier sur Slayers ou même à le frapper à nouveau, celui-ci risquerait de riposter, Après tout, elle avait foutu la merde entre lui et sa copine, juste pour faire plaisir à Rose. Celui-ci devait donc lui en vouloir à mort et se mette à le chercher n'était pas la meilleure solution. Mais ptain! Il venait de frapper Dean et Rose était en état de choc! Et on ne touche pas aux amis de la brune sous peine de s'attirer ses foudres!
 
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    Plus William parlait, souriait, riait aux éclats, plus le regard de Rose se faisait méprisant et dégouté. Elle ne comprenait pas l’attitude de Slayers, et ne cherchait pas à le comprendre. La rage habitant en elle et l’attitude de l’ancien Gryffondor faisait que la jeune fille était littéralement écoeurée de son comportement. L’on ne voyait trop dans ses yeux bleus vaciller cette lueur de déception, de haine, de mépris et de dégoût. Elle qui pensait que William n’était pas comme les autres, malgré les apparences, et même après que celui-ci ne l’ait lâchement abandonnée. Elle avait eu tord sur toute la ligne. Dean de son côté explosait de colère froide et noire, chose rare venant de lui. Bon ami et camarade apprécié, on ne connaissait pas le côté violent du jeune Carlson qui en un sens avait appris beaucoup de son cousin mangemort. En outre, il avait développé une certaine faculté à faire payer ses ennemis, chose qu’il ne se permettait pas auparavant. La tirade de William, celle où il se moqua éperdument de Rose sortant ses griffes, arracha à la jeune fille un regard haineux et mauvais. Son visage impassible mais froid ne laissait que supposer que l’idée de foutre une baffe à ce prétentieux était fort présent dans son esprit. Il venait ainsi, sans prévenir, et venait piquer sa crise sans même qu’il n’en ait le droit. Après tout cela faisait deux ans qu’ils ne s’étaient pas vus, et c’était lui qui avait lâché la jeune fille. Hors elle avait la mauvaise impression que William voulait lui faire payer ses erreurs. La provocation haineuse de Dean fit que très vite, Slayers le frappa au visage avec force. Ce dernier attrapa le jeune chanteur avec violence par le col, mais fort heureusement la rage qui faisait bouillir le sang de Dean atténua quelque peu la douleur. Il ne pensait plus à rien, sinon qu’à lui rendre la pareille, l’espace d’un instant, l’idée de le tuer lui traversa même l’esprit. Absurde. Mais lorsque l’on était un peu trop sur les nerfs, et que l’on haïssait quelqu’un, il était évident que l’on souhaitait la mort de cette personne. Même Dean avait ces idées noires et mal placées, bien qu’elles n’étaient qu’éphémères. Le jeune Carlson n’avait pas une once de méchanceté en lui, mais s’attaquer à ceux qui lui étaient le plus proche était toujours pire que de l’attaquer directement. Et pour lui, il était évident qu’un type sans cervelle comme Slayers ne pouvait régler les conflits que par la violence, jamais par les mots. Et plus William rétorquait, plus le regard de Rose s’attisait de dégout, Dean quant à lui le regardait presqu’avec pitié, malgré sa rage vive et noire.

    William - En fait ce qui t'énerve autant Carlson, c'est que tu saura jamais lui faire bondir le coeur comme je l'ai fait. Elle as beau me hair, j'aperçoit toujours ce petite quelque chose dans ses yeux quand elle me regarde. Tu as beau avoir 2 ans de plus,une belle limousine, t'es fan et compagnie. Tu restera toujours le même : Un bouffon

    Le jeune Carlson ne put s’empêcher de réprimer un rire sous l’absurdité de William. Néanmoins son sourire s’effaça bien vite. Hochant la tête d’un signe négatif, Dean le fixa droit dans les yeux, l’air grave et la voix basse, comme s’il s’apprêtait à sortir une vérité universelle. Pour lui en tout cas, ça l’était.

    Dean - Regarde-toi William, tu fais vraiment pitié.

    Il n’avait pas même envie de répondre aux idioties de William. Si c’était là ce qu’il pensait, alors il était encore plus dégénéré que ce que Dean avait pu penser lorsqu’il le vit rentrer. Il était vrai que la colère montant en lui ne faisait que donner une piètre opinion de Slayers au jeune Carlson. Après tout, il l’avait toujours vu comme un bon ami, un don juan sans doute, mais jamais il ne l’avait empêcher d’approcher Rose, voyant en William un type bien. Aujourd’hui il le voyait comme un crétin incapable de penser, à qui il exploserait bien le nez, juste par satisfaction et soulagement. Rose quant à elle ne répondit pas, toujours encline à l’écoeurement que lui inspirait l’ancien Gryffondor. Comment osait-il avancer qu’il voyait ce petit quelque chose dans ses yeux à elle ? Oui peut-être il était vrai que Rose n’avait jamais oublié William, mais aujourd’hui elle le haïssait plus que quiconque.

    William - C'est a cause de lui ? Hein ? C'est a cause de ce mec qui ne vaut pas un clou et de son avis de merde qu'tu est retourné a Poudlard ?

    Rose - La ferme William, la ferme ! dit-elle avec force,vigueur et violence, toujours aussi dégoutée de l’attitude du jeune homme. Si je suis retournée là-bas, c’est parce que TOI tu m’as lâchement abandonnée au moment où j’avais le plus besoin qu’on me soutienne ! Dean a toujours été là pour moi, lui ! Et si tu veux tout savoir je n’ai pas couché avec lui, et nous ne sortons pas ensemble… Oh mais après tout, qu’est-ce que ça peut te faire ? rajouta Rose aussitôt, toujours aussi énervée. Tu me dégoûtes William ! Tu me pourris la vie, je te déteste, j’te hais ! Dégage de ma vie, sors de là ! Je veux plus te voir, jamais !

    A force de s’emporter, de hausser la voix et de parler d’un air implacable et rageur, quelques larmes montèrent aux yeux de Rose. Pas par tristesse non, mais par colère. Une colère si forte, que même en explosant ainsi, elle la gardait en elle. La porte s’ouvrit alors, laissant rentrer Susi qui ni une ni deux giffla le jeune Slayers.

    Susi - FRANCHEMENT TU TE PRENDS POUR QUI? TU CROIS QUE TU PEUX DÉBARQUER ICI ET TAPER SUR QUI TU VEUX?

    Susi éclata de colère également, et sous les nerfs qui lui lâchaient enfin, cédant à toute cette colère qui retombait alors, la jeune Rose alla se caler dans les bras de la jeune Diamantino et se mit à pleurer à chaudes larmes. Le sang de Dean ne fit alors qu’un tour, depuis son enfance, il n’avait jamais supporté les larmes de la jeune Mandrake, encore moins ceux qui lui faisaient du mal. Lui qui d’habitude était pacifique, ne put retenir son calme, et envoya une bonne droite dans la mâchoire de William, à l’en envoyer valser de nouveau contre le mur.

    Dean - Peut-être que ça te calmera. Alors tu la fermes et t’écoutes : Même s’il s’était passé quelque chose entre Rose et moi, ça te regarde pas Slayers. Maintenant t’écoutes la demoiselle, tu la laisses tranquille et tu sors de sa vie. Elle veut plus de toi, et quand je vois ce que t’es devenu, je comprends pourquoi.

    Le jeune Carlson toisa William de haut en bas. Cependant la voix de Dean était revenue plus calme, dénuée de toute provocation ou encore de colère. Il s’agissait plus d’un conseil avisé pour un ancien ami, que d’une menace lancée pour un ennemi.
 
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- « Susi… Je ne crois pas que se soit une bonne idée ! Petite dose, ca te dit quelque chose ? »

Petite dose, Karly ? Mais enfin, bien sûr que non que la jeune brune ne connaissait pas ce terme. Tout était souvent dans l’excès, c’était bien connu. C’était pour cela qu’elle était sa meilleure amie. Soupirant tout en se laissant trainer par le bras, la jeune femme ne pût s’empêcher de sourire. Oui, elle l’avouait à voix basse : elle lui avait manqué. Enormément même. Sa meilleure amie. La seule qui lui restait en vie. Chassant ses idées noires, Karly se permit même à rire légèrement face aux dires de son amie. L’ancienne Karly était certes morte mais, il en restait les fondations que Susi faisait ressortir. Le bras de la petite brune finit par se loger sur ses épaules comme si elle craignait qu’elle ne s’enfuie de nouveau. Elle ne pouvait pas lui en vouloir. C’était justifié. Les histoires de la jeune fille allaient bon train tout comme les différentes expressions que prenaient Karly face à celle-ci. Avait-elle réellement vécu un enfer avec les mangemorts qui contrôlaient Poudlard ? On ne le dirait pas. Cependant, la fin ne fut tout aussi joyeuse et amusante que le début. Pourquoi donc se mettait-elle à crier ? Et surtout à entrer en trombe dans son baraquement ? Etrange.

Waooo, mais c’était quoi tout çà ? L’apocalypse était de retour sur Terre. Une main sur la poignée, Karly restait abasourdie sur le pas de la porte. Devait-elle réellement entrer ? Devant elle, se tenait quatre personnes à qui elle tenait. Tous d’une manière différente. Elle possèdait des souvenirs avec chacun d’entre eux. Ils se bouffaient le bec sans prendre de gants. Mais que s’était-il donc passer durant son absence ? Des changements, oui. Elle s’y attendait. Mais là, il fallait dire qu’elle était assez surprise. Et le pire c’est que la situation empirait. Les garçons en étaient déjà venus aux mains et… oui, même Dean avait perdu son habituel sourire et bonne humeur afin de se transformer en catcheur. Elle était en plein cauchemar. Ce n’était pas çà qu’elle avait voulu revoir. Où était passé les sourires joyeux et heureux de ses amis ? Tous ses bons souvenirs qui la protégeaient encore du noir, de la peur et de l’abandon ? Car oui, Karly était une femme comme une autre. Avec ses faiblesses. Des faiblesses qui l’avaient poussé plusieurs fois à abandonner si sa volonté n’avait pas été plus forte. Mais elle ne voulait pas se souvenir de çà. Le chaos. Le désordre. Rien ne coordonnait. Elle ne voulait pas admettre que les choses avaient changé. Que les personnes pouvaient changer elles-aussi. Mais elle en avait la preuve sous les yeux. Comment pouvait-elle être si aveugle ? Il fallait qu’elle se réveille. Elle avait fait un choix, pris une décision et entamait des démarches. Ce n’était pas pour tout mettre en pause maintenant qu’elle retrouvait ses amis. Bien entendu, les deux étaient compatibles mais… il n’y avait pas de mais. Allez savoir pourquoi Karly se sentait blessée par cette scène ? Elle n’y était pour rien et n’avait rien à voir là-dedans. Elle espérait trop. Il fallait qu’elle se ressaisisse. La main fermement ancrée sur la poignée de la porte, la voix de Karly se fit plutôt ferme et sans possibilité de réponse.


- « William, va-t-en ! Je ne crois pas que tu sois le bienvenu… s’il te plait ! »

Fixant William, Karly semblait vouloir le pousser vers le sortie avec de la télépathie ou alors un sortilège mutin. Il fallait vraiment qu’Ali’ le lui apprenne. Ca urgeait. La politesse avait été rajoutée par acquis de conscience. Autrefois, elle l’aurait traité de la même façon que Susi : avec dédain et arrogance. Dean avait été clair cependant, William était réputé pour ne pas écouter quand il était énervé. A dire vrai, qui avait les esprits clairs et lucides lorsque la colère s’y mêlait ? Oh ne vous méprenez pas : ils ne sont pas amis. Pas réellement. Ils ne sont plus ennemis, c’était déjà ca. Regardant furtivement autour d’elle, Karly aperçut Rose dans les bras de Susi et Dean qui semblait s’être calmé mais pour combien de temps ? Et qui lui disait que ca n’allait pas être son tour ? Après tout, elle était partie sans un regard ni un mot derrière elle. Susi lui avait pardonné… mais les autres ? Mais pour l’instant, ce n’était pas à l’ordre du jour. Il fallait que William parte s’il voulait garder le peu de dignité qu’il lui restait. Après tout, s’il se mettait en colère de nouveau : c’était perdu pour lui. S’il se mettait à pleurer ou craquer sentimentalement : Karly doutait que Dean et Rose étaient prêts à lui pardonner de suite. Non, il fallait que Rose digère. La jeune femme ne savait vraiment pas ce qui s’était passé entre ses trois-là mais surement rien de bon.
 
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Respire bien à fond ! Echappe toi du cercle [libre] Lucasi2xb9 .Respire bien à fond ! Echappe toi du cercle [libre] Johni11ok5
Lucas Mandrake . John Mandrake


    D'un pas rapide, légèrement stressé, Lucas avançait dans les rues de Londres, se dirigeant vers le lieu de rendez-vous qu'il avait donné à son demi-frère, John. Il était légèrement en retard mais ce n'était pas vraiment important, car il savait que ce qu'il allait donner à l'ancien auror était très important à ses yeux et valait le coup d'attendre. La tête brûlée qu'avait été le jeune Mandrake dans le passé s'était aujourd'hui assagie. Il avait muri, était devenu bien plus sérieux même si l'esprit rebelle du jeune homme continuait à sommeiller en lui, menaçant d'exploser à tout moment. Après quelques minutes, Lucas arriva au café moldu dans lequel il était censé se rendre. Il jeta un coup d'oeil vers la table à laquelle John et lui devaient se retrouver, sur la terrasse, puis s'y installa calmement. Après avoir vérifié que personne ne l'observait, il demanda à voix basse.

    Lucas - John? T'es là?
    John - A ta droite.

    Invisible aux yeux des autres, silencieux, John Mandrake restait immobile sous sa cape d'invisibilité. Il observait calmement son demi-frère qui tentait vainement de l'apercevoir. L'ex-auror n'avait pas la moindre idée de la raison pour laquelle Lucas l'avait fait venir dans un café moldu en plein jour, mais il ne pouvait pas dire non à une telle demande, car même si dans le passé, leurs relations avaient été explosives, et qu'ils en étaient venus à combattre, tout était bien différent à présent. L'ancien Gryffondor avait sauvé la vie de son demi-frère et un lien fort s'était créé, malgré leur différence d'âge. John demanda d'une voix faible mais calme.

    John - Pourquoi m'as-tu fait venir?
    Lucas - Je l'ai retrouvé John, à cette adresse.

    Lentement, le jeune homme fit glisser un morceau de papier sur la table, devant la chaise située à sa droite. Une main apparut soudainement, attrapa le papier et disparut de la même manière qu'elle venait d'apparaître. Heureusement pour John, personne ne l'avait vu. Le sorcier lut avec attention les inscriptions notées sur le petit parchemin, tentant de situer l'endroit indiqué. Lui qui avait passé la plupart de son temps à chercher sans rien trouver, voilà qu'on lui donnait enfin la solution à ce problème. Il aurait pu être vexé de ne pas avoir réussi sa mission seul, mais ce n'était pas le genre de Mandrake. Au contraire, il était reconnaissant envers Lucas qui venait de lui rendre un énorme service. Les tensions qui avaient pu exister dans le passés entre les deux frères avaient à présent disparu. Tandis que John réfléchissait, son demi-frère reprit à voix basse, afin de ne pas se faire remarquer par les moldus des tables voisines.

    Lucas - Il est serveur là-bas depuis un moment apparemment, je n'en sais pas plus, mais je suis sûr que c'est lui, il n'y a aucun doute là-dessus.
    John - Merci Lucas, merci beaucoup.
    Lucas - Je peux t'aider si tu le souhaites.
    John - Non, il n'y a qu'une seule personne qui puisse m'aider maintenant. Je te contacterai bientôt, je dois faire vite.

    John venait de dire le principal. Il se leva rapidement de sa chaise et quitta la terrasse d'un pas léger, laissant Lucas seul à sa table, qui tentait vainement de rappeler son grand frère qui était déjà loin à présent. Mandrake se dirigea vers une ruelle sombre, la plus proche qu'il avait aperçue en arrivant et s'y engouffra tout en réfléchissant. Bien sûr, il aurait pu prendre son temps, aller voir Rose dans la soirée, ou quand elle serait avec Satine, mais l'ex-auror ne voulait pas perdre une seconde. Cela faisait plus d'un an et demi, et chaque jour à présent était un jour de trop à ses yeux. Il devait se rendre directement au baraquement de sa fille, lui donner ce papier, lui demander ce service qu'il avait déjà calculé depuis longtemps. Car lui ne pouvait rien faire seul, il avait besoin de Rose. Prenant une profonde inspiration, le sorcier transplana, se retrouvant ainsi à des centaines de kilomètres de la ruelle dans laquelle il venait de se rendre...



    Baraquement n°7, campus de l'université de Kew.


    Mais qui aurait pu penser qu'autant de jeunes puissent se trouver en même temps dans cette pièce? Il ne faisait pas nuit, donc cela ne pouvait pas être une fête tout de même, à moins que les jeunes aient changé leurs habitudes. Le crac sonore provoqué par le transplanage de John ne pouvait pas passer inaperçu, et il était clair que les jeunes se douteraient d'une présence dans le baraquement. Caché sous sa cape d'invisibilité, Mandrake retint son souffle, tout en observant une à une les personnes présentes dans la pièce. Il vit Rose dans les bras d'une jeune fille qu'il ne connaissait pas, et aperçut également Dean, qui venait de prendre un coup au visage ainsi que William, qui affichait un air mauvais, et une autre fille qu'il ne connaissait pas, postée sur le seuil de la porte. Un drame d'adolescent, le genre d'évènements que chaque personne connait au moins une fois dans sa vie, sauf que dans ce cas précis, c'était sa fille qui n'allait pas bien, et son ancien petit ami semblait en être la cause. Sans réfléchir, John laissa tomber la cape d'invisibilité, se dévoilant ainsi aux yeux des adolescents, prenant un risque énorme compte tenu du fait que sa tête était actuellement mise à prix, et qu'il était officiellement mort depuis presque un an. Il avança d'un pas lent, se rapprochant de Rose, et la prit dans ses bras, l'enlevant de ceux de Susi. Il lui murmura doucement un "tout va bien" au creux de l'oreille avant de se tourner vers William.


    John - Slayers, sors d'ici.

    La voix du sorcier était calme et posée, mais on pouvait aisément sentir qu'il ne fallait pas désobéir à ce genre d'ordre. William venait de faire pleurer sa fille, il pouvait craindre le pire venant d'un homme tel que John. Toucher à Rose était une erreur, mais rester ici serait sans doute pire. Mandrake murmura des paroles réconfortantes à l'oreille de sa fille, afin de faire cesser ses pleurs, d'apaiser la jeune fille. Il aurait pu mourir sur le champ, mais il était hors de question qu'il laisse son enfant dans un tel état. Il savait qu'il prenait un risque en se dévoilant ainsi aux yeux de ces adolescents, mais cela en valait largement la peine. L'ancien Gryffondor serra doucement la jeune adolescente dans ses bras, lui faisant comprendre qu'il était là pour elle, et qu'il le serait toujours.
 
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Familier : Picassiette
William Alex Slayers
William Alex Slayers
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William ferma les yeux en entendant les mots de Rose et une larme coula sur sa joue. Il se fouter complètement du fait que la pièce était remplis de monde et qu'il mettait son coeur a nu pour des personnes qui en fin de compte ne le connaissait pas. Durant ses nombreuses année à Poudlard, il s'était démener pour conserver les apparences et ne leurs montré qu'un jeune homme enthousiasme, sûr de lui et heureux de vivre. Mais aujourd'hui le masque tombé et la pression était beaucoup trop fort. Sa colère retomba et il se rendait à présent plus compte du mal qu'il avait a la jeune fille tandis qu'elle crié sur lui . Les mots que la fleur fané avait prononcé l'avait toucher droit dans le cœur. Seul elle, seul celle pour qui son cœur battait encore et toujours était capable de le faire souffrir a se point là .

Il s'était comporté comme un gros con, il le savait et il commençait à peine à s'en rendre compte et rien ne pourrait excuser cela, mais quand il s'agissait d'elle il lui était impossible de se contrôler et il se laisser dévoré par la passion. La passion est la source des moments les plus rares, la joie de l'amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelques fois la douleur est si forte qu'on ne peut plus la supporter. Si l'on pouvait vivre sans passion, peut-être serions-nous moins torturés. Mais nous serions vides, espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion, nous serions véritablement morts. Et William voulait tout sauf l'être. Il l'avait était avant de rencontré Rose. Malgré ses sourire et son air jovial il était comme mort et il avait appris à vivre que grâce à elle. Alors c'était pour cette raison qu'il s'était conduit ainsi.

Lorsqu'il entendit Rose lui avouer que tout ça ce n'était qu'a de lui. De lui et rien que de lui et qu'au final il ne s'était rien passer entre Dean et elle, il se sentit ronger par la culpabilité. Il s'était laisser dicter par sa colère et sa jalousie et avait dit des mots blessants. Et tout ça pourquoi ? Pour rien parce qu'il avait tord et que Carlson et elle n'avait rien fait. Il aurait aimer pouvoir s'excuser, il aurait aimer pouvoir lui dire qu'il se sentait con et qu'il regrettait tout. Il aurait aimer lui dire qu'il ne penser même pas une seule seconde ce qu'il avait dit et qu'il regretter de s'être importait pour si peu et que.... qu'il l'aimait ! Mais au lieu de ça il avait fermer les yeux pour se calmer et il ne les rouvrit que lorsqu'il entendit la porte s'ouvrir et qu'il vu Sushi et Karly entraient. Sushi se dirigea alors vers lui et lui décrocha une bonne baffe qui lui laissa la trace de la main sur la figure il déglutit et ne réagit pas en fait. Il n'avait plus l'air énervé ou en colère, comme si les mots de Rose avait définitivement ôter toute forme de vie à l'intérieur de lui

Susi - FRANCHEMENT TU TE PRENDS POUR QUI? TU CROIS QUE TU PEUX DÉBARQUER ICI ET TAPER SUR QUI TU VEUX?

Il resta silencieux encore. Un silence oppressant et presque flippant quand on sait que William s'emporte assez facilement. Mais son cerveau semblait être anesthésier. Il regardait la jeune innocente pleuré a chaude larme avec un fort sentiments de mal être. Et lorsque Dean lui donna un grand coup de poing qui le fit saigner a la lèvre et l'envoya contre le mur il ne se défendit même pas. Quel frappe. Il l'avait mériter. Il pouvait même le tuer a l'instant présent s'il voulait. Sa ne le gêner pas. Rose le détester de tout son cœur et ne voulait pas plus le voir, alors c'est comme s'il était déjà mort.

Dean - Peut-être que ça te calmera. Alors tu la fermes et t’écoutes : Même s’il s’était passé quelque chose entre Rose et moi, ça te regarde pas Slayers. Maintenant t’écoutes la demoiselle, tu la laisses tranquille et tu sors de sa vie. Elle veut plus de toi, et quand je vois ce que t’es devenu, je comprends pourquoi.

A quoi bon répliquer ? A quoi bon se défendre ? A quoi bon démentir ces propos ? Il avait raison.... Il avait blesser la seule personne qui avait cru en lui..... Tout le monde lui disait de partir, Dean , Rose, Susi et même Karly et il n'avait envie que de ça. Partir et oublier. Tous semblait le hair profondément à peut-être Karly qui faisait preuve de plus de tact que les autres même si son ordre semblait être sans appel . Il se releva et regarda Rose d'un air triste et profondément blesser. Il aurait la prendre dans ses bras, la protéger et lui dire que tout était fini mais c'était impossible car c'était lui la cause des larme de la jeune blondine. C'est à se moment qu'une personne inattendue fit son apparition dans la pièce : le père de Rose. Etait-il là depuis le début à veiller sur sa fille alors qu'il se faisait passer pour mort ? William n'en avait aucune idée. Ce dont il était sur par contre c'est qu'il ne resterait pas une seule seconde de plus ici. Il se dirigea vers la porte et posa la main sur la poignet. Avant de l'actionner il se retourna vers Rose, ouvrit la bouche comme pour dire quelque chose mais aucun son ne sortit. Il ouvrit alors la porte et se dirigea vers l'extérieur. Là, il se dirigea vers le côté du baraquement et donna un grand coup de poing dans le mur à s'en faire saigner la main.

William - QU'EST CE QUE J'SUIS CON !PUTAIN ! QUEL CON !Quel con ....


Les gens a l'intérieur du baraquement ne pouvait entendre ses mots et il ne les avait prononcé que pour lui même, mais ça lui faisait du bien. Il soupira quelque instant et se dirigea vers le n°3, son baraquement. Fort heureusement ses colocataires ne semblaient pas être là. Il poussa alors la porte de sa chambre et s'aperçut que plus aucun vêtement de Shaylee ne trainer dans la pièce. Il ouvrit le placard et fit la même constatation. Pas besoin d'être Merlin pour comprendre qu'elle était partit. Il se rapprocha du lit et ne trouva qu'un mot apparemment écrit a la va vite ou sous le fruit de l'émotion au vue de l'écriture tremblante . On pouvait lire « Goodbye ». Il s'assit sur le lit l'espace d'un seconde, soupira, et finit il finit par se lever le visage résolument décider, se dirigea vers l'armoire pour attraper sa valise qui trôner au dessus et la balancait sur le lit avant de saisir ses fringue et de commencer à les ranger a l'intérieur . C'était décidé ! Il partait ! Ras le bol . Il n'avait plus rien à faire ici, il disait adieux a la fac et aux relations sociale......Définitivement....
 
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