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 ♠ Eurotrash * - Cuando tu vienes...

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♠ Eurotrash * - Cuando tu vienes... EmptyMer 20 Aoû - 11:31



Invité
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      MIGUEL ALMADOVAR, MARIA ALMADOVAR, PEDRO ALMADOVAR, La MAMA, GÜIZA OLEIVERA.



      Nous sommes le 15 Août 2012, dans le Manoir Almadovar, qui se révèle être l'une des plus belles maisons du Mexique, dans son ensemble. Et pourtant, elle date du temps de Antonio de Mendoza, c'est pour dire. Il doit être aux alentours des 20h du soir, et le soleil est encore haut dans le ciel. Nous retrouvons donc, quelques membres de cette prestigieuse famille qui impose respect, et calme.


- Et bien ? Tu en as mis du temps !

Miguel apparaissait doucement, dans l'encadrement de la porte, posant doucement son avant bras à la hauteur de sa tête sur la surface d'un noir d'encre. Il posa sa tête dessus, un sourire sur ses lèvres, avant de se redresser pour s'avancer de nouveau vers Maria qui esquissait un léger sourire amusé. Il passa doucement ses mains sur la taille de sa femme, avec un petit air coquin, qui ressortait beaucoup chez ses fils, et il lui dit, non, lui murmurant délicatement.

- J'étais occupé... Mais je suis tout à toi, maintenant... Bella.

Maria baissa légèrement le regard, rosissant toujours et inlassablement aux paroles, aux surnoms de son époux. Surtout qu'ils étaient seuls, et qu'ils pouvaient se permettre tout ce qui ne se faisait pas en publique ( à noter que nous sommes au Mexique, pas en Angleterre ). Il approcha doucement son visage de celui de sa femme, qui releva le regard pour lui rendre le baiser qu'il était entrain de lui donner avec cette même façon qu'elle avait toujours connu de sa part. De leur premier baiser. Il se recula doucement, alors qu'elle posa son index, délicatement sur les lèvres de son mari, et elle sourit, se mordant délicatement la lèvre. Miguel la regarda doucement, le teint légèrement fatigué, mais une expression dans le regard particulière. Elle laissa glisser doucement sa main sur la chemise du Ministre, avant de commencer à en défaire doucement les boutons, un à un.

- Pas de ça, maintenant. Miguel, faut qu'on parle.

Ils sursautèrent, et automatiquement, Maria se blottit dans les bras de Miguel qui fusillait sa mère avec une haine sans pareil. Il n'aimait pas être surpris, et ça, tout le monde le savait. Il lâcha doucement Maria, qui se retira doucement, la main sur le coeur. Miguel se tourna de façon à se mettre face à la Mama qui s'avançait doucement, et elle s'assit à table.

- Assied toi.

Miguel haussa un sourcil, puis, il sourit. Son père entra doucement, pénétrant dans la cuisine, avec tranquillité. Le fils aîné, et chef de famille regarda ses deux parents, comme si il faisait partit d'une de ses troupes de comiques qui faisaient de temps à autres des spectacles, puis, il regarda Maria, déposant un léger baiser sur ses lèvres, chose qu'il ne faisait jamais en présence de ses parents. D'un rapide coup de tête, Miguel put approcher ses lèvres du lobe de l'oreille droit de sa femme, et il lui murmura doucement :

- Je fais ça pour toi, pour nous.

Maria eut une lueur étrange dans son regard. Elle fut particulièrement touché par les mots de son mari, et à ce moment précis, elle remarqua le changement qui s'était opéré, n'était pas que dans son comportement, mais aussi dans son lui profond. Elle eut un léger sourire, posant son regard sur la Mama, avant d'incliner doucement sa tête, à l'égard de Pedro, qui était le sorcier le plus respecté du monde pour sa haute place internationale au sein de la confédération magique internationale. Miguel se rapprocha de la table, posant ses poings sur cette dernière, et il lui dit :

- Non.
- Miguel, assied toi.
- Marguerita, ça ne sert à rien de discuter, Miguel n'en a pas envie. fit Pedro, comprenant son fils, mieux que quiconque, à part peut être Maria, Joana, et son fils aîné.
- Tu as entendu ce qu'à dit Papa ? Si c'est pour me péter les rouleaux, tu peux d'ores et déjà prendre tes cliques et tes claques et te casser, j'en ai strictement rien à battre.

Un moment de silence s'ensuivit où Miguel défiait littéralement sa mère du regard. Cette dernière ne le baissait pas, malgré sa plus petite taille, et son air chétive. Miguel en jetait énormément. Le passage des années l'appuyait, lui donnant une force majestueuse et encore insoupçonné. Son pouvoir était in évalué. Peu de personne, cependant, se serait mis en son travers. La tension fut à son comble, mais personne ne reprit la parole, si ce n'est la Mama, qui le coupa. Premier signe de faiblesse face à son fils, dont les lèvres s'étirèrent en un sourire arrogant et pas franchement respectable.

- Soit. Tu veux jouer le gamin en plein adolescence, qu'il en soit ainsi. Je te parlerais comme tel.
- Tes répliques sarcastiques glissent comme de l'eau sur la falaise. Cesse d'injurier et garde ta salive, Maman.

Pedro écarquilla doucement ses yeux, avant de finir par se détendre et de s'adosser aux murs croisant ses bras et ses jambes. Maria était près du frigo.

- Le Poste de Ministre t'es monté à la tête... Triste destin.
- Blablabla... Parle, critique, j'en ai rien à branlé.
- Tu te rends compte du choix que t'as fait ? HEIN ? Tu te rends compte qu'il est aussi mâture qu'un gamin de 5 ans ?
- Dakota, Javier, Teyo Almadovar est mon fils, et il te surprendra comme pas possible. Arrête de vouloir lui faire de l'ombre avec 'Rico. Tu sèmes entre eux la discorde.
- Je ne sème rien du tout, je préserve juste la vie de ton fils préféré.

Il cligna de l'oeil, et la Mama tourna la tête violemment. Elle venait de se prendre une claque particulièrement violente, et l'on entendit juste le bruit de cette dernière. Le rouge monta aux joues de sa mère. Miguel s'inclina sur la table, brandissant son index.

- Je n'ai pas de fils préféré. Retire ça de ta tête.
- Agir comme tu viens de le faire, c'est prouver ce que je viens de faire.
- Elle ne devait pas être assez forte si tu n'y as pas entendu, dans ce geste, l'amour que j'ai pour 'Rico...
- Miguel, calme toi.

Les deux en même temps : La ferme ! Toi, la ramène pas ! Pedro eut un léger sourire et leva les mains, pour montrer qu'il s'en lavait comme de sa première chemise. Il lança un regard à Maria, qui semblait trop surprise pour voir qu'il tentait de détendre l'atmosphère et qu'il avait besoin d'elle pour calmer Miguel.

- Tu as toujours montré un amour débo-
- La prochaine qui part, c'est moi qui vous la met. Enrique a toujours autant préoccupé son esprit que Javier, que cela vous plaise ou non. Il n'est jamais parvenu à le comprendre, mais il n'a jamais cessé de le tenter. Les venus chez les medecins, etc, ne vous l'ont il pas prouvé ? Un éducateur spécialisé, trois ou quatre psychologues, 5 psychiatres pour finalement diagnosticé à notre plus grand horreur qu'Enrique souffrait d'un autisme particulier qui le rendait beaucoup plus mâture mais extrêmement associable... Savez vous la douleur que c'est de ne pas réussir à venir en l'aide d'un de ses enfants ?
- Maria... Fit il, d'un air douloureux, les larmes remontant légèrement dans ses globes occulaires à mesure qu'il se souvenait de ses tristes années.
- Je n'ai jamais rien dis quand vous décidiez quelque chose pour ce gamin, vous et Alicante. Car il vous aime énormément et qu'il m'a toujours demandé après ses grands parents et son oncle.. La douleur n'en a jamais été plus grande. Ne pas comprendre son fils, c'est pire que de devoir affrontré un desperado en chaleur.
- Je me suis toujours demandé pourquoi vous la fermiez tout le temps, mais force m'est d'avoué que c'était pour en avoir le courage, à ce que je vois.
- Je...
- Tu commence sérieusement à me casser les couilles, Marguerita. Si ton mari n'a pas été capable de te briser sous sa volonté, je le ferais à sa place. Soit tu dégages, soit tu fermes ta gueule.
- Miguel sort les crocs... ?
- Marguerita... Arrête, maintenant.

Miguel fermait les yeux. Cependant la maison se mit à trembler et les lumières tamisés de cette dernière se mire à vibrer à leur tour. Lorsqu'il les réouvrit, il était plus noir que jamais.

- Tu cherches la confrontation, c'est ça ?
- Je ne cherche rien du tout. Dakota en court un danger beaucoup trop grand.
- Dakota parviendra à tout réaliser au dépend même de sa vie. Enrique le sait, et il veille sur ce dernier.
- Encore une chose de demandé à son fils... Parce que l'on n'est pas capable de le faire soit même ?
- Ma- ..
- J'avais jamais remarqué à combien, tu pouvais être conne...
- Surprise, hein ? Néanmoins, cela ne change pas que je ne suis pas d'accord, et que Güiza veille à ce qu'il n'en fera rien.
- Güiza, Alejandro Oleivera. Appela Miguel.

Dans un coin de la pièce, ce fut comme si les ombres se rejoignirent pour faire apparaître Güiza qui se curait l'une de ses dents sans réellement faire attention à Maria, qui tourna le regard.

- Oui ?
- Tu peux me rendre un service ?
- Ca concerne Dakota ?
- Oui.
- Donne.
- Que t'as telle demandé ?
- De l'empêcher de faire des conneries monstrueuses et de nuire à l'ascension d'Enrique.
- Soit. Tu le laisseras désormais faire ce qu'il veut.
- Mort de rire... Foutage de gueule. C'est moi, la chef de famille, et...
- Dans ce cas, jouons ça dans un duel. Si je te fous ta râclé, tu fermeras ta gueule à jamais en ce qui concerne mes choix et mes envies et mon amour à l'égard de mes enfants, ET, tu réintègreras Papa au sein de la famille, lui laissant la place qu'il lui revient de droit.
- ... J'en vois déjà la fin de ce duel. Mais soit. J'exécuterais. Quant à toi, tu démissionneras du poste de Ministre.
- Qu'il en soit ainsi.

Dans la cuisine, les regards étaient écarquillés, et... Surpris. Rempli d'une stupéfaction étrange.
 
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♠ Eurotrash * - Cuando tu vienes... EmptyMer 20 Aoû - 12:31



Invité
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    Même personnages. 20h 35, le crépuscule tombe, une petite brise se lève et passa par les fenêtres ouvertes du Manoir, rafraîchissant l'intérieur des murs, mais inutile face à la tension de la cuisine, qui y régnait.


- Je te laisse choisir les règles du duel. Étant donné que tu es la chef...
- Miguel, c'est insensé. Tu vas te prendre un mur.
- Je le briserais, et je lui imposerais ma direction... A ce mur. Fit il, gardant son regard arrogant et vindicatif en direction de sa mère qui prenait parole.
- Tout est permis. Même les impardonnables.
- Non, là, je vous en interdis.
- Qu'est ce que tu vas interdire, Papa ? Laisse la chef faire ce qu'elle veut. Elle en a les droits...
- Miguel...

Ledit Miguel fit comme si il n'entendait pas réellement ce qu'elle venait de dire dans cette seule appellation. Le ton de voix venait de lui faire un roman, et il sortit délicatement de sa poche, une rose de fer, lui montrant ainsi quelque chose, un signe. Elle porta la main sur son coeur, levant doucement la tête vers les cieux, fermant doucement ses yeux, avant de les réouvrir. La table se poussa d'elle même. Güiza s'approcha de Maria, posant son regard sur Pedro qui semblait être particulièrement inquiet et énerver de n'avoir aucun pouvoir au sein de cette famille, à cause de sa propre femme. Miguel était inflexible. La Mama ne semblait pas vouloir lâcher prise, non plus. Elle se leva de sa chaise, retirant son châle. 9 clé sortirent de nul part, voletant avec force autours d'elle même. Miguel eut un sourire.

- Tu scelles ton destin.
- Parle tant que tu peux. Le Chef changera d'ordre à ce moment là.
- Hum... Fit elle avec arrogance.

D'un coup, une clé partit, puis une autre. Miguel écarta doucement les jambes, puis avec l'aide de sa baguette, il se mit à lancer des champios avec rapidité, et une précision étonnante. Chacun des sorts de la Mama était contrée, et bon dieu comme elle allait vite. Chacun de ses sorts étaient lancés à des intervalles de quelques secondes, mais cela ne semblait pas embêtait Miguel, qui parvint à les saisir pour n'en former qu'une boule magique particulièrement puissante, dans le creux de sa main. En l'espace de quelques secondes, il lui insuffla sa magie, puis, avec sa baguette, il pointa son souffle sur la boule et un puissant dragon de flamme s'en échappa pour se plonger avec férocité sur la Mama. Les flammes avaient une incroyable couleur verte, et l'on soupçonnait un feu démon. Les murs du plafond et sur les côtés s'étirèrent hors des flammes comme par peur de se voir brûler. La Mama joignit les plats de ses mains, et ses clés travaillèrent un champs de protection sur lesquels les flammes s'explosèrent. Cependant, le bouclier également, et elle dut transplané pour ne rien recevoir. Elle réapparut et Miguel lui susurra doucement...

- Transplané dans un duel, c'est le perdre, il me semble...
- Et si j'avais translocalisé mon corps ?
- Pourquoi le bruit fut si différent de la simple translocation ?

Miguel eut un sourire. La Mama tendit la main, et les 9 clés jaillirent à une vitesse, folle. Il pointa sa baguette pour se translocaliser mais l'une des clés de la Mama jeta un contre sort à ce moment là, le faisant tombé au sol, tandis que les 8 autres lancèrent un électro statik des plus violents. Le corps de Miguel fut complètement survolté, les yeux blancs, le corps convulsant. Elle lâcha l'emprise, puis elle poussa un cri de surprise. Miguel apparaissait doucement derrière sa baguette sous la gorge de la Mama, l'enfonçant de quelques millimètres.

- Qui est le boss ?

La Mama laissa tomber ses clés, ainsi que sa tête sur sa poitrine. Pedro eut un petit sourire, tandis que Miguel ajoutait :

- Il semblerait que désormais, Güiza, tu puisses faire ce que je t'ai demandé. A charge de revanche, ok ?
- Oui, Miguel.

Le corps de Miguel au sol éclata en fumée, laissant paraître une chaise de table, encore fumante.

- Dis le.
- Tu m'as battu.
- Incline toi, et réintègre Papa.
- Je ne me suis jamais incliné, ça ne sera sûrement pas...
- Il faut une première à tout. Une femme doit avoir son maître, que ce soit amour, ou autre. Toi, tu dois t'incliner.
- Tu me le paieras.
- Tu m'as déjà tant fait payé... Incline toi.

La Mama serra les dents. Son propre fils lui soufflait sa fierté, et l'atteignait dans son honneur de femme inflexible. Elle le regarda avec une haine violente, puis, elle se recula doucement, et s'inclina devant Miguel. Ce dernier pointa son père du regard, et il ajouta :

- Tu es à égalité avec Papa. Réintègre le.
- Je te haïs. Je te maudis.
- Laisse tombé, je porte du rouge.
- Tu... Pedro. Elle s'approcha de lui, doucement, le regard brisé, et elle lui dit : Pardonne moi. Mais tu m'as...
- Je sais, ma belle... Je sais...

Elle le serra dans ses bras, et une lumière blanche et diffuse s'empara de cette dernière. Pedro esquissa un sourire, et laissa paraître sur ses lèvres, un : Merci ! qui n'était pas audible, pour son fils qui eut un sourire douloureux. Il tourna son regard vers Maria lorsque son père transplana en compagnie de sa mère, et il ajouta :

- Un problème de régler.
- C'était... Elle avait les yeux pleins de lumière.
- Merci. Fit il, timidement.
- Je vous laisse, les amoureux. Bonne nuit. Il éclata de rire, et les ombres s'emparèrent de lui.
 
 

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