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 Visite Officielle (pv)

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MessageSujet: Visite Officielle (pv)   
Visite Officielle (pv) EmptyDim 3 Aoû - 23:01



Invité
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Ce jour là il y avait une ambiance toute particulière dans les couloirs de l'Institut Durmstrang. Les élèves murmuraient, les cris de la Banshee se mêlait aux hurlements du vent plus nombreux que d'habitude. Il y avait des bruit qui courraient depuis quelques jours et ce matin là le professeur Strigoï avait fait une annonce. Il allait bel et bien y avoir une visite officielle à l'école et bien que les élèves ne fussent en rien concernés (du moins on ne leur avait parlé de rien), on atendait d'eux qu'ils fassent bonne impression.

Durmstrang était connu pour sa rigueur et ses uniformes sévères, rouge l'été, noir l'hiver. Les élèves circulaient dan sle sérieux, droits comme des petits soldats mais c'était une habitude acquierie au fil des années d'études. Ici pas un qui fut ici d'une famille de sang de bourbe comme on le disait. Et les frasques des Orlov à l'étranger avait vite fait le tour, toute remarque admirative étant sèvérement reprise. Certes la prouesse de Wolfgang Orlov faisait parler mais il n'était pas très bien vu d'être pro-lycan dans cette école et encore on ne se gênait pas pour faire remarquer avec quel laxisme on traîtait les impurs à Poudlard, dixit le directeur lui même. Vlad Alexandrei Nospheratov, homme largement respecté et crainds même au delà des murs grisâtres et froids de l'Institut.

On entendit une cloche sonner midi tel un glas funèbre, la grande double porte s'ouvrit et les élèves se rangèrent immédiatement sur les côtés, le regard droit, laissant passer un homme d'assez petite taille, le teint blâfard et les cheveux longs et noirs. Un sourire carnassier et particulièrement lubrique dévoilait une dentition parfaite quoique les canines semblaient un peu trop affutées. Dante traversa, ouvrant les portes de la grande salle où il régnait un silence de mort, les élèves n'ayant même pas eu le temps de s'installer.

Il faisait très sombre dans cette grande pièce. On était en plein hiver et le soleil ne passait l'horizon que quelques minutes par jour au delà du cercle polaire. Le directeur sortit de l'ombre ajustant le col d'un manteau qui semblait étrangement lourd. Dante mit genoux à terre avec respect avant de communiquer un message silencieux.

Nospheratov lui fit un signe sévère de la tête. Dante se releva, rejoignant un homme à la chevelure châtain qui attendait à l'entrée de la Grande Salle tandis que Nospheratov tournait le dos aux élèves, s'enfonçant à nouveau dans le noir comme s'il avait glisser sur les ténèbres.
Il se rendait dans son bureau, laissant à Strigoï la charge des élèves. On fit sortir tout le monde de table comme une petite armée prête à encadrer le passage de trois personnages qui faisaient très déplacés dans ce décor mortifère et stricte bien qu'ils fussent accompagnés par les deux hommes de la grande salle.

Menoch frappa trois coups discrêt et ouvrit la porte se laissant précédé des visiteurs, eux même précédés par Dante qui ne s'intéressait aux marques de respect que lorsqu'elle lui était adressées de toute manière.
Nospheratov était là. Il ne dit pas un mot, ses deux généraux placés derrière lui. Menoch sur la gauche, Dante sur la droite.
 
MessageSujet: Re: Visite Officielle (pv)   
Visite Officielle (pv) EmptyDim 10 Aoû - 11:27



Invité
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Quatre ombres apparaissaient doucement dans l’ombre de quelques arbres aux abords d’une clairière à quelques kilomètres du château de Durmstrang. Un sourire apparait sous l’une des capuches sur une façade des plus basanés. On reconnaîtra là le visage d’un des plus puissants démonologues de ce siècle : Güiza Oleivera. Doucement, tout doucement, on le voit retiré délicatement sa capuche, laissant apparaître un regard amusé, une chevelure noir, profonde, courte et le peu de cheveux relevé en une courte crête. Sur son oreille gauche, il y a un diamant étincelant de milles feu, dont les rayons lunaires donnent cette impression qu’une étoile est attachée à son oreille. Il lève doucement la tête vers une silhouette qui vient d’apparaître doucement. Ce dernier se redresse délicatement, retirant à son tours son capuchon, avec un léger sourire. Güiza esquissa un drôle de rictus amusé, puis, il tendit doucement sa main vers son neveu qui murmura :

- Il fait froid, ici.

A sa gauche, une voix masculine, mais chaude et moqueuse se fait entendre. La capuche se retire presque par enchantement. Un léger sourire moqueur, hautain se fait apercevoir tandis que l’on voit un apparaître une cigarette d’un blanc pâle entre les lèvres du mexicain. Alicante Oleivera posa son regard sur son neveu et filleul, et il lui dit :

- C’est impeccable pour une promenade de santé.
- Ton humour, tu te le fous dans le cul, Alicante.

Et voici la Mama avec sa longue chevelure argenté qui voletaient derrière elle jusqu’à il y a quelques secondes. Enrique eut un léger sourire tandis qu’il emboîtait doucement le pas derrière elle pour être finalement suivi par les deux frères Oleivera. Plus aucun bruit ne se fit entendre, si ce n’est la clope d’Ali lorsqu’elle tomba doucement au sol. Rapidement, ils se mirent en marche, du moins au pas de course. La Mama semblait presque glisser au sol, tandis que Güiza et Alicante s’élançaient de branche en branches tels des singes bondissant avec une certaine aisance parmi les branches des profonds sapins noirs. Enrique, quant à lui, on ne savait réellement ce qu’il faisait, comme il se translocalisait toutes les dix secondes pour apparaître toujours plus loin, derrière sa grand-mère qui semblait connaître le domaine comme sa poche. Il avait le sourire, ils avaient tous le sourire. C’était comme si ils étaient tous plus ou moins obligé d’obtenir ce dont-ils avaient besoin. Narcissique ? Peut être…

Au bout de quelques kilomètres, Alicante posa pieds au sol, bientôt suivi par son frère. La Mama redressa doucement sa tête, contemplant le château de Durmstrang avec une certaine admiration particulièrement bien palpable. Enrique apparut à son tour, tandis qu’Alicante posait doucement son bras sur l’épaule de son neveu qui devait à présent faire sa taille, étant donné sa taille dû à son entrée, depuis peu, dans l’âge adulte. Quoique… Bref. Alicante lui montra du bout de l’index la bâtisse, et il dit :

- T’as vu où elle a vécut ta donzelle ?
- La pauvre… Ca devait pas être rose tous les jours.
- On est pas là pour se plaindre. Avançons.

La Mama avait parlé. Güiza affichait un sourire amusé, à demi-moqueur. Il était dans son univers, le cadet des Oleivera. Enrique posa son regard sur la Mama avant de regarder doucement Alicante qui cracha avec dédain au sol. Enrique l’imita. Erreur. Alicante et les deux autres se retournèrent vers Enrique qui murmura :

- Bah quoi ?
- C’est ma marque de fabrique, ‘Rico.
- Ah… Désolé.
- Si tu te mets à faire comme ton parrain, c’est pas gagné pour ton futur rôle dans la prophétie.
- Ca veut dire quoi ça, la centenaire ? Fit Alicante d’un air particulièrement blasé, tandis que Güiza regardait droit devant lui, l’air particulièrement démoniaque.
- J'vais t'en foutre de la centenaire, tu vas voir ton cul.
- Et si vous la fermiez pour accueillir les deux furies du maître des lieux ?

Enrique posa son regard sur Güiza, puis vers la nuit tombante où l’on voyait à peine le château se dessinait doucement. Il ne vit pas de suite, ce qu’il y avait à voir, car sa vision était trop humaine, contrairement à celle de son oncle, qui par son côté noir, semblait être plus proche de toutes créatures de la nuit que le contraire. Il désigna deux silhouettes qui commençaient à se dessiner dans leur champs de vision, et aussitôt, la Mama s’approcha d’eux. Enrique se calqua sur Alicante avec un léger sourire, lorsqu’il se mit en marche après que la Mama se soit écrié :

- On vous suit.

Automatiquement, ils suivirent les deux « hommes » avec une certaine méfiance. Du moins, pour Enrique. Alicante et Güiza ne montraient rien, mais ils étaient tous deux sur leur garde. La Mama, elle, avançait d’un pas sûr. Rien ne pouvait l’atteindre ce soir, et elle le savait, alors pourquoi bien se méfier ?

Rapidement, ils arrivèrent aux abords du château, montant les marches du perron de pierre sombre pour voir les portes s’ouvrirent devant eux. Enrique regarda doucement la scène en retrait avant de se remettre en marche lorsqu’il sentit Güiza se mettre derrière lui. Il y avait Jarvik, aussi. Enrique le sentait derrière lui. Güiza semblait d’humeur joueuse, mais le regard de la Mama lui valut de se tenir tranquille après qu’il est levé les mains en l’air pour dire qu’il n’avait « encore » rien fait. Alicante avait sourit, tandis qu’ils suivaient les deux zigottos voir le chef des lieux. Sur le chemin, ils passèrent devant la majeur partie des élèves du château, et Alicante ne put s’empêcher de s’arrêter devant cette armée de soldat, du moins, devant l’un d’eux précisément pour lui retirer un mouton de sa cape et de lui mettre dans la main, en lui disant doucement dans la langue russe :

- Tu as oublié de retiré ça.

Il lui fit un sourire moqueur, tandis qu’il reprenait sa marche. Enrique le suivit doucement, regardant chacun des élèves avec une certaine curiosité. Quelques choses en ces lieux l’impressionnaient fortement. Ce n’était pas la discipline… C’était plutôt l’aura qu’il y avait. Il y avait quelques choses d’effrayant mais de particulièrement attirant. Il se passa une main sur le menton, avant de remonter des marches et de traverser plusieurs couloirs avant de se trouver non loin du bureau de Vlad Nospheratov. Une légère boule se fit sentir dans le creux de son estomac tandis que sa gorge se nouait. Güiza lui murmura doucement :

- Calme toi, petit.

Enrique acquiesça d’un rapide signe de tête, juste avant que Dante n’ouvre les portes du bureau de Vlad qui s’approcha d’eux, enfin, qui se déplaça un peu pour les recevoir. Enrique sentit la haine monter en lui. Güiza lui murmura de nouveau, doucement :

- Doucement…

Enrique eut un léger sourire à l’encontre de Vlad. Un sourire assez canaille et qui a le don de taper sur n’importe quel système particulièrement bien dur et particulièrement hautain et arrogant. La Mama s’approcha doucement et parla.

- Merci d’avoir accepté de nous recevoir, Vlad.

Elle inclina doucement sa tête, avec politesse, et Enrique ne put s’empêcher de ressentir une certaine pointe d’exaspération. Qu’Est-ce qu’elle allait se casser les couilles à s’incliner devant cette chose qui n’était probablement pas humaine ? Non, qui ne l’était pas. Enrique eut un léger rictus arrogant, tandis qu’Alicante regardait la pièce avec un certain dédain. On l’entendit à peine murmurer :

- Bah, franchement, y a plus chaleureux…

Güiza sourit. Son visage était ténébreux.
 
MessageSujet: Re: Visite Officielle (pv)   
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Dante comme Menoch observaient sans rien laisser transparaître. Le Chef des Vampires inclina légèrement la tête devant Marguerita, lui rendant son salut. Mais pour les autre pas le moindre signe qu’il leur prêtait attention. Nospheratov se recula légèrement entre ses deux généraux, leur laissant ce qu’il appelait dédaigneusement les basse tâches. Il n’eut pas un seul regard pour Enrique qui à ses yeux n’était même pas un adulte quoique son statut auprès des Gitans lui servît de faire valoir et de laisser passer jusqu’ici.

Le visage de Nospheratov était particulièrement détendu, sachant que ses quatre là ne représentaient pas de menace pour lui, surtout pas ici à Durmstrang.
Le directeur eut une petite mine appréciative en regardant Guiza quoique ça ne manqua pas d’être fait avec une supériorité clairement affichée, quant à Alicante il avait ça de commun avec son filleul qu’on aurait dit qu’il était particulièrement sans intérêt pour le directeur de l’école.

Seule la Mama donc semblait retenir l’intérêt de Nospheratov. Il avait son regard posé sur elle comme si il tenait quelque conversation privée avec elle par le biais de la pensée mais s’eut tout aussi bien pu ne pas être le cas.
Après un long moment de silence ce fut Menoch qui rompit le silence. Tout comme il parlait, un homme, les yeux bandés d’un linge sanglant avança. Son aura semblait si faible qu’elle était presque néant et que sa présence relevait pratiquement de l’insignifiance. Il ne dit rien.

Menoch- Durmstrang n’a jamais était connue pour sa chaleur humaine.

Un mauvais sourire passa les lèvres de Dante qui reprit son égal en lui signifiant qu’il manquait de courtoisie:

Dante- Avez-vous fait bon voyage?

Comme il disait cela on aurait dit que la question s’adressait particulièrement à Enrique et ce serait souvent le cas au long de cette conversation.

Menoch- Inutile de tergiverser sur l’inhospitalité de la région…
Dante- Ce qui importe c’est d’être bien reçu n’Est-ce pas?

La phrase ne manquait pas de faire double sens n’aidant pas à détendre le climat tendu qui s’installait peu à peu, renforcé par le silence imposant de Nopsheratov et de cet homme si insignifiant à ses côtés, quoiqu’un peu en retrait.

Menoch- Cessez voulez vous’, coupa-t-il sèchement, ‘ nous vous écoutons? Vous avez demandez audience…

Le vampire était connu pour sa diplomatie pas pour donner dans les digressions inutiles. Dante arborait toujours se sourire carnassier qui lui allait si bien, incapable et peu soucieux de donner une image respectable de lui. Il n’avait jamais était quelqu’un de respectable, il l’avait souvent dit. En revanche on le respectait et on le craignait. A côté de l’homme à l’aura insignifiante, lui semblait être une supernova tandis que Menoch aurait été une simple étoile. Inutile de dire que ce n’était pas le moins important de la pièce que l’on allait jouer dans le bureau du Directeur ce jour là. Il fit un petit clin d’œil à Enrique avant de se tapoter doucement la lèvre inférieure de l’index, montrant quelques signes d’impatience, attendant de voir ce qui allait être dit…
 
MessageSujet: Re: Visite Officielle (pv)   
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- Durmstrang n’a jamais était connue pour sa chaleur humaine.
- Le contraire eut été étonnant, cher ami, lorsque l’on voit qui y vit…

S’écria Alicante, faisant un léger clin d’œil à Menoch, un léger sourire aux lèvres. Il ne fallait pas sortir de St Cyr pour comprendre qu’il faisait référence, tout comme Menoch, je pense, aux vampires qui n’avaient plus aucune once de chaleur dans le corps. Enrique eut un léger sourire, mais directement, il ressentit une profonde sympathie pour Menoch. C’était comme si il y voyait le bon du groupe. Il avait quelque chose d’intéressant, et son aura était particulièrement mystique, selon Enrique qui en éprouvait une certaine curiosité à son égard. Cependant, lorsque Dante prit la parole, Enrique tourna un regard, pour le moins polaire en sa direction, malgré un sourire particulièrement arrogant. Güiza, qui était non loin de là, s’approcha de son neveu, comme si il mettait Dante au défis d’approcher son neveu. Alicante était non loin de la Mama qui ne cessait de contempler Vlad avec une certaine insistance, comme si elle lui répondait, si il y avait eut une conversation télépathique.

- Avez-vous fait bon voyage?
- Un peu frais… Mais c’était assez vivifiant…

Répliqua Enrique, à la surprises des trois gitans. Visiblement, il semblait d’ores et déjà que les deux hommes ne pouvaient pas se piffer, et cela semblait pour le moins… Réciproque. Ce dont on n’aurait douté. Cependant, Alicante ne pouvait s’empêcher de ressentir une profonde fierté, tandis que la Mama souriait légèrement, chose assez… Surprenante. Surtout lorsqu’Enrique faisait de l’esbroufe.

- Inutile de tergiverser sur l’inhospitalité de la région…
- Ce qui importe c’est d’être bien reçu n’Est-ce pas ?
- Surtout par vous…

Alicante ne put s’empêcher de se dire pour lui-même : «  Ricooooooooo, mais on se déchaîne, putain ! » Ce qui aurait bien fait rire Güiza qui n’en pensait pas moins. L’oncle d’Enrique ne cessait de se retourner doucement pour regarder le visage imperturbable du jeune gitan. Güiza, qui était présent, avait un éternel sourire. La Mama, cependant, ne put s’empêcher de soupirer doucement, trahissant un certain agacement de la situation.

- Cessez voulez vous, coupa-t-il sèchement, nous vous écoutons? Vous avez demandez audience…
- Enfin, un homme de bon sens… J’ai cru qu’il n’y en avait aucun parmi, nous, Menoch.

La Mama esquissa un léger sourire envers Menoch, puis, elle reporta son attention sur Vlad, snobant totalement Dante pour qui elle ne ressentait qu’un profond mépris qu’elle ne prenait même pas la peine de caché. Cette dernière avait particulièrement bien analysé le vampire aux yeux bandés… Quelque chose lui disait qu’il n’était pas net, et qu’il fallait se méfier… Elle eut un sourire, en le reconnaissant. Enkil… Il n’avait pas été épargné par la prophétie, mais elle lui avait rendu un cadeau particulièrement intéressant en échange… Baal Eleazar… C’était les yeux d’Enkil que ce dernier possédait. La Mama se râcla légèrement la gorge, avant de dire :

- Il faut savoir que tout est entrain de bouger à l’ouest, comme dans l’est, dans le sud et dans le nord. Les 4 Saisons, les 4 éléments, mais aussi les moldus, et les diverses croyances mythiques, religieuses, et philosophiques sont en pleins changements. Pour certains, cela s’améliore, mais pour d’autres… On ne fera aucun commentaire.

Elle posa son regard sur Dante comme si il avait s’agit d’une merde particulièrement repoussante.

- Beaucoup soupçonne une évolution de l’humanité, mais c’est quedal… Où à t’on vu l’homme devenir intelligent ? Non… Tout provient des prophéties, et certaines se mettent en branle beaucoup plus rapidement que d’autres. C’est pourquoi, je suis venu ici, avec l’élu, l’ombre et le gardien. L’Ordre du Crépuscule va d’ici peu, connaître son apogée. Lorsque l’élu aura pris possession de son héritage, et que le soleil noir aura atteint son zénith, elle verra de nouveau le jour pour la 3ème et dernière fois.

Elle se passa doucement une main dans ses cheveux blancs argentés, avec une légère moue trahissant une profonde réflexion. Cette dernière reprit doucement la parole, lorsqu’elle reposa de nouveau son regard sur Vlad, après avoir regarder l’ensemble des personnes présentes exceptés Dante.

- C’est pourquoi nous sommes ici. Pour compléter et terminer ce que la prophétie souhaite faire pour amener l’Ordre du Crépuscule a voir le jour. En effet, vous, les hommes du don obscures, avaient un rôle particulièrement important à faire, et que vous avez accéléré alors que vous tranchiez la gorge de la reine des damnés.

Le regard d’Enrique sur la personne de Dante se noircit totalement pour devenir noir comme le néant lorsque ses iris se posèrent sur la personne de Vlad. Sa haine était perceptible par tous, mais le paradoxe étant son sourire narquois, et particulièrement coquin. Alicante, qui écoutait ce que la Mama disait comme si il buvait ses paroles, ne pouvait s’empêcher, lorsqu’il posait son regard sur son neveu, lui fait un léger clin d’œil ou afficher une moue admirative. Güiza ne bougeait pas, il ne bronchait pas, observant seulement. Jarvik était difficilement contrôlable dans un endroit aussi touché par l’enfer, à cause de ses habitants, il en était difficile de tenir Jarvik qui avait une puissante envie de se libérer, chose qu’il ne devait pas faire, car il devait être présent pour cette entretien à cause de la prophétie.

- Ce que vous gagnerez ? Une place dans ce monde… Ce monde que nous cherchons tous à avoir, et arrêtez la connerie humaine dans leur délire de supériorité face aux autres races… Je dois dire que c’est assez blessant pour de nombreuses races…

Elle parlait un peu pour elle-même, du moins, dans ce que l’on pouvait pensé. En réalité, elle jouait parfaitement bien la comédie, et le pire c’est qu’elle se révélait être particulièrement convaincante, avec son regard légèrement dans le vague, cette moue réfléchie, et cette expression de visage particulièrement profonde. Enrique, qui était là, ne cessait de regarder Dante et Vlad avec une certaine arrogance provocatrice. Et son sourire était tout sauf séducteur, bien qu’il avait ce petit air coquin….
 
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Marguerita- Enfin, un homme de bon sens… J’ai cru qu’il n’y en avait aucun parmi, nous, Menoch.

Menoch eut un sourire courtois. Un de ses sourires que Dante trouvait tellement surfait et hypocrite. Enkil quand à lui ne broncha pas, faisant comme si la situation lui échappait du fait de sa cécité plus que définitive. Pourtant il saisissait chaque chose dans ses moindre détail y compris l’agitation de Jarvik.
Nospheratov se tenait toujours coi, ignorant toujours aussi superbement les provocations à peine déguisées du moufflet Almadovar comme s’il c’était agit de la première chaussette d’un sang de bourbe.

Menoch- Il est bien connu que ce sont les femmes qui brillent là où les hommes font cruellement pâle figure’, fit-il pour répondre à Marguerita.

Au même moment Dante eut une pensée à l’intention de Menoch qui détourna le regard brièvement vers lui sans rien dire.

« Voyez vous cela, c’est que tu nous ferez presque de l’humour. Je t’en prie arrêtes là les courtoisie tue s écœurant »


Enkil eut un léger sourire sentant le regard de Marguerita sur lui. Il avait une attitude peu rassurante, ne laissant rien paraitre de ce qu’il pensait, si jamais il pensait. Les bras croisés, il semblait pensif ou peut-être ailleurs.

Marguerita- Il faut savoir que tout est entrain de bouger à l’ouest, comme dans l’est, dans le sud et dans le nord. Les 4 Saisons, les 4 éléments, mais aussi les moldus, et les diverses croyances mythiques, religieuses, et philosophiques sont en pleins changements. Pour certains, cela s’améliore, mais pour d’autres… On ne fera aucun commentaire.
Dante- Je vous retourne le compliment’, fit-il avec un sourire si mièvre que s’en était indécent.


Il ne semblait pas particulièrement soucieux de préserver un climat d’entente cordiale comme Menoch et d’ailleurs il se fichait royalement des remontrances silencieuses de ce dernier.

Menoch- Ce n’est pas le propos Dante. Continuez Marguerita je vous prie.
Dante- C’est tout là le propos justement Menoch. Tu as toujours était trop aveuglé par ton hypocrisie…disons diplomatie puisque tu y tiens. Mais c’est bien là le propos j’en ai peur. Je n’ai jamais trop aimé les propos à demi déguisé. Si tu as quelque chose à dire Marguerita, je suis tout ouïe…’, insista-t-il pour répondre au regard de la vieille bique.
Marguerita- Beaucoup soupçonne une évolution de l’humanité, mais c’est quedal… Où à t’on vu l’homme devenir intelligent ? Non… Tout provient des prophéties, et certaines se mettent en branle beaucoup plus rapidement que d’autres. C’est pourquoi, je suis venu ici, avec l’élu, l’ombre et le gardien. L’Ordre du Crépuscule va d’ici peu, connaître son apogée. Lorsque l’élu aura pris possession de son héritage, et que le soleil noir aura atteint son zénith, elle verra de nouveau le jour pour la 3ème et dernière fois.- C’est pourquoi nous sommes ici. Pour compléter et terminer ce que la prophétie souhaite faire pour amener l’Ordre du Crépuscule a voir le jour. En effet, vous, les hommes du don obscures, avaient un rôle particulièrement important à faire, et que vous avez accéléré alors que vous tranchiez la gorge de la reine des damnés.

Dante sourit à Enrique, expressément. Un flash s’imposa au jeune hispanique sans que les autres puisse s’en douter et la voix de Dante chuchottait dans sa tête comme un murmure pervers « J’espère que tu apprécieras les petites amélioration que Menoch et moi y avons apporté…elle était si délicieuse, j’y aie pris un pied d’enfer », dans le même temps Enrique pouvait voir Asphodèle embrasser Dante par bribe sans pouvoir bien distinguer si sa fougue venait du plaisir ou d’autre chose. Le vampire se retira de la tête d’Enrique, relevant le visage noblement, les mains croisées dans le dos.
Nospheratov avait son regard posé sur le gamin mais ça ne dura qu’un instant. Il semblait fomenter quelques sombre projet.

Menoch- Quel y serait notre intérêt?
Marguerita- Ce que vous gagnerez ? Une place dans ce monde… Ce monde que nous cherchons tous à avoir, et arrêtez la connerie humaine dans leur délire de supériorité face aux autres races… Je dois dire que c’est assez blessant pour de nombreuses races…
Dante-La connerie humaine me plait bien telle qu’elle est, nous ne cherchons pas une place dans ce monde dont vous nous parlez.
Menoch-Je dois reconnaître pour une fois que c’est assez vrai. Quel serait notre réel intérêt à nous préoccuper des affaires des mortels, hormis dans la mesure où notre Reine….

Il en parlait avec beaucoup de respect, posant son regard sur Enrique il s’interrompit. Enkil prit alors la parole :

Enkil- La Reine des Damnés n’a pas encore pris sa place, il reste une case vide sur l’échiquier et il y a fort à parier que beaucoup d’entre nous ne verront pas leur intérêt à servir vos prophétie Marguerita.
Dante- Les propheties naissent, sommeillent comme l’immortel jusqu’à ce que la bulle éclate.
Menoch- Nous avons déjà perdu beaucoup plus que nous n’avons gagné dans notre dernière bataille à vos côté. Comprenez, il ne sera pas facile de susciter l’engouement parmi les notres quand bien même nous le voudrions.
Dante…Et nous ne le voulons pas.
Enkil-… cela reste encore à débattre
Dante- Je ne crois pas que vous soyez réellement concernés par cette question …
Enkil- Sans doute.
 
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Ce qu’Enrique ressentit lorsqu’il vit ce que Dante lui envoya, fut une profonde colère. Une colère si grande que même le château en trembla dans ses fondations les plus profondes. On entendit presque un grognement de rage que Güiza ressentit, et à ce moment là, il explosa. Güiza sauta directement sur Dante, mais ce dernier fut retenu par Alicante qui tenait de le résonner.

- Arrêtes, frère… Tu…
- Lâche moi… Je vais lui montrer les enfers, à ma façon à cet enculé..
- Caaalme to-a !

Enrique ferma doucement les yeux, tandis qu’Alicante parvenait à contrôler Güiza. Cependant… Son ombre avait disparut. Elle n’était plus proche de lui, Jarvik avait disparu. Lorsque Güiza parvint à se calmer, et qu’il vit cela, il ne put s’empêcher d’écarquiller ses yeux, ses iris remplis de frayeur. Alicante se mordit la lèvre, avant de regarder Enrique et de l’imposer au silence. Ce n’était pas le moment, ce n’était plus le moment. Marguerita avait suivit la scène du coin de l’œil, mais n’avait rien dit. En faisant cela, Dante venait de sceller son destin, et elle ne put s’empêcher d’esquisser un sourire totalement moqueur et particulièrement narquois. C’est fou comme les cons scellaient rapidement leur destiné… Le moindre faux pas, et c’était entre 4 planches de bois qu’il allait se retrouver, et ceux, sans jeu de mot.

Ecoutant ce que disait les vampires, elle ne pouvait s’empêcher de trouver la chose totalement normale. Il était compréhensible qu’ils défendent leur bifteck. Qui ne le ferait pas, dans de tels situations ? Surtout qu’en plus, il avançait des contre-arguments cohérents. La Mama les regardait débattre, jusqu’à choisir le moment propice pour reprendre la parole.

- Il est vrai que vu comme cela, vous n’avez pas grand-chose à gagner… Mais…

Enrique coupa la parole. Il ne chercha pas à mâcher ses mots, et il exprima ce qu’il pensait directement, et sans tourner autours du mot. Il s’avança délicatement, sa cape voletant doucement derrière lui, s’approchant du bureau de Vlad, snobant les trois autres. S’approchant du bureau, il posa son poing gauche sur la table, tandis qu’il jouait de son index droit sur la table, comme si il montrait diverses tâches, pour appuyer son argumentation. Son regard était plongé dans celui de Vlad, et… Il était vrai que l’on ne pouvait pas faire plus tête brûlé que lui à ce moment là… Même Dakota, à côté de cela, était une armoire à glace. Et c’est pas peu dire. Pourtant, Enrique conservait un ton mielleux, arrogant, hautain, et particulièrement suave. Bref, beaucoup trop de sucres pour que ce soit bon à la digestion.

- La reine des damnés prendra partie lorsque je lui aurais demandé sa main. Que vous le vouliez ou non, elle et moi, c’est écrit depuis la nuit des temps. Je l’aime, elle m’aime. Des sentiments biens futiles pour des êtres totalement dénués de sentiments humains, bien qu’ici, il y ait deux de vos lieutenants qui pourraient réellement comprendre ce dont je veux parler.

Il releva son index vers Vlad. Güiza, derrière, restait calme, complètement abasourdis. Jarvik en était revenu, presque la queue entre les jambes. Alicante ne pouvait s’empêcher de le regard l’air totalement ahuri, une profonde fierté dans ses iris. La Mama ne pouvait pas s’empêcher d’adorer son petit fils… Il était… Juste comme il fallait. Un peu trop con, très tête brûlé, et beaucoup trop intelligent et diplomate pour se laisser bouffer. Ajouté à cela, de l’arrogance, de la fierté, et de l’eau de rose, et ça donne Enrique. Un cocktail particulièrement explosif que biens des chercheurs de sortilèges tentent de mettre à jour en concurrence à leur potes des potions.

- Vous avez perdu le jour où elle et moi, nous nous sommes rencontré. Rien ne nous séparera… Quoi ? Vous croyez l’avoir rendu inaccessible ? Que j’allais m’en détourner parce qu’elle est « morte » et que soit disant, elle ne pourrait plus avoir d’enfants… ? Mes enfants ? Mes héritiers ?

Enrique éclata de rire, baissant son index.

- Je crois que vous avez tous bu un sang particulièrement élevé en éthanol… Je peux faire des choses dont vous n’avez pas idée, et je suis persuadé que nous arriverons à vous démontrer que la vie entre une morte et un vivant est tout à fait faisable… La reine des damnées a pris position. La guerre, elle y sera. Que vous le vouliez ou non. On était juste venu vous tendre la perche pour que vous preniez également position… Mais soit.

Il se retourna vers les gitans, et il dit :

- On se casse. Pas la peine d’y user nos dents à déblatérer avec eux.

Il prit la direction de la sortie sous le regard d’Alicante qui était dans un état proche de la vénération. Güiza avait la bouche pendante, et la Mama avait les yeux brillant de fierté. Cependant, elle s’écria ;

- Enrique - chou, on ne part pas sans en avoir eut l’autorisation…
- Ah oui, c’est vrai… Pardon. Fit il, comme un enfant pris en faute, l’air hilare.
- Je suis fan ! T’as vu Güiza ? Il a des couilles ce petit !

Il n’y a pas besoin de préciser qu’Alicante était en mode : je suis trop fier de mon neveu.
 
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Visite Officielle (pv) EmptyLun 11 Aoû - 15:12



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Les élèves levèrent les yeux, sentant les murs trembler. Pour eux il ne faisait nul doute que c'était du fait de leur directeur. Pourtant pas du tout. Ce n'était pas du fait de Nospheratov mais bien du gamin de 17 ans qui se trouvait dans son bureau.

- Arrêtes, frère… Tu…
- Lâche moi… Je vais lui montrer les enfers, à ma façon à cet enculé..
- Caaalme to-a !

Chacun dans la pièce était témoin de cette scène, Dante un sourire provocateur aux lèv comme il se savait parfaitement intouchable. Menoch semblait de plus en plus exécré par le comportement de son aîné mais il se tenait tranquille. Nospheratov eu un regard en coin pour Enkil, lui même vaguement lassé de la foule qu'il y avait dans son bureau. Surtout compte tenu qu'il ne s'agissait pas non plus de la crème du raffiné pour le directeur de Durmstrang qui tolérait rarement de tels débordements en sa présence.

Marguerita allait poursuivre mais ce fut Enrique qui s'imposa. Il approcha du bureau ce qui provoca un mouvement chez les vampires qui portèrent leur main à la ceinture (Menoch contraint et forcé comme souvent) mais Nospheratov leva la main pour imposer le calme. Son regard froid et hautain écrasant Enrique de la façon la plus naturelle qu'il soit. Le mouflet posa le poing sur le bureau pour se donner du poids, Nospheratov eut un regard pour Marguerita avant de rendre son attention à Enrique.

Enrique- La reine des damnés prendra partie lorsque je lui aurais demandé sa main. Que vous le vouliez ou non, elle et moi, c’est écrit depuis la nuit des temps. Je l’aime, elle m’aime. Des sentiments biens futiles pour des êtres totalement dénués de sentiments humains, bien qu’ici, il y ait deux de vos lieutenants qui pourraient réellement comprendre ce dont je veux parler.

Enrique se permit de pointer Nospheratov du doigt, celui-ci ne cilla pas mais voyant ses généraux près de tirer l'épée il leva une nouvelle fois la main, montrant bien que ce petit gringalet ne lui faisait pas plus de soucis que le moucheron collé sur la surface gelée du lac dehors. Il laissa donc Enrique poursuivre.

Enrique- Vous avez perdu le jour où elle et moi, nous nous sommes rencontré. Rien ne nous séparera… Quoi ? Vous croyez l’avoir rendu inaccessible ? Que j’allais m’en détourner parce qu’elle est « morte » et que soit disant, elle ne pourrait plus avoir d’enfants… ? Mes enfants ? Mes héritiers ?

On entendit le rire de Dante se mêler à celui d'une autre personne qu'on avait pas remarqué jusqu'alors. Le tableau d'Erzebeth Bathory, juste derrière Nospheratov, elle qui se faisait si rarement remarquer. S'en suivit un phénomène assez étrange. Comme si les murs de tout Durmstrang c'était mis à chuchotter, on entendait des rires fantômatiques, des murmures à vous faire froid dans le dos. Il était vrai qu'il y avait peu de tableau à Durmstrang mais les fantômes prisonniers des murs n'avaient rien à envier pour ce qui était de donner une couleur locale, quoique des gens emmurés vivants ne pouvaient qu'être moins chaleureux que des tableaux hauts en couleurs.

Erzebeth- L'Amour est un bien léger argument face au temps mon petit', fit-elle de sa voix douceureuse, ' crois-tu qu'elle t'aimera encore quand les années te seront passé dessus encore et encore jusqu'à faire de toi une loque croulante alors qu'elle restera éternellement belle et jeune? Et quand bien même elle resterait, par politesse ou par respect, tu assumerais de lui faire porter une telle chaîne?
Dante- Tes héritiers sont déjà tous pourris jusqu'à la moelle, j'espère que tu connais un bon nécroman... oh j'ouliai presque. Ta petite fleur d'Asphodèle risque de ne pas le supporter...

Nospheratov se leva lentement. S'il n'avait pas encore fait subir à Enrique le suplice du pâle c'était bien parce qu'il était un pion important de son jeu d'échec. Roi des Shamans ou des pouilleux à peu de choses près pour le directeur de Durmstrang c'était la même chose. Il y avait cependant un certainoir qu'il ne pouvait pas négliger...

Nospheratov-Petit prétentieux.

Menoch baissa le regard. La situation d'Enrique lui faisait nettement mal. Il le regarder si jeune, plein d'espoir, trop peut-être. Il le leur avait dit et redit. Une vie de mortel et de damné. Jamais Asphodèle ne pourrait lui donner ses enfants qu'il semblait tant désiré.
Nospheratov eut un mauvais sourire.

Enrique- Je crois que vous avez tous bu un sang particulièrement élevé en éthanol… Je peux faire des choses dont vous n’avez pas idée, et je suis persuadé que nous arriverons à vous démontrer que la vie entre une morte et un vivant est tout à fait faisable… La reine des damnées a pris position. La guerre, elle y sera. Que vous le vouliez ou non. On était juste venu vous tendre la perche pour que vous preniez également position… Mais soit.
Nospheratov- Certains de mes généraux ce font très suceptibles quand il s'agit de leur Reine.', il laissa un petit silence avant de reprendre, parlant à Enrique et à lui seul, ' Asphodèle ne peut pas s'élever contre ma volonté, et en vous liant à elle vous êtes vous aussi entré dans ce cercle vicieux. Ce qui est au clan retourne au clan. Quoiqu'elle fasse ou qu'elle décide, quand bien même elle vous donnerait la main que vous avez bien fait de ne pas me demander, elle ne saurait se détourner de mon plan. C'est impossible. Mais permettez moi tout de même de vous souhaiter... la bienvenue dans la famille.

Il était inutile de préciser que cet accueil "chaleureux" était on ne peut plus sincère. Enrique semblait près de tourner les talons mais ce fut Enkil qui parla:

Enkil-Nous ne sommes pas encore parvenu à une entente, il serait peu judicieux de se quitter sur un litige qui en outre et plus une question personnelle qu'autre chose.
Menoch- Ne mêlons pas la Reine des Damnés à cela puisqu'elle n'est pas présente c'est que cette décision doit se prendre sans elle je suppose... ou que vous parlez en son nom.

Dante eut un bref regard pour le tableau d'Erzebeth. Il détestait les tableaux, c'était si peu ressemblant à son goût. Pour ce qui était de la réaction de l'Aîné, il n'était pas prêt de la digérer, du moins il ne tolérait pas qu'un vulgaire mortel posséde un tel pouvoir entre ses mains, une telle femme. Femme qui aurait du lui revenir (après qu'il eut évincé Menoch mais ceci n'aurait été qu'une formalité)...
 
MessageSujet: Re: Visite Officielle (pv)   
Visite Officielle (pv) EmptyVen 15 Aoû - 1:38



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- Tes héritiers sont déjà tous pourris jusqu'à la moelle, j'espère que tu connais un bon nécroman... oh j'ouliai presque. Ta petite fleur d'Asphodèle risque de ne pas le supporter...

Enrique se retourna doucement vers Dante, une expression victorieuse dans le regard, mêlé à sa touche très Enrique... Une pointe d'arrogance qui lui donnait un air séducteur, bien malgré lui. Il eut un léger sourire, une très belle esquisse, comme si il posait pour prendre une photo digne d'être mise dans une gallerie, et il lui dit doucement :

- Tu sais... Quand on a le pouvoir, on peut tout faire... Il s'approcha doucement de Dante, lui effleurant la joue avec douceur. Son aura pénétra le vampire avec douceur, lui insufflant délicatement la vie dans cette partie de la joue qui prit instinctivement une couleur chair, une couleur d'un être vivant. Enrique lui fit un clin d'oeil, se reculant doucement, avant de se tourner vers Vlad qui disait :
- Petit prétentieux.
- Monsieur. Fit il, hochant doucement de la tête, comme si il se présentait, enfin.

Autours d'eux, ils avaient beau avoir mis les mains sur les gardes de leur épée, Enrique n'en avait cure. Güiza commençait à sentir le démon, et Jarvik commençait à prendre forme, tout doucement, comme si la fumée sortait de Güiza. Une douce fumée... Un volute noir. Güiza semblait, comme se curer les dents avec l'aide de l'ongle de son pouce, avant de cracher au sol. Alicante, quant à lui, se tâtait l'omoplate, le regard et les autres sens aux aguets. La Mama ne put s'empêcher de sourire. Si il fallait se battre, elle éviterait cela. Une fuite. Mais pour le moment, elle attendait. Elle regardait, écoutait, attendant le signe de la prophétie. Enrique reprit la parole, après avoir posé son regard sur le tableau de Erzebeth.

- e crois que vous avez tous bu un sang particulièrement élevé en éthanol… Je peux faire des choses dont vous n’avez pas idée, et je suis persuadé que nous arriverons à vous démontrer que la vie entre une morte et un vivant est tout à fait faisable… La reine des damnées a pris position. La guerre, elle y sera. Que vous le vouliez ou non. On était juste venu vous tendre la perche pour que vous preniez également position… Mais soit.
- Certains de mes généraux ce font très suceptibles quand il s'agit de leur Reine.', il laissa un petit silence avant de reprendre, parlant à Enrique et à lui seul, ' Asphodèle ne peut pas s'élever contre ma volonté, et en vous liant à elle vous êtes vous aussi entré dans ce cercle vicieux. Ce qui est au clan retourne au clan.
- Encore faut il qu'elle se considère dans votre clan, et non dans ma communauté, Monsieur. Fit il, avec une pointe d'effronterie.
- Quoiqu'elle fasse ou qu'elle décide, quand bien même elle vous donnerait la main que vous avez bien fait de ne pas me demander, elle ne saurait se détourner de mon plan. C'est impossible. Mais permettez moi tout de même de vous souhaiter... la bienvenue dans la famille.
- Merci, Beau-papa !

Alicante esquissa un sourire léger. Jarvik était désormais à côté de Güiza, tel un jumeau aux traits bestiales. Ses yeux étaient rouges, tandis que ceux de Güiza prenaient une belle teinte d'or. Un fin pélicule semblait recouvrir les yeux noirs de Güiza. La Mama ne put s'empêcher de sourire. Son petit fils lui rappelait beaucoup sa propre effronterie, et son audace. Enrique allait faire de grande chose... Le truc, c'est qu'il pouvait, en outre, passer du côté de la barre des tyrans sans même s'en rendre compte. Il en avait le pouvoir... La Mama, s'en réellement le faire exprès, se mettait à le surveiller, comme pour éviter cela.

- Nous ne sommes pas encore parvenu à une entente, il serait peu judicieux de se quitter sur un litige qui en outre et plus une question personnelle qu'autre chose.
- Ne mêlons pas la Reine des Damnés à cela puisqu'elle n'est pas présente c'est que cette décision doit se prendre sans elle je suppose... ou que vous parlez en son nom.
- Nooon... C'est bien la seule femme à qui j'oserais demander conseil...

Alicante ne pouvait s'empêcher de trouver son neveu trop... Lui. La Mama secoua la tête légèrement, tandis que Güiza regardait ses ongles.

- Bon. Quel côté vous êtes ? L'équilibre du bien et du mal ? Ou non ?

Selon Marguerita, Enrique remontait dans son estime.
 
MessageSujet: Re: Visite Officielle (pv)   
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Enrique- Tu sais... Quand on a le pouvoir, on peut tout faire...

Dante accueillit la caresse d’Enrique avec un sourire mièvreusement lubrique, une docilité obscène et malséante. Le vampire feint un instant un plaisir exagéré qu’on ne lui reprocha même pas, trop habituer à ce genre de show de sa part.
Dans cet instant d’intimité si particulière avec le jeune garçon il en profita pour lui montrer quelques images sordides de sa belle en train d’accomplir l’acte amoureux avec une grâce mêlée de bestialité qu’on aurait pu imaginé ni dans ses plus beaux rêves ni dans ses pires cauchemars. Impossible de savoir si c’était là la réalité ou une image déformée que l’on transmettait mais Dante faisait partager à Enrique l’extase que lui avait procuré la bouche succube d’Asphodèle. Une si jolie bouche aux lèvres délicatement dessinées. Inspirer le mal, baiser la pureté dans la fange et se glisser entre ses cuisses pour la salir au plus profond. Dante n’avait jamais autant de plaisir que dans ce genre d’acte. Sauf peut-être dans ce qu’il pouvait en tirer encore longtemps après qu’il y les eu perpétré.

Profitant d’une intimité rare avec Enrique donc il lui donna ses images, se permettant de faire son choix dans la tête d’Enrique curieux de voir comment ce dernier avait porté le deuil de sa petite fleur foulée au sol. Et ce qu’il y découvrit ne fit qu’ajouter à son bien être…

Dante- Je ne suis pas sûr qu’elle appréciera de savoir que tu lui fais des infidélités’, fit-il feignant de parler de la caresse sur la joue mais il savait très bien qu’Enrique ciblerait exactement le véritable sujet dont-il s’agissait, ‘ heureusement que je suis là pour remettre les compteurs à zéro sinon il y a fort à parier que la petite fleur aurait sorti les griffes…’

Il eut un de ses sourires si sympathiques qu’ils ne pouvaient qu’être donné à vos dépends. Dante se délectait de mettre Enrique face à ses propres interrogations. D’ailleurs le plus insupportable était sans doute que ce vampire là était versé dans tous les péchés que l’on puisse imaginer mais pas dans le mensonge. Au contraire il semblait prendre un malin plaisir à toujours dire la vérité surtout quand elle n’était pas bonne à entendre. Enrique devait sûrement le savoir. Dante avait raison. Jamais Asphodèle ne pourrait bien prendre le fait qu’Enrique aie couché avec sa sœur et par ailleurs si elle n’avait pas eu elle-même quelque chose de ce genre à ce reprocher, peut-être ne lui aurait-elle jamais pardonner.
Dante la connaissait intimement bien sa Reine et il se devait, par pure méchanceté, de le laisser savoir à qui voulait bien l’entendre ou pas.

Nospheratov pour sa part se contentait d’observer de son œil de scientifique. Il était pleinement satisfait de ce qu’il voyait bien que rien n’y laisser paraître. Pour lui le fait que l’un de ses généraux aient pu violer sa fille ne faisait partie que des incidents de parcours totalement mineurs et négligeable. En outre ça ne faisait que servir Asphodèle. Elle devait apprendre de ses erreurs, et ne plus se montrer si faible à l’avenir. Donc dans l’ensemble il était satisfait de Dante, quoique ses méthodes eussent toujours laisser à désirer selon Nospheratov.

Nospheratov- Asphodèle ne peut pas s'élever contre ma volonté, et en vous liant à elle vous êtes vous aussi entré dans ce cercle vicieux. Ce qui est au clan retourne au clan.
Enrique- Encore faut il qu'elle se considère dans votre clan, et non dans ma communauté, Monsieur.
Enkil- Malheureusement je crains qu’il ne soit pas question de considération ici jeune homme. J’avoue qu’ayant vu votre grand pouvoir je ne peux qu’être admiratif cependant je ne peux m’empêcher de vous mettre en garde : la Reine des Damnés, si imprévisible qu’elle se soit montrée jusqu’ici, n’a pourtant jamais dévier des dessins de l’Ainé. Bien malgré elle je le pense…
Nospheratov- Quoiqu'elle fasse ou qu'elle décide, quand bien même elle vous donnerait la main que vous avez bien fait de ne pas me demander, elle ne saurait se détourner de mon plan. C'est impossible. Mais permettez moi tout de même de vous souhaiter... la bienvenue dans la famille.
Enrique- Merci, Beau-papa !

Nospheratov salua d’un signe de tête. Intérieurement, les bonnes manières en moins (ce qui n’était pas étonnant quand on voyait l’ascendance d’Enrique), il faisait tout de même un bon parti du point de vue génétique. Si il parvenait à faire ce qu’il c’était mis en tête de faire, Nospheratov ne pourrait que s’en réjouir.
Enkil et Dante ne purent s’empêcher d’esquisser un sourire face à l’effronterie du morveux de Miguel Almadovar, venu dans ce même bureau quelque mois auparavant. Menoch lui restait muré dans un silence de plomb, comme plongé dans une longue réflexion.

Enkil- Ne mêlons pas la Reine des Damnés à cela puisqu'elle n'est pas présente c'est que cette décision doit se prendre sans elle je suppose... ou que vous parlez en son nom.
Enrique- Nooon... C'est bien la seule femme à qui j'oserais demander conseil...
Menoch- C’est bien avisé de votre part.
Enrique- Bon. Quel côté vous êtes ? L'équilibre du bien et du mal ? Ou non ?
Dante- Je me contrefiche de l’équilibre, les autres vampires te diront de même. Je suis sûr que même les dégénérés de moines de Menoch n’iraient pas se joindre à une cause qui les desservirait. Il te reste encore beaucoup à apprendre petit, notamment qu’en affaire il faut savoir intéresser le client. Ta petite fleur d’Asphodèle aurait deux ou trois choses à t’apprendre là-dessus. Elle a toujours su se montrer convaincante.
Enkil- Ne parlons plus d’elle. Dante à raison. Quand bien même nous vous suivrions, rien ne garantirait que nos enfants accepteraient de se sacrifier à une cause qui n’est pas la leur. Nous voulons simplement savoir quels seront nos intérêts si infimes soient-ils dans tout cela.
Menoch- Il faudra bien autre chose qu’un principe d’équilibre pour séduire les plus fourbes.
Dante- Pourquoi tu me regardes?’, fit-il avec un brin de séduction avant de revenir au sujet, ‘ quelque chose de plus concret serait effectivement bienvenu. Un accord de principe par exemple.
Menoch- Dans la mesure de ce qui est raisonnable.

Il interrogea Nospheratov avant de poursuivre parce qu’il se devait d’avoir en primeur son avis et de ne pas le froisser :

Dante- Nous demandons la pérennité de nos territoires à l’Est. Les clans de Russie ont beaucoup souffert des chasseurs de prime et des battues. Ils ont beaucoup moins de ressources que nous et nous ne pouvons pas sans cesse veiller à leur protection. Nous nous réservons le droit de demander assistance en temps venu en échange de notre collaboration. Dans une mesure raisonnable, bien entendu’, il eut un mauvais regard pour Menoch.

Cela pouvait beaucoup surprendre d’entendre Dante s’exprimer ainsi. Semblant plus sérieux et réaliste que jamais et pire, soucieux d’autre chose que de sa petite personne. C’était dans ces rares situations où l’on pouvait se rendre compte qu’il avait non seulement l’étoffe d’un puissant ancien, mais qu’en plus de ça il pouvait être l’adversaire le plus dangereux car le plus imprévisible. Seul le chaos l’intéressait. Il n’avait aucun amour pour les notions telles que l’équilibre et d’ailleurs il ne les jugeait pas meilleures que la destruction. Au contraire le chaos permettait de donner la même chance à chacun en quelque sorte. Ce n’était pas juste. Pas plus que de baser ce qui l’était sur la subjectivité d’un homme ou d’un autre. Le chaos était donc le meilleur des choix possible.

Le plus amusant c’était que si il avait vraiment voulu s’en donner la peine il aurait pu mettre au défi n’importe qui de lui prouvait qu’il avait tors. C’était impossible. On ne pouvait que rétorquer sur des divergences d’opinions et d’affinité, pas sur le principe même.
 
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Lorsqu'Enrique l'avait effleuré du bout des doigts et qu'il s'était retourné, la Mama entraperçu les images que Dante lui envoyait directement dans sa tête, et elle sut, en l'espace de quelques secondes, qu'il fallait qu'elle aide Enrique à contenir son pouvoir qui allait exploser sous une montée violente d'émotions et de sentiments pour le moins étonnant. Son corps sembla s'illuminer en plein. La lumière était quasiment la même que celle du soleil qui devait se dresser fièrement sur le monde de l'occident. La haine qu'il semblait faire preuve, en cet instant présent, était peine à croire, et de mémoire d'hommes, il était, je pense difficile d'imaginer qu'un jour, quelqu'un est pu égaler la haine qu'il ressentait à l'égard d'une autre personne. Les tatouages qu'il avait sur son corps, semblèrent s'enflammer laissant apparaître ses tatouages avec une jolie couleur similaire au magma en fusion. Son corps semblait se consumer, car de la fumée, un doux volute semblait s'élever tout autours de lui, alors qu'il semblait être dehors, sous un vent fort. Ses vêtements bougeaient en tout sens, et ses cheveux voletaient à tout vent. Il ferma doucement ses yeux grisonnants, pour les réouvrir tout aussi noir que le chaos en lui même.

- Je ne suis pas sûr qu’elle appréciera de savoir que tu lui fais des infidélités’, fit-il feignant de parler de la caresse sur la joue mais il savait très bien qu’Enrique ciblerait exactement le véritable sujet dont-il s’agissait, ‘ heureusement que je suis là pour remettre les compteurs à zéro sinon il y a fort à parier que la petite fleur aurait sorti les griffes…
- La vie est une roue. Fais attention... Le coup de manivelle que tu vas te prendre dans la gueule risquerait d'être un peu trop fort pour ton beau visage...
- Et il risquerait d'arriver plutôt que prévu...

A savoir que Güiza, en cet instant, ne faisait plus qu'un avec son démon qui était totalement en lui. Son regard était jaune, dorée, et son corps semblait être dans une surbrillance noir. Ses dents blanches auraient presque éblouie la pièce, lorsqu'il se passa la langue dessus, avec un petit air appréciateur, tandis que ses yeux dorées étaient posés sur la personne vampirique de Dante. Enrique, lui, ne disait rien. La Mama luttait de toutes ses forces, tandis qu'elle était aidée par la raison d'Enrique. Néanmoins, cela semblait être une bien piètre force, car il était toujours aussi virulent. Cependant, lorsque ses yeux redevinrent d'un gris orageux, la Mama se laissa aller dans les bras de Güiza comme pour s'y reposer. Enrique semblait être redevenu lui même, et ses tatouages semblaient beaucoup moins diffuser cette lumière du soleil. En Enrique, il y avait plus d'un pouvoir, semblerait il... Il reprit à parler avec son arrogance coutumière, évitant de poser son regard sur Dante pour éviter de lui régler son compte maintenant.

- Je me contrefiche de l’équilibre, les autres vampires te diront de même. Je suis sûr que même les dégénérés de moines de Menoch n’iraient pas se joindre à une cause qui les desservirait. Il te reste encore beaucoup à apprendre petit, notamment qu’en affaire il faut savoir intéresser le client. Ta petite fleur d’Asphodèle aurait deux ou trois choses à t’apprendre là-dessus. Elle a toujours su se montrer convaincante.

Enrique crispa sa mâchoire, et Alicante s'approcha de ce dernier, non sans gêne. 'Rico releva doucement son regard vers Dante, un sourire sur ses lèvres.

- Elle a toujours été très convaincante...
- Faut dire qu'elle a de quoi...

Le neveu du gitan tourna doucement son regard vers ce dernier avec un sourire de remerciement. Alicante connaissait bien son neveu pour savoir qu'en ce moment précis, il luttait énormément pour ne pas tout envoyer chier.

- Ne parlons plus d’elle. Dante à raison. Quand bien même nous vous suivrions, rien ne garantirait que nos enfants accepteraient de se sacrifier à une cause qui n’est pas la leur. Nous voulons simplement savoir quels seront nos intérêts si infimes soient-ils dans tout cela.
- Il faudra bien autre chose qu’un principe d’équilibre pour séduire les plus fourbes.
- Pourquoi tu me regardes?’, fit-il avec un brin de séduction avant de revenir au sujet, ‘ quelque chose de plus concret serait effectivement bienvenu. Un accord de principe par exemple.
- Dans la mesure de ce qui est raisonnable.

- Cela va de soit... Fit elle, en se dégageant doucement des bras protecteur de Güiza, malgré le démon qui était parfaitement présent.
- Nous demandons la pérennité de nos territoires à l’Est. Les clans de Russie ont beaucoup souffert des chasseurs de prime et des battues. Ils ont beaucoup moins de ressources que nous et nous ne pouvons pas sans cesse veiller à leur protection. Nous nous réservons le droit de demander assistance en temps venu en échange de notre collaboration. Dans une mesure raisonnable, bien entendu’, il eut un mauvais regard pour Menoch.
- Ahah ! Des vampires qui ne savent lutter pour leur terre...
- ... Mais où va le monde !!!

Güiza éclata de rire, tandis que la Mama esquissait doucement un sourire.

- Cela va de soit, c'est sûr... Néanmoins, un point important me semble à se révéler. Qu'est ce qu'il peut nous prouver que vous ne tourniez pas votre veste comme vous le fîtes durant le bal d'Halloween à Poudlard ?

Enrique esquissa un sourire. On aurait été dans un dessin animé, il lui aurait envoyé un coeur en faisant un bisou sur sa main pour lui envoyé avec un clin d'oeil.
 
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Alicante- La vie est une roue. Fais attention... Le coup de manivelle que tu vas te prendre dans la gueule risquerait d'être un peu trop fort pour ton beau visage...
- Et il risquerait d'arriver plutôt que prévu...

Le petit coup de colère d'Enrique n'était pas passé inaperçu, pour Menoch qui était le plus jeune (catégorie immortel s'entend), il fallut même détourner un instant le regard le temps de s'accoutumer à cette lumière si semblable à l'astre du jour. Pour autant, elle était sans effet sur les vampires, du moins l'effet n'était pas visible physiquement.
Nospheratov eut un petit sourire appréciateur que la lumière dégagée éclipsa complètement. Cette visite lui permettait d'évaluer le potentiel de son futur héritier comme Cthulgha le lui avait laissé voir, et il était plutôt satisfait. Il pousserait même le vice à complimenter Marguerita sur sa descendance plus tard, quand les visions de la Banshee se seraient effectivement réalisées.
Enkil eut un léger sourire et on l'entendit murmurer "jolis tatouages" quoiqu'on se demanda bien comment il pouvait le savoir puisqu'il était aveugle.
Quand à Dante... ah Dante, il avait toujours la réaction la plus...bizarre c'est tout ce que nous dirons. Son regard était simplement posé sur Jarvik, avec une moue qui semblait appréciatrice et calculatrice surtout.
Menoch passa une main dans ses cheveux longs (parce que la narratrice doit se préparer psychologiquement __ ). Les discussions tournant autour d'Asphodèle le désolaient plus qu'autre choses parce qu'elles étaient avant tout un point de conflit alors qu'elle aurait du être un point de ralliement. Seulement Dante avait cette manie de vouloir la reine pour son propre cercueil ce qui n'arranger pas les négociations.

Marguerita- Cela va de soit, c'est sûr... Néanmoins, un point important me semble à se révéler. Qu'est ce qu'il peut nous prouver que vous ne tourniez pas votre veste comme vous le fîtes durant le bal d'Halloween à Poudlard ?
Dante- C'était un choix personnel qui n'engageait que moi et d'ailleurs ça ne serait pas arrivé si vous aviez été plus compétents. Je n'ai nullement l'intention de vous servir de chair à canon, nous vous aideront dans la mesure de nos intérêts communs, du moins c'est ce que je propose à charge des autres de donner leur avis...Menoch?"
Menoch- Je vous trouve d'une arrogance déplacée Dante, en ce qui me concerne je servirai les intérêts d'Asphodèle', il regarda Nospheratov, lui rappelant bien que leur alliance forcée n'allait que dans ce sens et uniquement dans ce sens, ' si elle en est mon clan en sera aussi et ce qui nous suive.
Nospheratov- On ne vous demande pas votre avis Enkil?', il fit signe que non, ' est-tu satisfaite Marguerita?

Il était toujours aussi calme et poli.

 
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