Ariane- Willaraaaaaaa!! C'est pas le moment.
Willara-J'veux pas. Non laisse moi!
Ariane-Tu discutes pas j'ai dit!

Ariane attrapa sa fille par la taille avec une poigne de fer qui surpris Willara si bien qu'un instant elle cessa de se débattre. Elle ne voulait pas partir sans William. Ariane non plus mais elle devait mettre ses filles à l'abris et revenir le chercher. Elle ne pouvait pas prendre le risque de les perdre tous comme ça. Elle ne voulait pas perdre William mais c'était une femme de sang froid, même dans ce genre de situation elle était toujours capable d'agir raisonnablement et de garder la tête froide.

Orphée dans ses bras, Willara qu'elle tenait fermement, Mélusine et Nymphadora qui suivaient de très près. Elle avait réussi à sortir ses filles de la cohue maintenant il fallait qu'elle sache où aller. Elle ne pouvait pas transplaner avec toutes ses filles jusqu'aux Etats-Unis, c'était beaucoup trop loin, elles étaient beaucoup trop nombreuses.

Willara-Williaaaaaaam! Non lâche moi!!!
Ariane- Ca suffit maintenant Willara!', elle s'arrêta brusquement, pour sermoner sa fille, il le fallait sinon elles ne pourraient pas avancer, pire les cries et les pleures de la jeune serpentard risquaient d'attirer l'attention,' je retournerai le chercher dès que je vous aurai mise en sureté. Maintenant conduit toi en adulte s'il te plait.

Elle la regarda droit dans les yeux. Levant les yeux aux ciels elle aperçu des patrouilleurs sur leur balais. Des mangemorts. Elle fit signe à tout le monde de ne pas bouger, rabattant une capuche sur les cheveux blonds de Mélusine qui la trahissaient.
Ariane avait noué ses cheveux en une longue tresse que ses enfants ne lui avaient que très rarement vu. C'était très différent de son habituel chignon tiré à quatre épingles. Elles attendirent un petit peu que les patrouilleurs soient loin, et Ariane fit passer ses filles une à une devant elles avec un regard plus encourageant pour Willara.

Elle pensait pouvoir les cacher pour quelque heure dans une vieille maison qu'elle connaissait sur près au lard. La maison hantée comme on disait. C'était une ruine quasi impratiquable mais là au moins ses filles seraient en sûreté et Ariane savait que William connaissait cet endroit. Ca lui ferait une chance de plus de retrouver son fils.
Elle fit presser le pas aux quatre filles. Orphée pleurait sans bruit le visage contre la gorge de sa maman. Ariane continuait de la porter quoiqu'elle la ralentisse. C'était la plus fragile.
Elles atteignirent enfin la maison hantée, si seulement elles avaient su que William devait y passer seulement quelque heures plus tard...

Elle ouvrit une trape dans le plancher d'un coup de pied, révélant un viel escalier vermoulu. Elle leur éclaira le chemin d'un lumos, les faisant passer devant comme toujours mais elle même s'arrêta à mi-chemin.

Mélusine-Mais qu'est-ce que tu fais?
Willara-Maman?
Ariane-Je vais chercher votre frère
Orphée-Non pars pas.
Ariane-Je serais de retour dans une heure, je ne veux pas que vous fassiez le moindre bruit et tout ira bien. Vous descendez les escaliers et vous m'attendez en bas.
Willara-Et si tu reviens pas!
Ariane-J'ai dit que je revenais
Willara-Ouais comme papa...c'est exactement ce qu'il a dit!
Ariane-Willara ce n'est vraiment pas le moment. Veille sur tes soeurs. Je reviens.

Elle prit bien soin de refermer la trappe et tira un tapis poussièreux dessus. Et comme elle l'avait dit elle revint une heure après mais sans William. Intérieurement elle était morte d'inquiétude. La seule chose qui lui donnait un peu d'espoir c'était de n'avoir pas trouvé de corps. Il était intelligent, plus que la moyenne il se serait débrouillé. Elle en était convaincue mais ça ne l'empêchait pas d'être morte d'angoisse. Elle fit sortir ses filles en quatrième vitesse les conduisant à un endroit qu'elle jugeait sûr dans une forêt.

Elles s'intallèrent à couvert. Ariane soigna succintement les blessures des unes et des autres.

Mélusine-J'ai froid.

Ariane la couvrit de sa cape. Essuyant le visage de Willara d'une main douce parce qu'elle pleurait. Nymphadora serrait Orphée très fort contre elle, tandis que leur mère observait l'extérieur, comme à l'affut de quelque chose. Il y avait un silence de mort à peine entrecoupé par quelques sanglots.
Ariane se redressa légèrement. Elle se leva sans un bruit. Son visage était sale, bien loin de la parfaite mère de bonne famille qu'elle était tous les jours. Elle s'était rapidement bandé l'épaule qui avait du accuser un sortilège. Sous sa robe de sorcière qu'elle venait de passé à Mélusine pour la réchauffer elle porter un tee-shirt sans manche noir, juste au corps, et un pantalon.
Elle sortit, la baguette à la main parce qu'elle avait entendu quelqu'un. La main dans le bas du dos sur le chargeur d'un arme moldue chromé. Pas qu'elle aie plus confiance en ça qu'en sa baguette mais l'effet de surprise n'était jamais négligeable.

Elle sentit qu'on faisait le tour. Elle fit volte-face braquant d'une main son arme, de l'autre sa baguette, un sortilège de doloris prêt à partir. Ariane Slayers était une lionne lorsqu'il s'agissait de sa famille...

-
-

GÜIZA OLEIVERA, THOMAS SLAYERS.
A lot of things aren't so simple.

- Tu penses avoir une chance face à moi ? Fit le gitan avec un sourire particulièrement mauvais.
- Tsss... Ta gueule ! Lança le mangemort alors que de sa baguette jaillissait un sort.

Güiza eut un sourire. Il lui fit un clin d'oeil alors que le sort fusait vers lui, puis d'un coup, une ombre profonde apparut devant lui, déviant le sort vert d'un coup de poing pour aller s'abattre sur un homme qui s'envola dans les airs. Güiza éclata d'un rire machiavélique, alors que le démon se mettait sur le côté, se léchant les babines.

- Il semblerait que Jarvik n'approuve pas ta façon de combattre...

De nouveau, Güiza éclata de rire, tandis que le Mangemort se mettait à lui relancer une salve de sort que Jarvik saisit pour en réduire des poussières magiques et multicolores... Jarvik posa son regard sur Güiza qui se tenait les côtés...

- Oui, Jarvik, oui... Va lui montrer ce que fait un démon... Fais en ce que tu veux... Tu sais bien que je ne peux rien te refuser, dios...

Jarvik eut un rire sadique, et surtout obscène. Trop obscène. Güiza regardait la scène avec un regard profondément diabolique, un sourire tendre sur ses fines lèvres. Le mangemort ne put s'empêcher de pousser un cri de peur lorsqu'il vit Jarvik fondre sur lui. Au dernier moment, le démon s'éclipsa dans une volute de fumée pour réapparaître derrière le mangemort qui reculait, sa baguette tendue. D'un coup, le démon saisit les bras du mangemort pour les lui briser avant de les replier dans son dos, et de poser son nez sur la peau du mangemort. Autours, c'était comme si la scène était imperturbable. Rien ne les embêtait. De temps à autres un sort parvenait sur Güiza, mais il le renvoyait d'un revers de main. D'un coup, le démon ouvrit sa gueule, et explosa littéralement le cou du mangemort qui parvenait plus à crier. Le démon lui avait arraché la jugulaire et les cordes vocales. Encore un coup de dents, et ce fut la trachée qui fut sectionnée. Jarvik eut un rire avant de regarder Güiza et de lui faire signe de s'approcher.

Le frère d'Alicante s'éxécuta avec la bouche en coeur. Il s'avança doucement, trempant ses mains dans les sang du mangemort pour les tendre à Jarvik. Ce dernier eut un sourire avant de saisir les mains de Güiza avec une certaine douceur, pour lui retirer avec douceur le sang qu'il venait de se mettre sur les mains, comme scellant un pacte. Güiza se releva doucement, posant son regard sur le mangemort entrain d'agonir, et il sortit une fiole de quelques centimètres de hauteur.

- Comme d'hab', hein, Jarvik ?

Il eut un sourire, Jarvik se pencha doucement sur le corps qui commençait à perdre vie pour en retirer doucement, une petite boule lumineuse... Elle était toute petite, infime. Un fragment. Jarvik souffla doucement dessus pour que Güiza l'intercepte et l'enferme dans son tube avant de le sceller et de le ranger. Jarvik acheva le mangemort, en lui arrachant le cou, le décapitant. Le démon se releva, retirant délicatement la jugulaire du cou, tandis que Güiza se retournait délicatement pour observer la scène. Visiblement, Alicante avait dit de fuir. Le mur explosa, et Jarvik se jeta sur Güiza avec force. Le gitan se sentit décoller pour aller se ramasser un peu plus loin, près de la grande ouverture que Taslim avait faite.

- Je t'aime trop, quand tu me fais ce coup là...

Jarvik éclata de rire, Güiza se releva doucement, et s'approcha de Thomas qui fermait la marche, tandis que Dakota et les autres tentaient de lancer encore des sorts, mais en vain. Thomas posa son regard sur Güiza et il lui demanda :

- S'il te plaît... Trouve les...
- Oui, Thomas.


Un volute noir, et il venait de se translocaliser dans un endroit de Poudlard.

[...]

- J'ai froid.

Güiza eut un sourire. Regardant doucement les enfants, enfin, les filles de Thomas en compagnie de leur mère. Elles fuyaient. Elles fuyaient... Güiza regardait Arianne, il fallait qu'il lui parle, sans que ses filles ne s'en rendent compte, du moins, pour le début, au risque de leur faire peur et qu'elles se cassent toutes en courant comme des malades. Güiza la vit s'éloigner doucement, et d'un coup, il se mit à ses trousses. Ce fut rapide comme présentation. Bien qu'ils se connaissaient déjà, cette dernière semblait ne pas le reconnaître malgré son charisme reconaissable... Sûrement était elle beaucoup trop stressée à cause de ses filles ? C'était compréhensible, et un nuage sombre voila le visage de Güiza lorsqu'elle pointa arme et baguette sur son visage.

- BOUH !

Jarvik eut un petit rire que seul Güiza entendit, tandis que ce dernier arborait un sourire désinvolte et arrogant.

- Tu veux que je lève les mains ? Fit il avec un petit air sulfureux et canaille.

Elle était donc de dos, sentant l'intrus dans son dos. Il ne lui fallut qu'une seconde pour faire volte face, son Taurus et sa baguette en joug. Elle reconnu immédiatement l'homme qui lui faisait face, un petit sourire trop désinvolte pour ne pas être Guiza mais on est jamais trop prudent.

Guiza- Tu veux que je lève les mains ?
Ariane- Non, si tu es vraiment Guiza, tu m'en voudras pas.

Et sans autre forme de procès elle lui colla une balle entre les deux yeux, sachant que le vrai Guiza n'aurait pas grand chose à craindre. Et effectivement c'était le vrai Guiza.

Elle rangea immédiatement son arme à l'arrière de sa ceinture. A noter que c'était une des première trouvailles de Changelin' mais que c'était une de ses préférées. Sentimentale. Et puis elle n'aimait pas tellement les armes à projectiles explosifs comme le vampire. Elle préférait faire dans la simplicité que dans le hardcore.
On lui avait envoyé Guiza en renfort. Un sorcier chez qui elle avait pu remarquer une certaine forme de douceur, déplacée mais unique en son genre. Elle l'appréciait.

Ariane- Alicante t'envoie? Jai ramené mais filles jusqu'ici mais on a des mangemorts sur nos talons et je n'ai pas pu retrouver mon fils.

Claire et concise, elle était habituée à faire des rapports de mission à Alicante et en général elle ne s'étalait jamais au delà de trois phrases. Elle était très eficace dans tout ce qu'elle faisait en général donc il était normal que même là elle aille droit au but.

Elle srcuta un instant les alentours. Pour le moment pas de signe des autres. Elle fit signe à Guiza de la suivre vers l'endroit où se cachaient les filles mais...

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GÜIZA OLEIVERA____-

- Non, si tu es vraiment Guiza, tu m'en voudras pas.

PAN ! Elle tira et la balle percuta Güiza en plein entre les deux yeux. Automatiquement, la tête de Güiza partit en arrière, tandis qu'il se mit à tituber doucement, comme reculant, avant d'éclater de rire, et de relever doucement la tête, le trou toujours bien visible. Seulement, il n'y avait pas une trace de sang humain. Güiza eut un sourire, un petit sourire, comme si il venait de réaliser une superbe représentation d'un spectacle d'équilibriste, avant de lever doucement les paumes vers les cieux, tout en gardant les bras contre son corps. Il pencha sa tête en arrière avec douceur, puis, ce fut comme si son corps se dédoublait doucement. L'un des deux corps prit une violente teinte noire, un noir profond, une totale abscence de couleur, avant de se redresser doucement, juste devant Güiza qui relevait la tête avec un sourire bien visible. La balle ressortit doucement de la tête de Jarvik avec un sourire amusé. Il se lécha les babines, et Güiza posa sa main sur l'épaule du démon qui se retourna pour contempler Güiza. Ce dernier tendit ses bras de façon à former un croix avec le reste de son corps, et le démon pénétra de nouveau dans son ombre, bien que vu du point de vue d'Arianne, c'était dans son corps, que Jarvik entrait.

- T'as vu ? Je ne t'en veux pas.

Un léger sourire se balada paresseusement sur les lèvres de Güiza qui posa son regard autours de lui, l'air tout à coup beaucoup plus sérieux. Elle rangea ses armes, tandis que Güiza ramenait doucement ses yeux noirs arrogants, mais plein de paresse, vers Arianne, toujours son sourire aux lèvres.

- Alicante t'envoie? Jai ramené mais filles jusqu'ici mais on a des mangemorts sur nos talons et je n'ai pas pu retrouver mon fils.
- C'est Thomas qui m'envoie, Ariane. Une lueur pleine de malice traversa le regard noir de Güiza. Ce dernier ajouta tout aussi paresseusement : Quant à ton fils est partit avec Satine, il y a quelques minutes.

Güiza leva doucement sa main comme pour demander à Ariane de se taire, car il tendait l'oreille. Puis il se mit à parler doucement, tandis qu'on entendait distinctement une autre voix bien reconnaissable. Celle du gitan était emprunt d'une paresse bien compréhensible, comme si le fait même de parler, semblait lui procurer des efforts titanesques, tandis que l'autre voix était plus caverneuse, plus machiavélique, bref, c'était la voix de Jarvik qui s'exprimait dans sa langue. Güiza reporta son visage vers Ariane, et il murmura :

- Ils sont une bonne dizaine, Ariane. Prend tes filles, et vole à l'impasse. J'en ai pour cinq minutes.

Il eut un sourire, tandis que Jarvik revenait doucement prendre forme pour aller se fondre dans les bois, dans l'ombre machiavélique des arbres de la forêt interdite. Au sol, alors que la lune éclairait Güiza de tout son plein, il n'y avait aucune projection de son ombre. Elle était partie. C'était Jarvik. L'ombre de Güiza.

Comme elle l'avait prévu la balle toucha Guiza entre les deux yeux, faisant un impact net mais cependant la blessure resta nette, pas de liquide sirupeux (sang mélée de cervelle) comme elle en avait vu quelque fois. En général elle s'arrangeait pour ne pas avoir à tuer.

Le choc violent obligea tout de même le gitan à avoir un mouvement de tête vers l'arrière avant que la balle ne soit doucement expulsée de la tête de son démon en fait.

Guiza- T'as vu ? Je ne t'en veux pas.

Ariane acquiessa sérieusement. Elle pouvait avoir confiance c'était bien lui. Elle rangea son arme, lui faisant un bref compte rendu. Elle ne perdait jamais de temps c'est pour ça que ce faisant elle s'était déjà mis en marche vers l'endroit où étaient cachées ses filles quand soudain les paroles de Guiza la figèrent sur place.

Guiza- C'est Thomas qui m'envoie, Ariane. Une lueur pleine de malice traversa le regard noir de Güiza. Ce dernier ajouta tout aussi paresseusement : Quant à ton fils est partit avec Satine, il y a quelques minutes.

Thomas n'était pas le genre de suje sur lequel elle aimait plaisanter, heureusement pour lui, Guiza avait l'air sérieux. Un intant Ariane montra un visage plus sensible. Elle n'y croyait plus au retour de Thomas, toutes ses années avaient étaient horriblement longues et n'eut été cette promesse à Alicante elle serait déjà partie le chercher, où qu'il fut.

N'importe qui aurait jugé bon de poser des questions mais pas elle. Ce n'était pas le moment. Ils y avaient les mangemorts qui rôdaient pas loin elle les entendait d'ailleurs et ses filles n'étaient pas suffisament à l'abris. Alors non ce n'était vraiment pas le moment pour les questions.

Guiza- Ils sont une bonne dizaine, Ariane. Prend tes filles, et vole à l'impasse. J'en ai pour cinq minutes.

Une fois de plus elle acquiessa. Efficace. Ce n'était pas temps qu'elle aimait recevoir des ordres mais au combat il fallait srganiser vite et ne pas discuter, c'était ce qu'elle avait appris. De plus Guiza avait plus d'expérience qu'elle et son but à elle était avant tout la sûreté de ses filles maintenant qu'elle savait son fils hors de danger.

Elle retourna donc près de ses filles.

Willara-C'était quoi ce bruit?
Orphée- J'ai eu peur j'ai cru...
Ariane- Tout va bien. Maintenant vous ne devez absolument plus parler, les mangemorts ne sont pas loin, il va falloir être discrêtes.

Elle n'avait pas une tête qui donnait envie de discuter ou de désobéir. Elles sortirent dans la nuit devant Guiza. Ariane lui indiqua d'un geste le chemin qu'elle comptait emprunter pour qu'ils ne se perdent pas de vue. Les filles le regardèrent assez intriguée mais sans traîner. L'une d'elle dut alors marcher sur une brindille car on entendit un craquement assez distinct, et des voix se firent entendre qui venaient dans leur direction.

- John par là...
- Si c'est vraiment les Slayers ont se les garde pour demain soir.
- Chose promise chose due Acker.

Orphée-...

Sa mère lui plaqua la main sur la bouche, continuant de les faire avancer. Mais elle savait qu'elles étaient repérées depuis longtemps. Subreptissement elle glissa sa main vers le bas de son dos, avant de faire comprendre à ses filles qu'elles devaient courir et qu'elle allait les suivre un peu en arrière.

On entendit un tout petit déclic, le cran de sûreté du Taurus qu'elle venait de ré-armer. C'était presque innodible.

-
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GÜIZA OLEIVERA.


Elle s'éloignait doucement de lui pour rejoindre ses filles qui sortaient doucement de la grotte. Sur le côté, il entendit les chuchotements du démon. Tel un souffle du vent pour une oreille peu affutée, Jarvik lui faisait un compte rendu précis, et parfait. Trois mangemorts allaient s'en prendre aux filles, et il ne savait pas si il aurait le temps de les prévenir. Cependant, les 7 autres étaient non loin de lui, il le savait. Il n'y avait qu'une seule solution : Que le démon s'occupe des trois mangemorts. Güiza déglutit péniblement. Les filles allaient le voir. C'était obligé, et il ne pouvait en être autrement. Il ferma doucement ses yeux, répondant dans le langage de Jarvik, avec une manière particulière... Comme si il parlait américain... Mais d'où on entendait toute une chaleur mexicaine particulière. Les mots ne semblaient plus tout aussi barbare comme Güiza le parlait. Peut être sa manière de roulée les "r"...

Le gitan réouvrit doucement ses yeux, avant de tendre son poing devant lui. Tenant sa main fermée, paume tournée vers les cieux, il se mit à murmurer doucement, tout en retirant délicatement ses doigts, ouvrant sa main comme si il tenait du sable... Il eut un léger sourire en voyant une espèce de petite chauve souris. Cette dernière semblait plus être un concentré d'aura magique, qu'autre chose. Elle semblait floutée... Exceptée ses yeux... Des yeux d'or. L'on voyait l'emprunte de Güiza pour la simple et bonne raison, que sa magie était devenue démoniaque, il y a fort longtemps... Juste quand il a passé son pacte... Il y a bien 34 ans, maintenant. Il souffla dessus, et cette dernière prit son envol. Il n'était pas difficile de comprendre qu'il allait servir de messager entre lui et Ariane. Le message que la chauve souris délivrerait, c'est : Fais attention aux filles... Trois démons devant... Jarvik s'y colle. Sanglant. Et la chauve souris éclaterait en un volute de fumée noirâtre avec une petite touche dorée.

Jarvik.

Prsshhh... Prssshhh... Vous entendez ? Les bruits nocturnes semblaient comme accentuées tout autours des Slayers. Comme si le démon les guidait, leur montrait, ou du moins, leur faisait entendre les endroits les plus silencieux. C'est un effet, une expression... Il faut comprendre que si l'on y entend rien, c'est qu'il n'y a personne, donc, pas de mangemort. Mais pour rien y entendre, il faut écouter, et c'est à ce moment là que l'on sait qu'il n'y a rien, d'où le silence... Mais dans une forêt, il n'y a jamais de silences... Car il y a de la vie... Partout. Jarvik accentuait ses bruits, montrant le chemin à Ariane, comme si il lui servait de radar. D'un coup, sur le côté gauche d'Ariane, il eut un craquement. L'on vit sur la droite d'Ariane, un volute de fumée. Jarvik venait de se translocaliser pour frapper. Un cri. Un cri gore. Un bruit de déchirure, et de craquements d'os. Puis, l'on entendit des bruits de patogeoires. Comme si Jarvik venait de marcher dans quelques centimètres d'eau. Non... En réalité, c'était ses crocs qui s'enfonçaient dans la chair du mangemort.

Un peu plus devant Ariane, un mangemort apparut. Puis, un autre. Jarvik était entrain de tué consciencieusement le mangemort, comme si il prenait un malin plaisir à en retirer le moindre lambeau de chaire, faisant giclé le sang tout autours de lui. Ce dernier le traversait, se répandant sur le sol. Jarvik n'avait pas de consistance... Enfin... Pas là. Il lâcha le corps sans vie, nettoyé de chair. Il se maudit.

- Vous n'avancerez pas plus mes jolies...
- Levez les mains bien haut... On ne vous fera rien... Le mangemort regarda Ariane, la mettant en joug, tandis que son pote s'approcha pour saisir la plus petite de ses filles, lui mettant la baguette sous le cou. Le mangemort qui tenait Ariane en joug, ajouta : Ne pense même pas à bouger ou à sortir quoique ce soit, sinon, c'est entre les deux yeux que je tire.

Ils se reculèrent légèrement, attendant qu'elles soient soumises à lever les mains et à faire ce qu'elles veulent. Bizarrement, comme l'on pouvait s'y attendre, Ariane resta droite. Des bruits, beaucoup de bruits... Soudainement. D'un coup, un flash ! Noir... Que du noir. Puis, ce fut comme si le flash noir était aspiré en un point pour donner forme, une forme. Celle de Güiza. Il était encapuchonné, on ne pouvait le voir de dos. L'on vit une de ses mains se détendre et se fermer doucement. Lorsqu'il tendit ses doigts, l'on vit qu'ils étaient plus longs, plus sombres, et ses ongles étaient beaucoup plus affutés, et plein de sang. La plus petite des Slayers, celle qui était aux mains du mangemorts put voir le visage de Jarvik. C'était celui de Güiza, mais en plus sombre... Plus ténébreux, et surtout plus barbare, mais pas moins magnifique. Ce côté démoniaque... Le mal... tentateur... Il l'avait sur lui, Jarvik. Il sourit doucement, ouvrant délicatement ses yeux. Jaunes. Non. Dorés.

- T'es qui toi ? Fit le mangemort, s'approchant de Jarvik. Grossière erreur. Avada Kedavra !

Le sort jaillit avec force de la baguette du mangemort qui tapa de plein fouet la poitrine de Jarvik. De dos, on pensait que c'était Güiza, j'y tiens. Il recula d'un pas, puis, on le vit secouer la tête, sous le regard écarquillé des deux mangemorts. Jarvik parla. Chose rare lorsqu'ils y avaient des enfants. Sa voix était terrifiante lorsqu'il ne murmurait pas.

- Hin, hin... T'as fini de jouer ?
- ...

L'avada kedavra avait un trou dans la toge de Jarvik. Ce dernier sourit. Ses canines, particulièrement affutés, se firent apercevoir. Un clignement d'œil, et Jarvik venait de disparaître. Un autre, et le mangemort qui tenait Orphée se vit défiguré comme si il se faisait arraché le visage. L'on voyait sa chaire à vif, en lambeau, et ce dernier se mit automatiquement à hurler sous la douleur. Jarvik saisit orphée, puis, il la jeta dans les bras de sa mère, dans le vrai sens du terme. Il fit jaillir sa main, dégoulinant du sang du visage du mangemort pour la rentrée dans la gorge de ce dernier, lui arrachant la trachée et les cordes vocales, afin de le voir mourir, tombant à genoux. L'autre mangemort fut saisit de panique et il se mit à courir. Jarvik éclata de rire. Il se volatisa. Le mangemort devrait finir au dessus d'un feu, tournant paresseusement... A la broche.

Et c'est à ce moment là que Güiza apparut...

Güiza.

- Vous comptez vous cacher longtemps.... ? Où il faut que je vienne vous chercher un par un ?

Un sourire. Non, un rictus naviguait sur les fines lèvres du gitan. Le pire qu'il soit, en matière de combat parmi les Almadovar et Oleivera réunit. Il n'y en avait aucun, cependant, qui s'inclinerait devant lui, à dire qu'ils pouvaient le battre, mais rares étaient ceux qui le pensaient réellement. Güiza... C'était un véritable démon en combat. Et ça lui allait plutôt bien. Autours de ce dernier, il y avait un aura, des volutes de fumées noirs semblaient voleter autours de lui. Et il conservait son sourire... Sur les côtés, en face de lui, et derrière lui... Ils étaient là, et l'entourée... Güiza eut un sourire à peine voilée... Tant de gens pour lui... Ils avaient mordu dans la gueule du loup... Et à l'heure qui l'était... Il éclata de rire. Un rire à faire froid dans le dos. les trois autres mangemorts devaient être dans de beaux lincueils blancs... Si encore, il restait matière à enroulé. L'aura des mangemorts se firent sentir à leur tour... Güiza ne pouvait s'empêcher de sourire... Et sous cette lune pleine, bien que magique, il semblait être une espèce d'hybride sans son ombre au sol.

- Ah...

Ses jambes s'écartèrent. Il prenait appui.

- Qui en premier ?

D'un coup, il transplana, et il réapparut au hasard derrière l'un d'eux. Celui qui était au dos de Güiza.

- Toi ? Le mangemort poussa un gémissement, avant de voir sa tête pendre sur son torse, un filet de sang coulant de ses lèvres. Güiza éclata de rire. Je crois que j'ai fais mauvaise pioche...

Soudain, les six autres se mirent en branle. Le combat fit rage, presque instantanément. Güiza se mit en position d'offensive, en sortant sa baguette magique et sa dague, qui était plus un couteau de chasse à dents qu'autre chose. Sa lame se planta dans le visage d'un alors, qu'il faisait un pas de danse pour pouvoir brandir sa baguette et balancer un sectumsempra entre les deux yeux d'un autre. A son tour, il transplana pour se confronter à l'un des mangemorts, et il réapparut aussitôt, enfonçant sa lame dans le flanc de l'un d'eux. Un sort lui effleura la joue, faisant couler son sang. Güiza eut un sourire. Il se retourna, se dégageant du corps, puis, il lança son poignard à une vitesse folle pour qu'elle aille se planter pile entre les deux yeux du mangemort qui venait de lui faire couler son sang.

- Plus que trois... Quatre, t'es pas mort, toi...

Il lui décocha un formidable coup de pieds dans la tête de celui qui venait de recevoir le sectumsempra. Il tomba au sol, mort. Ses sinuces avaient explosé sous l'impact, alors que son nez remontait brisant les os à l'intérieur pour aller dégrader le cerveau.

- Bon, trois, maintenant.

Le combat avait été rapide. Il se passa une main sur le visage, récoltant le sang qui venait de couler de sa joue. Il le lécha délicatement, comme un chat buvant du lait, avant de sourire.

- On joue ?

Un sourire, il disparaît, réapparaissant derrière un buisson. Il tend sa baguette, et un imperium est lancé. Conséquence, un mangemort est dans son camps. De là où il est, il le manipule.

-
-

Mangemort.

- Il est où ?
- Vous croyez qu'il est partit ?
- Non. Il est par là...
- Ouvrez l'oeil, les gars.

On les vit tous trois, levaient leur baguette et se mettre à chercher. D'un coup, l'impero de Güiza jaillit de la baguette pour en toucher un en plein entre les deux yeux. L'hispanique sourit. Il allait joué. Le mangemort sous son contrôle avait la tête baissé. Pendant plus de 5 minutes, il ne bougea pas. Tant est si bien que les deux autres le regardèrent étrangement, jusqu'à ce que l'un d'eux, dise :

- Ca va ?
- Ohé ?
- Jude ?

Jude relève la tête, et il se met à murmurer :

- Te quiero, mi bello...

Güiza était mort de rire.

- Depuis quand tu parles espagnol ?
- C'est de l'espagnol ? On dirait de l'arabe !

Güiza perdit son sourire. Jude allait commencé par abattre celui là, c'était décidé. Quoique... Le sourire revint. Mais sur les deux visages.

- No... Es español...
- Arrête tes conneries, vieux. On a un connard à buter.
- Un cabron ?
- Hein ?
- Tu... Jude se passa la langue sur ses lèvres. Tu callas... Tu... Te Quiero ... Murmura t 'il doucement, en regardant l'autre.
- Arrête, c'est pas drôle...
- Arrête, c'est pas drôle...
- Complètement immature.
- Complètement immature.
- Tu mérites même pas qu'on te parle !
- Ah bon ?
- Vous êtes con où quoi ? Qu'est ce qui vous arrive ?
- C'est lui, c'est pas moi !
- Tu veux vraiment savoir ?
- Jude, arrête !
- Bah, y a le gitan qui m'a soumis à l'impero.

Les deux en même temps :

-
- Pourquoi quand je dis la vérité personne me croit ?

Güiza était hilare. Il était, d'ailleurs, très difficile pour lui de ne pas éclater de rire. Il aurait pu faire un parfait auteur sarcastique et plein de vérité dans ses façons de faire. Comment voulez vous croire un mangemort qui dit la vérité alors qu'il est dans le mensonge et qu'il se ment constamment ? Alalala... La finesse de Güiza...

- Bon, bah, je vous montre ! Avada Kedavra !

Aussitôt, Jude abattit l'un des deux mangemorts de sang froid. L'éclair vert avait jaillit pour finir par disparaître, laissant tombé un corps de plus dans la clairière de la forêt interdite. Aussitôt, l'autre pointa sa baguette et lança un sortilège d'une puissance particulièrement phénoménale. C'est simple, le mangemort que Güiza avait sous son contrôle était tout simplement entrain de brûler sous l'effet d'un feu démon. Güiza coupa le contact spirituel entre lui et Jude, le laissant hurler de douleur.

Güiza.

Le gitan sortit de sa cachette, reprenant son couteau de la tête d'un des mangemorts mort, pour se mettre devant le dernier mangemort qui restait. Ce dernier ne se remettait pas de ce qu'il venait de faire. Mais il savait... Il savait qu'il était obligé de le faire. Car il savait également que Güiza l'avait sous son emprise, et que vu l'ampleur de l'emprise, il ne pouvait que l'attaquer à son tour par le biais de Jude. Le gitan marchait doucement, son regard d'une noirceur imprononçable.

- Qui es tu ?
- Je suis... Un homme.
- Mais tu n'as pas d'ombres... Et tu...
- Et alors ? Montre moi ta puissance comme tu viens de crâmer ton collègue.

Le mangemort brandit sa baguette, mais trop tard. Ce dernier se retrouvait avec un couteau de chasse plongeait dans son abdomen. Güiza avait ses lèvres à la hauteur des lèvres du mangemort, et il lui murmura doucement :

- Et ce n'est pas de l'arabe, mais de l'espagnol... Embrasse Satan de ma part... Il paraît qu'il a une dent contre moi...

Il lui mordit sensuellement l'oreille, avant de laisser ses lèvres effleuraient la peau du cou du mangemort, avant de la caresser avec sa langue. Puis, il passa son autre bras autours du corps du mangemort comme pour le maintenir contre son poignet dont la lame qu'il tenait, était toujours à l'intérieur de son corps, pour remonter la lame avec douceur lui ouvrant carrément le ventre en deux. Un liquide chaud coula sur sa main. Il se passa délicatement sa langue sur ses lèvres, avant de planter ses dents dans la peau fine du mangemort qu'il mordit jusqu'à sang. Güiza sentit quelque chose de moue et de chaud lui caresser la main... Il eut un sourire dégueulasse, tandis que le mangemort rendait son âme, agonisant comme pas possible. Il posa sa main de libre sur un pan de la peau du mangemort pour dégager doucement sa lame du corps sans vie, désormais. Le corps tomba au sol. On voyait les viscères qui étaient sortis du corps de sa victime.

Délicatement, il porta sa main pleine de sang à la hauteur de ses lèvres, puis, il le retira consciencieusement, avant de cracher d'une façon dédaigneuse sur le corps du mangemort.

- Pour répondre à ta question... Legion. C'est moi. Mais je doute que cela ne te serve désormais.

Il éclata de rire, avant de relever le regard vers la direction où était partit les Slayers et Jarvik. Il transplana en un clin d'oeil, disparaissant dans un volute noire pour réapparaître non loin d'Arianne.

- Je crois que c'est bon...

Avec la noirceur de la nuit, l'on ne voyait pas le sang qui recouvrait les vêtements noirs de Güiza. Cependant, Jarvik ne tarda pas à revenir prendre sa place doucement.

Melusine baissa d'instinct la tête effrayée par une chauve souris, ce qui fit sourire Ariane. Willara cherchait des yeux le petit animal pas plus rassurée tandis que Orphée, qui avait seulement onze ans, fouillait l'obscurité de ses yeux d'enfant curieuse, amusée par la petite bête qui ne faisait que virevoletait au dessus d'elles. Mais ça ne dura pas. L'animal aux yeux étranges délivra son message comme Ariane s'y était attendu:

Chauve-souris- Fais attention aux filles... Trois démons devant... Jarvik s'y colle. Sanglant.

L'espionne d'Alicante acquiessa pour elle même, toujours attentive au moindre mouvement de la nuit tandis que la chauve souris finissait sa vie dans une volute de fumée noire.

Victime- Vous n'avancerez pas plus mes jolies...
Pièce de Boucherie- Levez les mains bien haut... On ne vous fera rien...

Elle porta sa main au bas de son dos pour que cela reste crédible. Il ne fallait pas que les mangemorts voient qu'elle s'attendait à les recevoir correctement sinon ça aurait pu foirer le plan de Guiza quoiqu'elle ne s'inquiéta pas trop pour lui. L'homme la mis en joug tandis que l'autre saisissait Orphée:

Orphée- Maman!!', fit-elle dans un petit cri aigu

Ariane ferma les yeux, particulièrement contrariée par ce geste du mangemort, si ça n'avait pas été Guiza...Soudain l'ombre de Guiza apparu, Orphée le regarda avec des yeux terrifiés mais Ariane ne pouvait pas l'éviter. La pauvre petite de onze ans ne savait pas ce qui l'effrayait les plus entre ses yeux jaunes ou les longues griffes sanglantes... c'était un peu comme le monstre sous le lit des histoires d'halloween...ou encore la voix de caverne de Jarvik...

Victime - T'es qui toi ? Avada Kedavra !
Jarvik - Hin, hin... T'as fini de jouer ?
Victime - ...

Orphée cria en voyant le sortilège vert fuser parce qu'elle savait que Guiza était de leur côté puisque sa maman lui faisait confiance même si il faisait peur à voir, surtout avec ses grandes dents. Elle avait même peur qu'il finisse par la manger ce Guiza là parce qu'il n'était pas exactement comme tout à l'heure.

Elle le vit disparaitre et réapparaître et soudain le manngemort se crispa un peu sur elle avant de la relâcher tandis qu'un liquide tiède lui tombait sur le visage. D'instinct elle courru vers sa mère ce qui lui évita d'avoir à voir le visage d'un homme arraché contrairement à Nymphadora qui du se cacher les yeux complétement horrifiée.

Une main noire saisit Orphée et elle sentit ses pieds décoller. Par chance Ariane, toujours attentive, rattrapa sa fille qui se blottit très fort contre elle, tout comme ses soeurs qui échappérent ainsi à la vision parfaitement ragoûtante de ce que Jarvik était en train de faire au mangemort qui s'en était pris à Orphée. Le son était déjà bien suffisament ignoble pour en plus se payer le luxe d'avoir l'image.

Guiza- Je crois que c'est bon...

L'homme venait d'apparaître pas trop loin cette fois Ariane tira son arme. Le coup partit, frolant Guiza pour aller se loger dans la tête d'un mangemort qui s'était cru tiré d'affaire.

Ariane- On peut y aller je crois.