Anna Sa va . Comme toujours
Anna, toujours aussi aimable et avenante, d'un certain côté, Lysandre ne pouvait pas lui reprocher. il méprisait les bavardes, cependant c'était bien souvent ce genre de spécimens qu'il imitait. Honte sur lui, mais faut parfois faire des sacrifices pour être populaire. Mais après tout, c'était lui qui voulait cette situation. Il était prévoyant, se disant que dans sa vie futur il aurait probablement besoin de soutient, surtout s'il se destinait vers une carrière d'homme politique pourri.... MOUAHAHAHA
Sarah: Bonjour
April: Salut
Effectivement, Sarah était la plus agréable des deux, la plus polie et probablement la plus vivable. dommage qu'elle soit si jeune. Dommage, vraiment, car il doutait qu'elle puisse lui servir à quelques choses. Enfin! Sa galanterie et son rôle permanent l'obligeaient à sourire de la même façon sympathique et joyeuse envers les deux soeurs, plutôt que vers sarah seule.
Sarah: Non pas du tout ne t’inquiète pas
Et effectivement, en plus d'être la plus petite, c'était la plus polie. Gentille petite! Elle ferait une très bonne amie pour sa soeur. Malheureusement Mérédith préférait s'entourer des pires chipies de l'établissement, et, bien qu'elle fut à serdaigle pour quelque obscure raison, elle choisissait principalement des Serpentards. Le tirant de sa rêverie, April, la blonde qui semblait la plus âgé, lui désigna d'un signe de tête un garçon non loin.
April: Tu le connais ?
Génial! Une amourette assommante; la traditionnelle histoire de la fille amoureuse d'un inconnu qui ne sait même pas qu'elle existe. Pitoyable!
Sarah: April ne l’embête pas avec ça
Bien que Sarah eut raison, Lysandre leur sourit et regarda attentivement, de ses yeux froid, le garçon dont la silhouette se découpé sur le ciel bleu. Il n'était pas très dure à reconnaître, surtout à cette distance. Et, bien que ce jeune homme fut beau, Lysandre se trouvait bien mieux. mais chacun son mauvais gout. Bien que lui n'en eut pas... MOUAHAHAHA
Lysandre: Ne t'inquiète pas. Hum... c'est un ami à moi Caleb Andersen.
Ayant donné sa réponse, le sorcier regarda sa montre et fit mine de s'en aller.
Lysandre: J'ai cours d'ici cinq minutes. Pas vous ?